Paillettes Paris : le restaurant festif qui mêle gastronomie et fête en plein cœur de Paris

Informations pratiques

Dates et Horaires
Prochains jours
Vendredi : de 12h à 15h – de 19h à 2h
Samedi : de 12h à 15h – de 19h à 2h
Dimanche : de 12h à 15h – de 19h à 2h
Lundi : de 12h à 15h – de 19h à 2h
Mardi : de 12h à 15h – de 19h à 2h
Mercredi : de 12h à 15h – de 19h à 2h
Jeudi : de 12h à 15h – de 19h à 2h

Lieu
Paillettes Paris
14 Rue Saint-Fiacre
75002 Paris 2

Calcul d’itinéraire

Site officiel
www.paillettes-paris.com

Page Instagram
@paillettesparis

Plus d’informations
Samedi soir 1er service 19h à 20h30
2 -ème service 22h à 23h00 uniquement le menu Paillettes sharing à 59 €

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Garden Parvis : l’incontournable festival de Paris La Défense ouvre ses festivités ce 25 juin avec un concert de Lucky Love

Espaces pétanques, food trucks, bars, concerts, DJ sets… Du 25 juin au 25 juillet, l’été battra son plein à Paris La Défense avec Garden Parvis, qui démarre fort ce 25 juin avec une prestation très attendue de Lucky Love.

Comme chaque été depuis cinq ans, le festival «Garden Parvis» s’installe au pied de La Grande Arche de La Défense pour cinq semaines de fête en plein air. Au programme, des animations, de la restauration ou encore des concerts. 

Pour célébrer l’ouverture comme il se doit, le chanteur Lucky Love viendra enflammer la scène du festival, le 25 juin à 20h30.

Révélé au grand public lors de sa performance électrisante lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques de Paris en août 2024, puis porté par le succès de son titre «Masculinity» – à retrouver sur son premier album «I don’t care if it burns» qui lui a valu une nomination dans la catégorie Révélation Masculine aux dernières Victoires de la Musique – l’artiste offrira «un concert inédit, généreux et inclusif, à l’image de son engagement artistique», est-il annoncé.

5 semaines de fête

Pensé comme un espace de vie, de fête et de découverte, le festival Garden Parvis proposera dès lors chaque jour des performances, de la gastronomie, des afterworks…

Ce sera apéro Game les lundis, Sunset pétanque les mardis, Bingo Music quiz et DJ Mix les mercredis. Puis rendez-vous avec des concerts les jeudis, des DJ sets pour se déhancher dès 18h les vendredis, des classes de danse pour parfaire sa technique les samedis et des brunchs pour se régaler les dimanches… Plus de 300.000 visiteurs sont attendus.

 

La riche programmation, gratuite et ouverte à toutes et tous, est à retrouver ici.
 

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Hannah Jadagu signe son retour entre Paris et L.A. avec le morceau “My Love”

C’est le premier morceau depuis son très remarqué album Aperture, sorti en 2023. Et elle n’a pas travaillé seule : Hannah a produit My Love entre Los Angeles et Paris, avec Max Baby, Sora et Blue May au mix. Rien que ça.

Repérée par la presse US — NPR, The New York Times, Stereogum… —, elle a déjà tourné avec Arlo Parks, Faye Webster ou Beach Fossils. Et son prochain album est attendu pour cet automne chez Sub Pop. En attendant, My Love tourne déjà en boucle chez nous.

P.S. : Le clip, qu’elle a co-réalisé, s’inspire des films d’espionnage façon I Spy, dans une version romantique et un peu décalée du genre.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

13 juin 2025, 18:23 Lucky Love dans l'espace presse quelques heures avant son concert.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Il avait chanté devant 150 000 personnes à Paris, Rachida Dati rend hommage à ce célèbre chanteur yéyé décédé

Claude Benzaquen, plus connu sous son nom de scène, Frankie Jordan, est décédé mardi 3 juin 2025 à Neuilly-sur-Seine dans les Hauts-de-Seine, des suites d’un cancer. Il avait été l’une des figures de la vague yéyé du début des années 1960 aux côtés des plus grands noms de la chanson française. 

À lire aussi

Il chante durant la célèbre nuit de la Nation devant une foule immense

Né à Oran, il avait grandi à Casablanca mais c’est bien par la musique américaine qu’il avait été fasciné durant son enfance. Frankie Jordan connaît le succès au début des années 1960, avec, entre autres, Tu parles trop, reprise de la chanson américaine You talk too much, puis Dieu merci elle m’aime aussi, adaptation de « (en) Hallelujah I Love Her So » de Ray Charles, et quelques célèbres adaptations de Fats Domino. 

