« A piece about water without water » : voilà le nom de ce spectacle musical signé Robyn Orlin, annoncé comme une « création scénique hybride et débridée ». Sur scène, les spectateurs auront le bonheur de retrouver la chanteuse Camille entourée pour l’occasion du chœur sud-africain Phuphuma Love Minus. C’est à ne pas manquer du lundi 4 au jeudi 7 mai 2026 à la Cité de la Musique à Paris.
Camille est bel et bien de retour ! Alors que la chanteuse a reçu, avec Clément Ducol, un César et un Oscar pour la musique originale du film « Emilia Pérez » de Jacques Audiard, la chanteuse fait son come-back à Paris à l’occasion d’un spectacle musical intitulé « A piece about water without water ».
À la conception et à la mise en scène, on retrouve la célèbre chorégraphe Robyn Orlin. Nommée Chevalier de l’Ordre national de Mérite par Denis Pietton, ambassadeur de France à Johannesburg, Robyn Orlin est une danseuse contemporaine et chorégraphe sud-africaine, notamment connue pour ses spectacles extravagants, proposés depuis plusieurs années maintenant.
En 2026, Robyn Orlin présente donc « A piece about water without water » à la Cité de la musique lors de quatre représentations exceptionnelles à ne pas manquer du lundi 4 au jeudi 7 mai.
Sur scène, les spectateurs pourront retrouver la talentueuse Camille, interprétant plusieurs chansons aquatiques, comme « À la claire fontaine« , et évoluant au milieu d’une mer d’étoffes. On rappelle que l’artiste a été propulsée sur le devant de la scène en 2002 avec l’opus « Le Sac des filles« , suivi du célèbre album « Le Fil » paru en 2005.
Pour ce spectacle musical, présenté sous la forme d’une « création scénique hybride et débridée », Camille sera accompagnée sur la scène de la Salle des concerts du chœur masculin sud-africain Phuphuma Love Minus. Un savant cocktail musical qui promet au public de vivre un moment détonnant abordant la problématique de l’eau.
Pour le découvrir, direction donc la Salle des concerts de la Cité de la musique à Paris du 4 au 7 mai 2026. Notez que la vente des places à l’unité pour ce spectacle ouvre le lundi 5 mai 2025 à 12h.
DISTRIBUTION
Robyn Orlin, conception, mise en scène, costumes, décor
Camille, chant, danse
Phuphuma Love Minus
Mlungiseleni Majozi, chant
Saziso Mvelase, chant
Lucky Khumalo, chant
Mqapheleni Ngidi, chant
Jabulani Mcunu, chant
Amos Bhengu, chant
Siphesihle Ngidi, chant
Mbongeleni Ngidi, chant
Mbuyiseleni Myeza, chant
S’Yabonga Majozi, chant
Lucile Chriqui, cheffe de chœur
Birgit Neppl, costumes, décor
Vito Walter, conception lumière
Eric Perroys, vidéo
Philharmonie de Paris : les prochains concerts à ne pas manquer Musique classique, créations exclusives, jazz ou encore rock et rap… Chaque année, la Philharmonie de Paris accueille de grands artistes évoluant dans différents styles musicaux. Voici donc les prochains concerts à ne pas manquer à la Philharmonie de Paris. [Lire la suite]
Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.
Il est confiant : Chris Niamke remplira le Palais des Glaces, samedi 28 juin, à Paris, avec son spectacle Saga Love : Pauvre, mais drôle. Le rendez-vous est encore loin, mais il se démultiplie pour en assurer la promotion, porté par une communauté de quelque 900 000 abonnés sur les réseaux sociaux. En attendant, il nous a raconté son parcours : une histoire commencée à Cergy, passée par Dieppe, avant d’arriver à Évreux, et à Saint-Sébastien-de-Morsent. Un conte de fées, avec ses rebondissements.
C’est un sourire éclatant qui franchit le pas de la porte, une boule d’énergie qui tourbillonne et salue chaleureusement chaque personne qu’il croise dans l’open space et les couloirs du journal. C’est Chris Niamke, aka Saga Love, au verbe haut et à l’élocution facile. On « se pose », comme disent les jeunes, un peu à l’écart, pour qu’il nous retrace son parcours jusqu’à ce samedi 28 juin, où il présentera son spectacle Pauvre, mais drôle au Palais des Glaces. Il sort tout juste d’une interview avec Brut : la campagne promo est huilée, elle bat son plein. Il nous tutoie spontanément. On lui demande son âge. Il répond par une autre question : « Tu me donnes quel âge ? »
Il paraît jeune, mais pas tombé du nid, alors on s’abstient d’avancer un chiffre.