Sa carrière décolle vraiment en 1961, lorsqu’il partage le micro avec Sylvie Vartan sur « J’aime ta façon de faire ça » et « Panne d’essence ».

« En réinterprétant des chansons américaines il avait, à sa façon, rendu hommage aux artistes qui l’avaient inspiré et contribué à l’émergence du rock qui allait bientôt devenir le marqueur de toute une génération », salue la ministre de la Culture, Rachida Dati, dans un communiqué, ce mardi 10 juin. 

En 1963, il avait fait partie de ceux qui s’étaient produits lors de la célèbre Nuit de la Nation, devant 150 000 personnes venues applaudir la plupart des idoles yéyé du moment dont Johnny Hallyday. Les incidents et violences qui l’émaillèrent, généralement attribués à l’action des blousons noirs, suscitèrent un vaste débat dans la presse, mais aussi au Conseil municipal de Paris, autour de la question de la délinquance juvénile.

Vidéos : en ce moment sur Actu

Il figurait également aux côtés des autres stars du moment sur la « photo du siècle » de Jean-Marie Perier. 

 Il avait ensuite abandonné la chanson pour se consacrer à ses activités de chirurgien-dentiste, enseignant en faculté. En 1996, il a été fait chevalier dans l’Ordre de la Légion d’honneur et en 2005, officier dans l’Ordre des Arts et des Lettres.

Suivez toute l’actualité de vos villes et médias favoris en vous inscrivant à Mon Actu.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Retour sur la 15e édition du festival We Love Green

Par L’Economiste | Edition N°:7029 Le 11/06/2025 | Partager

We Love Green a enflammé le bois de Vincennes à Paris le week-end dernier. Ce festival français de musique électro-pop s’est déroulé du 6 au 8 juin et a attiré environ 100.000 visiteurs. Comme chaque année depuis 15 ans, il a proposé une programmation exceptionnelle. Cette édition n’a pas fait exception: Kavinsky, Tiakola, SDM, Sampha ou encore Vald étaient présents ce week-end.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

We Love Green : le meilleur (et le moins bon) de l’édition 2025


Charli XCX, Vald, FKA Twigs, Sampha… Sous un ciel presque clément, le festival parisien a offert tout au long de ces trois jours de beaux moments forts, entre garnement rap, jeunes talents de la scène française, falsetto renversant et pole dance d’avant-garde.

Fka Twigs sur la scène du festival We Love Green, dans un show ultra millimétré à la rigueur folle. Fka Twigs sur la scène du festival We Love Green, dans un show ultra millimétré à la rigueur folle.

Fka Twigs sur la scène du festival We Love Green, dans un show ultra millimétré à la rigueur folle. Photo Raphael Chene

Par Odile de Plas, Jean-Baptiste Roch, Erwan Perron, Thomas Richet, Rachel Rousseau

Publié le 09 juin 2025 à 15h41

Mis à jour le 10 juin 2025 à 11h56

Miracle, il n’a pas plu, ou presque. Quelques gouttes samedi pendant le passage des Australiens de Parcels et quelques autres, artificielles, pendant le show de la vedette du week-end, Charli XCX, qui s’est amusée à lécher la scène, immortalisant le moment pour les réseaux sociaux, dans cette boucle médiatique infinie que l’Anglaise alimente depuis un an. La météo étant clémente, la musique est revenue au premier plan à We Love Green, tout au long de ces trois jours. S’il n’a pas affiché complet en dehors du samedi, le festival parisien a offert plusieurs moments forts, entre garnement rap, brat summer, falsetto renversant et pole dance d’avant-garde.

Plutôt philo ou techno ?

À We love green, sous les frondaisons du Bois de Vincennes, le vendredi, c’est philosophie ? Le festival a beau ne pas afficher complet pour son premier soir et la foule s’amasser doucement devant la grande scène, le sale gosse Vald déballe avec agilité son rap empli de questionnements. À 32 ans, le tchatcheur originaire d’Aulnay-sous-Bois a souvent présenté son propos burlesque et grinçant comme « de la philosophie pour les nuls ». Alors, épaulé de son fidèle backeur Suikon Blaz AD et d’un DJ, et entouré par une dizaine de danseurs et danseuses aux chasubles jaune fluo (un clin d’œil aux gilets jaunes ?), c’est comme s’il réfléchissait à voix haute avec le public. « Un pied à gauche, un pied à droite / Avant, j’étais pauvre, est-ce que c’est qu’j’étais gauche ? / Maintenant, j’allonge, est-ce que je suis adroit ? », rappe-t-il de sa voix espiègle mais où perce la sincérité. Vald qui n’a jamais autant chanté, et bien, ne boude pas son plaisir sur fond de techno gabber. Il incite les spectateurs à faire des cercles de danse et à pogoter. Et ça marche !