– « J’ai 32 ans. J’ai une petite fille de six ans. »
Et il enchaîne : « En fait, de base, je ne suis pas d’Évreux. J’étais à Cergy, dans le Val-d’Oise. Ma première vraie relation avec Évreux, c’est ma femme, qui est Ébroïcienne… enfin, elle était de Dieppe. Sa famille vit à Dieppe ».
On y reviendra. Pour l’instant, cap sur ses années Cergy.
– « L’ADN de la ville, c’était soit foot, soit rap. Mon père voulait que je sois footballeur. C’est mon prof de sport qui m’a conseillé de faire du théâtre. Quand il en a parlé à mon père, il ne savait même pas ce que c’était, le théâtre. Ma mère non plus ». Son prof a insisté. « Dis-toi que de la 6e à la 3e, il m’a suivi. On est toujours en contact. Il avait vu que j’avais cette fibre. Quand j’en ai parlé à mes parents, ils m’ont dit que ce n’était pas un vrai métier, que je ne pouvais pas faire ça. Je ne connaissais personne dans le milieu. C’était le début des réseaux sociaux, alors je m’y suis mis. J’ai commencé à faire des vidéos, à mettre en scène des situations, à parler de sujets de la vie, etc. Et ça a commencé à prendre. Quand j’ai eu un peu de notoriété, des professionnels m’ont contacté : ils me disaient que j’avais quelque chose, qu’il fallait que je le travaille. Je suis parti au Cours Florent. Ça s’est super bien passé. Ils voulaient que je continue, mais c’était beaucoup trop cher. J’étais en art dramatique. Là, je me suis dit : je vais me tester, voir si j’ai vraiment cette fibre ou pas. Il y avait le concours d’Anne Roumanoff, on était plus de trente à participer. J’ai écrit un semblant de one-man-show avec ma copine. Je me suis dit : on va voir si ça marche. Si je me fais recaler dans les premiers, ça voudra dire que… » Il sourit. « Au bout de 30, 28, 29… je suis toujours là. Je termine quatrième ! C’est là que je me suis dit : waouh ! Parce qu’il y avait des professionnels, des gens aguerris. Là, j’ai compris que j’avais quand même quelque chose. J’ai commencé à faire des scènes ouvertes, à me perfectionner. En parallèle, les réseaux sociaux se développaient ».
J’ai regardé les anciens, comme Bourvil ou Louis de Funès, parce que je voulais capter leur jeu. Je suis même remonté jusqu’à Thierry la Fronde.
« C’était l’époque du Jamel Comedy Club, avec Thomas Ngijol, Fabrice Éboué, Claudia Tagbo ou encore Patson. C’étaient eux mes repères, mes stars. J’aimais beaucoup Thomas Ngijol. » Mais il est aussi allé chercher plus loin. « J’ai regardé les anciens, comme Bourvil ou Louis de Funès, parce que je voulais capter leur jeu. Je suis même remonté jusqu’à Thierry la Fronde. Je suis de 1991… Pour aller regarder Thierry la Fronde, faut vraiment fouiller ! » Il en rit. « Thomas Ngijol et Patson m’ont dit : ‘T’as quelque chose, il faut que tu te lances.’ Là, je me suis dit : avant de me lancer, il faut que je crée ma communauté. » Il s’y attelle sur les réseaux sociaux : Instagram, Facebook, YouTube, puis TikTok. « J’ai travaillé pendant un an avec Évelyne Thomas sur Chérie 25. Sur les réseaux, je pouvais parler de tout. Parfois, je faisais des chroniques foot qui marchaient fort. » Si fort que BeIn Sports l’appelle pour des matchs de Coupe du monde ou de CAN. Sa visibilité explose. « Ma communauté s’est agrandie. Aujourd’hui, j’ai plus de 900 000 abonnés et une portée de 4 millions. » En 2024, son court-métrage sur le harcèlement scolaire le propulse encore plus loin. « J’ai été reçu par l’ancien Premier ministre Gabriel Attal. J’ai aussi reçu un diplôme d’État des mains d’Élisabeth Moreno pour mon court-métrage sur les violences conjugales. » Et il comprend ce qui touche les gens, ce qui crée le lien. « Ma communauté me suit aussi parce que je suis une sorte d’artiste citoyen, proche du peuple. J’ai toujours eu comme références : Coluche, qui a toujours été proche du peuple. Goldman, pareil. Balavoine aussi, que j’écoute beaucoup. Ces personnalités ont façonné mon ADN. On peut me voir faire de l’humour loufoque un jour, et le lendemain parler de harcèlement scolaire. Puis revenir à l’humour, et aborder les violences conjugales. »
D’où lui vient cette corde sensible ? lui demande-t-on. « Gamin, j’étais celui qui voulait transmettre du sourire aux gens. Il faut savoir qu’à l’époque du collège, mes parents ont divorcé. C’était très difficile pour moi. D’ailleurs, j’en parle un peu dans mon spectacle – de manière humoristique. Mais je cherchais à combler ce vide. Dans un divorce, il y a le traumatisme du couple qui se brise, du papa, de la maman… Mais on oublie souvent celui que peuvent ressentir les enfants. Moi, je n’avais pas de repères. » Il revient alors sur cette figure marquante, son prof du début, son prof de sport. « Je pense à mon prof principal, Monsieur Humbert. Il voyait que le théâtre me redonnait de la lumière dans les yeux, que ça me rendait plus vivant. Et j’étais touché par ces artistes-là. » Il rit. « C’est vrai qu’à l’époque, y’avait du rap partout… Mais moi, j’aimais bien écouter Tous les cris les S.O.S. ! » Il entonne quelques notes avant d’éclater de rire. « Mais tu peux pas chanter ça, au quartier ! Les gens vont dire : ‘Il est chelou lui, qu’est-ce qu’il t’arrive, toi ?’» Nouveau rire franc. On en déduit qu’il n’est pas simple d’être sensible dans les quartiers. « Ce n’est pas qu’on ne peut pas être sensible, mais il y a une certaine réalité. À mon époque, c’était le foot, le rap. C’était Zinédine Zidane, l’Équipe de France. Aujourd’hui, ça se démocratise : on voit du ping-pong, plein de choses. Mais à l’époque, c’était foot… et rap : Booba, Sexion d’Assaut ». On lui glisse que le toucher de balle de Zidane, c’est une forme de sensibilité aussi. « Oui, mais c’est quand même moins sensible que de chanter Tous les cris les S.O.S., hein ! » Il se marre encore. « T’es là avec tes potes qui chantent : ‘Bordel, quand on rentre sur la piste…’, et toi tu sors Belle-Île-en-Mer ou des trucs comme ça. C’est pas trop nos registres. Et t’es obligé de pas trop te détacher de tes amis », reconnaît-il.
Quelle aurait été sa vie s’il n’avait pas croisé ce professeur ? s’enquiert-on. « Je pense qu’il y a une histoire de karma », plaisante-t-il. « Et de bienveillance. Chacun a sa lumière, son étoile. Chaque personne peut t’apporter quelque chose, t’aider à trouver ta voie. Ce prof de sport, c’est exactement ça. Parce que c’était une période très difficile. » Il marque une pause. « Il a même fait des choses pour moi… Il a payé mes premières sorties scolaires, alors que mes parents ne pouvaient pas. Un jour, il m’a même hébergé chez lui. Ça, c’est des choses que j’avais oubliées. Tu sais, quand t’as des traumatismes, le cerveau… on ne connaît pas toutes ses capacités, mais c’est fort. Il y a des choses que tu vis dans l’enfance, qu’il va effacer. Quand il y avait les réunions parents-profs, mes parents n’étaient pas souvent là. On était une famille très humble, on se contentait de ce qu’on avait. Mais ce prof-là… il est au cœur de tout. » Et pour le prouver, il sort son téléphone. WhatsApp en main. « On est encore en contact. » On lui demande son prénom. « Monsieur Humbert. C’est Monsieur Humbert. J’ai des messages tout frais où il me félicite, où il me dit qu’il est fier de moi, qu’il suit ce que je fais. Il est content. » Et ses parents ? s’inquiète-t-on. Son sourire s’élargit encore, comme pour laisser passer un peu plus de lumière. « Mon père est d’origine ivoirienne. À un moment, il est reparti en Côte d’Ivoire. Quand il a vu sur les réseaux que j’étais invité là-bas pour prester, que je descendais dans de grands hôtels… il s’est dit : waouh ! Là, il y a un truc. Quand les tontons l’ont appelé pour lui dire qu’ils m’avaient vu aussi… Il a commencé à prendre les choses au sérieux. » Il rit doucement. « Je me souviens, il cassait la tirelire pour l’Équipe de France, parce qu’il était fan de Djibril Cissé. Alors quand il a découvert que je dînais avec Djibril Cissé, qu’on s’appelait… là, il s’est dit : waouh ! Qu’est-ce qui se passe, là ? » La belle histoire prend alors des airs de conte de fées. Et ce n’est pas fini.
« Ma mère va faire ma première partie ! », lâche-t-il tout à trac, un sourire aux lèvres. On s’étonne. Il y aurait donc une part d’atavisme dans toute cette affaire ? « Tu sais, les parents… En réalité, ils ont une éducation, une histoire. Ils ont été jeunes. Y’a toujours un tonton pour te dire : ‘Tu sais, ton père, avant, il était comme ci, comme ça.’ Et tu découvres qu’il était plus bandit que nous ! » Il éclate de rire. « J’ai réussi à casser cette barrière-là. Ils ont compris que l’humour, c’était devenu mon métier, et que j’en vivais bien. Alors ils se sont dit : ok, on peut casser cette barrière. Et maintenant, ils sont super marrants. On fait des vidéos ensemble. » Il rit de plus belle. « J’ai un contrat avec Orange. Mon père est dans mes vidéos ! On en a fait une où j’avais disparu, et lui, il avait une procuration sur mon compte. Il faisait les 400 coups. Tu vois mon père, plus de 70 ans, dans un jacuzzi… avec des… comment on appelle ça ? Des prostituées ! Il téléphone à Black M, qui lui dit : ‘T’as pris la carte bancaire de ton fils, mais t’as pas le droit !’ Il bouffe mon argent, il fait n’importe quoi… » Et sa mère n’est pas en reste. « J’ai fait des pubs avec elle aussi. Elle a tourné dans des clips de rap, elle rappe avec moi. » Et puis, d’un ton plus calme, presque doux, il ajoute : « C’est la meilleure époque de ma vie. Parce qu’avec l’humour, j’ai pu réunir mes parents. Ils étaient divorcés, ils sont amis maintenant. Grâce à ça. Ils ont vu que leur fils commençait à grandir humoristiquement. Peut-être qu’ils n’avaient pas été trop présents à cause de leurs conflits… Alors ils se sont dit : il faut qu’on lui donne l’amour qu’il mérite. » Puis, les yeux brillants, il conclut : « Et là… j’ai rien à dire. C’est un 20 sur 20. Je suis le plus heureux. Franchement, je suis le plus heureux. »
On revient à son histoire avec Évreux. « Avec ma copine, on s’est connus sur Facebook. Je vais pas faire trop long… c’est le côté amoureux. » Il sourit malgré tout, comme si ce « côté amoureux » méritait bien plus que quelques phrases. « Ses parents ont voulu me connaître. Là, je me suis dit : waouh ! Parce que moi, j’étais habitué à Paris, à des histoires sans lendemain. Là, j’ai saisi son côté dieppois. » Il rit doucement. « Ses parents voulaient vraiment me voir. En plus, j’étais le Noir qui arrivait dans la famille. On a beaucoup parlé. Ils ont vu que j’étais très respectueux avec leur fille. Un jour, son père m’a demandé : ‘Mais tu fais tout le temps des allers-retours ?’ Je lui ai dit que j’habitais à Cergy. Il m’a demandé si je travaillais. Je venais de finir mes études. Il m’a alors proposé de venir chez eux pour chercher du boulot. » Il éclate de rire. « C’était aussi un bon moyen de garder un œil sur sa fille ! C’est comme ça qu’on est arrivé à Évreux. J’ai commencé à bosser dans un magasin de chaussures de sport. En parallèle, je faisais mes vidéos. Puis, avec les premières rentrées d’argent, la télé… j’ai fini par lâcher le magasin. Ses parents ont été témoins de toute mon évolution. » N’a-t-il jamais eu envie de revenir vivre à Paris ? « Non. J’étais trop bien avec mes beaux-parents. À 19 ans… Déjà, quand tu vis à Paris ou dans le Val-d’Oise, et que tu fréquentes une fille et une famille d’ici, c’est pas pareil. Je sais pas comment dire… on sent qu’on n’est pas à Paris. » Il cherche ses mots, puis poursuit : « Comme je suis souvent à Paris pour les tournages, les émissions… quand je rentre à Saint-Sébastien-de-Morsent, où j’habite, je sens tout de suite que c’est différent. Tu te dis : le boulot, c’est terminé, je rentre à la maison. Et ça, je l’ai senti très vite. » Il marque une pause. « Même avec les gens. Il y a ce côté apaisant. Du coup, je me sentais bien ici. La preuve : j’y habite encore aujourd’hui. »
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Il commence à y avoir une petite communauté d’humoristes à Évreux, lui fait-on remarquer. On pense à Ragnar Le Breton ou encore à Rey Mendes. « Ragnar est plus vieux que moi », sourit-il. « Dès qu’on s’est croisés, on a fait une vidéo ensemble. On se côtoie, on se parle. Nos femmes se connaissent. C’est vraiment une bonne personne. Une belle personne. Très gentil. On se retrouve régulièrement sur certains événements. Il y en a un qui m’a beaucoup aidé aussi, c’est l’ancien maire d’Évreux, Michel Champredon… alors lui, c’est un amour. Un amour ! Pour mon court-métrage sur le harcèlement scolaire, c’est lui qui m’a ouvert toutes les portes. Et je ne le connaissais même pas ! Il avait juste entendu que j’étais un artiste. » Il précise : « Je ne fais pas de l’humour comme Ragnar, hein. Et puis, j’ai toujours eu des amis plus vieux que moi. Les anciens, c’est le savoir. Quand t’as un objectif, t’as plus le temps de traîner avec quelqu’un qui te dit : ‘Viens, on va à la chicha.’ Tu te focalises sur autre chose. C’est aussi pour ça que j’ai aimé cette ville. Parce que je me suis dit : ils sont gentils ici. » Et puis, on en vient à ce qui l’a conduit à pousser la porte du journal : son grand projet. Remplir le Palais des Glaces, à Paris, avec son spectacle Pauvre, mais drôle ! « Tu sais, je vais le remplir ! » Il le dit sans forcer, avec l’assurance tranquille de celui qui a construit une vraie base. « Ma communauté est bonne et solide. » Il a déjà foulé les scènes : deux fois les Folies Bergère, plusieurs fois le Théâtre du Gymnase. Mais là, ce sera différent. Il sera seul à l’affiche. « Le Palais des Glaces, c’est 600 places. On voulait que je fasse Bobino, qui est plus grand encore, mais c’est moi qui ai insisté pour qu’on s’en tienne au Palais. » Il est persuadé que cette date en appellera d’autres. « Je suis confiant. Et très bon en stratégie. » Il a tout préparé : une dizaine de vidéos pour les réseaux, une communication calibrée au millimètre. Et une affiche. « ‘Saga Love, Pauvre mais drôle’. Saga Love, c’est mon pseudo. » L’affiche montre une vedette filmée par la foule, mais dont le reflet dans le miroir révèle la vraie nature. Tout est pensé. Jusqu’au moindre détail.
Il gère ses réseaux lui-même. « Je préfère le faire. » Il vient de poster une première vidéo, sobre et directe : « J’espère vous voir nombreux. » Résultat ? 400 000 vues en à peine vingt heures. Il s’en réjouit, mais insiste aussitôt : « Souvent, il y a des gens très bons. Mais pas bons en stratégie. C’est pour ça qu’ils galèrent. Parce qu’il y a cette réalité aussi : tu peux être très talentueux… mais si tu me donnes pas envie de venir… Les gens, ils ont déjà la flemme. » Alors, il actionne un autre levier : le prix. « Mes tickets sont à 25 €. Le carré or, à 35. Je regarde les autres sur le marché… Même des gens moins connus que moi sont à 40 €. C’est le 28 juin. Le soleil va arriver. Bientôt juillet, août. C’est un samedi, à 19 h. 1 h 20 de spectacle. J’ai trois mois devant moi. C’est pour ça que je suis confiant. » Et déjà, il pense à la suite. « Une seconde date au Palais des Glaces ? Ou pas. Peut-être au Sénégal, où j’ai une grosse communauté… ou en Côte d’Ivoire. » Il sait que l’international peut faire grimper la cote, et que le retour n’en sera que plus fort. Alors il envisagera de fouler la scène du Cadran, à Évreux, à la maison. « Là, c’est encore trop tôt », juge-t-il, en fin stratège. En attendant, il demande notre adresse mail. « Les dossiers de communication sont prêts. Il y a un dossier de presse récapitulatif, tout ce que tu veux savoir. Et des photos. » On l’interrompt un instant : le soleil passe à travers les persiennes, l’éclaire idéalement. On lui demande si on peut le prendre en photo. Il sourit, prend la pose. Parfait.
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Ce n’est pas un hasard si, à la Philharmonie de Paris, l’exposition actuellement dédiée à la musique disco est intitulée Disco – I’m Coming Out. Référence au tube de 1980 de Diana Ross, bien sûr, mais à la fois métaphore de ce qu’a pu représenter cette période, ce joyeux «coming out» où le fait de se déchaîner sur la piste de danse s’est mué en revendication d’identité pour différentes minorités.
En effet, même si la musique disco est le plus souvent associée aux paillettes et aux boules à facettes, l’expo souligne que de nombreuses paroles de chansons reflètent le contexte d’émancipation d’alors – mouvement féministe, droits civiques ou homosexuels. La dynamique est résumée par un des pionniers du mouvement disco, David Mancuso, cité dans l’exposition: «J’étais à la fois dans la rue et sur la piste de danse. La fête et la politique constituaient alors les deux faces d’un même phénomène.»
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La saison 4 de Love, Death & Robots propose dix nouveaux courts-métrages animés signés Jennifer Yuh Nelson, Tim Miller et David Fincher, entre SF, horreur et satire.
Une anthologie animée toujours aussi audacieuse
Love, Death & Robots revient pour une quatrième saison avec dix courts-métrages d’animation qui explorent les frontières du fantastique, de la science-fiction, de l’horreur et de l’absurde. Produite par Tim Miller et David Fincher, cette série à sketches poursuit son ambition de repousser les limites visuelles et narratives du format court. Cette saison est dirigée par Jennifer Yuh Nelson, réalisatrice et superviseure ayant déjà collaboré sur les volumes précédents.
Où et quand voir Love, Death & Robots saison 4 en France ?
Love, Death & Robots sera diffusé sur Netflix à partir du 15 mai 2025.
Bande-annonce de Love, Death & Robots saison 4
La bande-annonce révèle un mélange exubérant de visuels spectaculaires, d’humour noir et de récits déroutants.
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Synopsis :Dinosaures gladiateurs, chats messianiques, rock stars marionnettes… la saison 4 de cette anthologie animée propose dix nouveaux récits déjantés, entre futur dystopique, humour grinçant et horreur animée.
Une série pour les amateurs de SF visuelle et de récits percutants
Love, Death & Robots s’adresse à un public adulte adepte de science-fiction expérimentale, de courts-métrages animés et de narration non conventionnelle. Elle pourrait plaire aux fans de Black Mirror, Heavy Metal ou encore des œuvres de Philip K. Dick, en raison de son ton irrévérencieux et de ses explorations thématiques audacieuses.
Des techniques d’animation variées et des styles narratifs divers
Chaque épisode est réalisé par un studio différent, avec des techniques allant de l’animation en 2D stylisée au photoréalisme en 3D. Cette diversité donne à la série son identité unique, permettant une exploration visuelle radicale de concepts souvent extrêmes, poétiques, ou choquants. La saison 4 promet des univers inédits et une créativité toujours renouvelée.
L’essentiel sur Love, Death & Robots saison 4
Love, Death & Robots saison 4 rassemble dix courts-métrages animés portés par des signatures fortes comme Jennifer Yuh Nelson, Tim Miller et David Fincher. Mêlant science-fiction, horreur, humour noir et expérimentation visuelle, cette nouvelle saison confirme le statut culte de cette anthologie originale qui repousse les frontières du format court.
Cet article est basé sur les informations disponibles en ligne, nous n’avons pas encore visionné le film ou la série mentionné.
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Ce vendredi 11 avril, Lucky Love a performé à La Madeleine. Cette petite salle du centre de Bruxelles s’est révélée idéale pour le show offert par le chanteur, qui a des chansons à chanter, mais surtout des messages à faire passer.
La première partie du concert a été parfaitement assurée par Adam La Nuit, chanteur liégeois d’origine congolaise. Avec des textes forts et des mélodies engageantes, il a su emporter le public et a très bien ouvert la voie pour la suite de la soirée. Une belle découverte pour la plupart des spectateurs.
Lucky Love est ensuite monté sur scène, accompagné de ses trois musiciens. Dès le début du concert, l’artiste a mis le feu à La Madeleine, en n’hésitant pas à investir pleinement la scène. Parce que Lucky Love n’est pas seulement chanteur, mais aussi danseur et artiste de cabaret. Ces influences multiples font de son concert un véritable show où ressort sa personnalité, complexe et lumineuse.
Sur la scène de La Madeleine et devant un public subjugué, Lucky Love a interprété ses titres, allant de ceux de son premier album Tendresse, sorti en 2023, aux plus récents de I Don’t Care If It Burns (2024), sans oublier évidemment le désormais incontournable « Masculinity ».
À travers ses textes, Lucky Love exprime sa vision du monde, ou du moins de ce qu’il devrait être. Masculinité toxique, patriarcat et stigmatisation sont autant de thèmes que l’artiste se plaît à démonter (quitte à être parfois un peu vulgaire), créant une véritable safe place pour ses spectateurs et lui. Au concert de Lucky Love, les mots d’ordre sont l’amour et la tolérance, et chaque individu se sent pleinement admis et respecté, tel qu’il est, grâce aux paroles du chanteur.
Lors de son concert, Lucky Love échange beaucoup avec son public, révélant aux spectateurs les secrets derrière ses chansons. Ces courts échanges sont une façon de créer une atmosphère intimiste, propice au partage entre l’artiste et ses fans. Les interventions parlées entre les titres sont aussi l’occasion pour le chanteur d’expliciter ses motivations. Depuis toujours, il se bat pour la tolérance, l’acceptation de tous et de toutes, sans aucune distinction. Peu importe qui on est, qui on aime, notre couleur, notre origine, grâce à Lucky Love, chacun se sent légitime.
Loin d’être moralisateur, Lucky Love encourage les spectateurs à ne pas se prendre la tête, et à vivre la vie comme bon leur semble, sans tenir compte du regard des gens. Ses interventions contiennent souvent une forme d’humour et d’autodérision, que le public belge a bien sûr parfaitement accueillie.
Les chansons de Lucky Love sont une invitation à exprimer nos sentiments, sans vergogne. Du résilient « Happier on my own » au mélancolique « Will you call again » en passant par le puissant « Skid Row », ce concert était un torrent d’émotions.
« Nous devons œuvrer pour un monde en paix », a conclu Lucky Love en quittant la scène de La Madeleine. Le message est entendu.
Lucky Love sera de retour en Belgique l’été prochain. Il se produira le 22 août sur la scène des Solidarités à Namur.
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Ce pensionnaire de Pierre Ménard reste sur une bonne deuxième place dans la catégorie qui nous intéresse, derrière un certain Hypercore, qui avait fait grosse impression ce jour-là. Particulièrement à l’aise sur la piste en sable fibré, il faut se souvenir du fait qu’il avait enlevé un Quinté+ sur le parcours du jour en janvier 2024. Également très pratique dans un parcours, il est capable de prendre le train à son compte tout comme de patienter au sein du peloton et placer sa pointe de vitesse pour finir. Hugo Lebouc s’en sert à merveille et sa valeur semble lui laisser assez de marge pour s’imposer ici. Il décevrait grandement en ne jouant pas les premiers rôles dans ce Quinté+.
Sa dernière course
Repris en partant du fait de son numéro 16 dans les stalles, Love is Gold patiente à l’arrière-garde. Pour aborder le dernier tournant, il se rapproche dans le sillage du futur lauréat et s’allonge bien dans l’ultime ligne droite sans pouvoir contester la supériorité de ce dernier.
Sa statistique
Avec les œillères australiennes : 4 courses – 1 victoire – 2 places
L’avis de Pierre Ménard, son entraîneur
« Love Is Gold (4) s’est admirablement comporté lors de sa dernière sortie. Nous voulons le préserver dans un parcours pour le faire vieillir. En appliquant cette tactique, il s’est très bien comporté en dernier lieu. Il arrive désormais à maturité et peut exprimer tout son potentiel. Il est compétitif à cette valeur et apprécie ce parcours. Le numéro 10 dans les stalles est parfait en ce qui le concerne. Je suis logiquement confiant. »
Sa cote probable : 6/1
Sa note Equidia : 14/20
Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.
Dès l’entrée, tout en longueur, cet appartement de 60 m² révèle progressivement son ambiance naturellement douce à vivre. Entre beaux volumes et teintes naturelles, le charme opère immédiatement. « C’était une volonté des propriétaires« , précise les architectes : découvrir rapidement la pièce de vie pour une immersion instantanée dans un refuge aux nuances et matières chaleureuses.
L’entrée est fonctionnelle grâce à son mur gauche doté de rangements discrets en chêne, tandis qu’à droite, des portes desservent la salle de bains et les WC, rattachés à l’appartement lors de son achat.
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We Love Green va faire son retour au bois de Vincennes à Paris en 2025 ! Pour cette nouvelle édition, le festival musical vous donne rendez-vous pour trois jours de festivités à vivre les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 juin 2025. Côté programmation, We Love Green annonce la venue de Yseult, Air, Amelie Lens, Kavinsky, Parcels, Laylow, Tiakola, Clara Luciani, Favé, Miki, Gesaffelstein, Fka Twigs ou encore Charli XCX, attendue dans la capitale pour une date unique en France, et le groupe américain LCD Soundsystem !
Souvenez-vous, après une pause en 2013, le Festival We Love Green avait repris du poil de la bête en 2014 en investissant le Parc de Bagatelle pendant deux journées exceptionnelles. Cette troisième édition avait ainsi accueilli Foals, Cat Power, Lorde, London Grammar ou encore Pedro Winter. En 2016, PJ Harvey, LCD Soundsystem mais aussi Diplo, Air ou encore Hot Chip avaient fait sensation au sein de la nouvelle clairière du festival nichée au Bois de Vincennes. Résultat ? Cette édition 2016 avait accueilli 47 000 festivaliers (record d’affluence), mais aussi 43 concerts et dj sets et 31 intervenants dont la conférence du poète de l’art contemporain Olafur Eliasson.
Après des éditions 2017, 2018 et 2019 elles aussi réussies, le Festival We Love Green a malheureusement été contraint d’annuler ses éditions en 2020 et en 2021, en raison du Covid-19. En 2022, le festival a vécu une édition hors du commun à plusieurs titres… Si l’événement a été marqué par de violentes intempéries le contraignant à écourter la journée du samedi, We Love Green a tout de même réussi le pari de rassembler sur le site du Bois de Vincennes quelque 100.000 festivaliers !
En 2023 et en 2024, l’aventure de la famille We Love Green a continué avec deux éditions marquées notamment par les shows de Orelsan, Phœnix Gazo, Dinos, SZA, Justice, Shay ou encore King Gizzard & the Lizard Wizard et Burna Boy.
Désormais, tous les regards sont tournés vers l’édition 2025 de We Love Green, attendue de nouveau au Bois de Vincennes. Et une fois encore, l’événement musical va se dérouler sur trois jours, soit les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 juin 2025. Cela ne vous aura sûrement pas échappé, mais cette édition 2025 de We Love Green se déroulera une semaine plus tard que d’habitude.
Côté programmation, We Love Green a dévoilé les premiers noms de cette édition 2025. Une fois encore, le festival parisien met les petits plats dans les grands, en annonçant notamment la venue de l’artiste britannique Charli XCX, pour une date unique en France ! L’auteure-compositrice et interprète anglaise en profitera pour faire résonner au bois de Vincennes ses nombreux tubes, mais aussi les morceaux extraits de son dernier opus, intitulé « Brat« .
Autres noms confirmés à We Love Green en 2025 ? Les artistes électro Kavinsky et Amelie Lens, le duo versaillais Air, l’auteure-compositrice-interprète française Yseult, le groupe australien Parcels ou encore le rappeur francilien SDM. Sont également annoncés le jeune rappeur Jolagreen23, l’artiste d’origine franco-coréenne Spill Tab, Favé, Miki, ainsi que la DJ allemande horsegiirL.
Vous en voulez d’autres ? Laylow, Tiakola, Beach House, Gesaffelstein, Lucky Love, Polo & Pan, Clara Luciani ou encore Fka Twigs sont aussi annoncés au Bois de Vincennes en juin prochain ! On n’oublie pas LCD Soundsystem. Le groupe new-yorkais mené par James Murphy sera présent à We Love Green en 2025 pour un concert annoncé comme « exclusif en France« .
Rendez-vous dès à présent sur le site officiel de We Love Green pour réserver votre Pass !
We Love Green 2025, la programmation complète
Vendredi 6 juin 2025
Laylow
Tiakola
SDM
Yseult
Paul Kalkbrenner
Kavinsky
Sublime Live
Favé
Ceechynaa
Salute
Chloé Caillet
Didi Han
Isabella Lovestory
Swimming Paul
DJ Lewis
Riria
Thee Diane
Samedi 7 juin 2025
Charli XCX
Parcels
Gesaffelstein
Air
Amelie Lens
Spill Tab
Magdalena Bay
horsegiirL
Jolagreen23
Ezra Collective
Marcel Dettmann
Maureen
Snow Strippers
Theodora
U.R Trax
Jawnino
Roni
Halfpipe Records
Rallye
Natoxie
1T1
DJ Chinwax
Dimanche 8 juin 2025
LCD Soundsystem
Fka Twigs
Bicep
Clara Luciani
Beach House
Polo & Pan
Zamdane
DJ Koze
Avalon Emerson
Lucky Love
Jimi Jules
Fcukers
The Dare
Dalí
Miki
Kay The Prodigy
TH
Lil Rosy & Zepequenai
Claude
Clara Kimera
Camille Yembe
Bib Seck
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À l’occasion de la Saint Valentin et pour une durée indéterminée, la Salle Love du Grand Rex passe en mode ultra-cocooning ! Canapés en velours côtelé, lumière tamisée, ambiance feutrée … comme à la maison mais en XXL. Prêt.e.s à vous blottir devant le grand écran ?
Initialement prévue pour la Saint-Valentin 2025, la Salle Love (salle 6) du Grand Rex, transformée en véritable cocon ciné-cosy, joue les prolongations et continue d’accueillir les amoureux (du cinéma) pour une durée indéterminée. Dans un écrin intimiste, où lumière tamisée, murs en velours rose et ambiance feutrée s’acoquinent, le cinéma mythique des Grands Boulevards troque ses fauteuils rouges contre les canapés en velours côtelé de la marque de mobilier en vogue Bobochic Paris. Fini le pop-corn renversé sur les accoudoirs rigides, ici, on s’enfonce, on se blottit, on s’installe comme à la maison, mais avec un écran XXL.
Un dernier cliché avant de s’affaler ? Et c’est parti pour chiller devant les nouveautés ciné au Grand Rex. Que vous soyez en couple ou entre amis, une chose est sûre : vous n’allez plus vouloir quitter votre siège… ou plutôt, votre canapé !
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