Les gars et les filles à suivre

Du côté des jeunes talents de la scène française, le week-end a été l’occasion de quelques belles confirmations. Sur la scène de La Canopée, souvent réservée aux débutants, Jolagreen23 a prouvé qu’il n’y a pas meilleur compagnon que son public et fini par convaincre une foule chauffée à blanc par son acolyte, le rappeur Kabbsky. Jusqu’à atteindre, juste à temps, la ferveur espérée sur ses tubes 360TrickShot et 4BULLDOG. Dali a fait ses débuts dans la même veine rap, avant de s’en aller explorer d’autres contrées. Et quelle merveilleuse déviation, tant il brille sur scène dans ce mélange d’esthétiques, entre chanson, grunge, bossa nova et R’n’B. Loin de se résumer à un style, Dalí touche par son attitude, entouré d’un groupe de musiciens sans qui la performance n’aurait pas cette saveur, impétueuse et savoureuse à la fois.

Mais cette année, la couronne revient aux jeunes femmes. Et surtout à Théodora, qui aurait bien mérité la grande scène au regard de la marée humaine que la jeune artiste a provoquée. Grâce au succès viral de son titre Kongolese sous BBL, elle s’est offert la compagnie de Luidji, Juliette Armanet et Chilly Gonzales, qui composent les featurings de sa récente réédition MEGA BBL et témoigne de son habileté à orchestrer différents univers, du R’n’B au rock, de la pop à l’afro, y compris caribéen, pour en faire un tout cohérent. Sur la grande scène, quelques heures plus tôt, la reine du Shatta, Maureen ramassait enfin les fleurs d’un succès qui tardait en hexagone. Avec ses danseurs, elle a fait honneur aux Antilles, et surtout à ce genre musical venu de la Martinique, amenant avec elle la chaleur qui manquait – côté météo – depuis vendredi. De quoi confirmer son rôle de cheffe de file d’une nouvelle tendance qui prend enfin racine de ce côté-ci du globe.

À la recherche de la mélodie perdue

L’envie ne manquait pas. Le souvenir de la cérémonie d’ouverture des jeux Paralympiques et de la prestation intense de Lucky Love, ce soir-là, nous avait même plutôt réconciliés avec sa pop internationale qui, sur disque, n’avait pas convaincu. Las, un titre réussi ne fait pas un concert. Lucky Love ne manque ni de charisme, ni d’énergie, mais difficile d’accrocher sur la longueur à une musique qui tient surtout de l’exercice de style d’un classicisme étrangement daté. Un peu soul, un peu rock, un peu gospel, un peu dance, un peu pop et pas grand-chose à la fin, faute de mélodies qui sortent de l’ordinaire.

À quelques mètres, sous la Clairière, sans davantage de mélodies mais avec une interprétation qui misait tout sur la retenue, l’Espagnole Judeline, telle un spectre sorti des ruelles de son Andalousie natale, livrait à l’inverse un show aussi intrigant qu’attachant. Sa musique, il est vrai, repose sur des solides fondations rythmiques, venues de l’hyper pop comme de la techno la plus cérébrale. Et comme l’ont déjà fait avec talent une Rosalia ou un Bad Bunny, ses références assumées, Judeline parvient à y mêler tout un héritage harmonique latino, rajeunissant l’une et l’autre de ses influences.

Sampha, la pépite anglaise néosoul, est accompagné d’une troupe de jeunes musiciens biberonnés au jazz et à l’électro. Sampha, la pépite anglaise néosoul, est accompagné d’une troupe de jeunes musiciens biberonnés au jazz et à l’électro.

Sampha, la pépite anglaise néosoul, est accompagné d’une troupe de jeunes musiciens biberonnés au jazz et à l’électro. Photo We Love Green

De l’art et de l’expérience

Après un premier passage en 2018 dans la foulée de Process, premier album qui lui valut de multiples collaborations (Beyoncé, Frank Ocean, Drake…) et un détour par Rock en Seine l’année dernière, Sampha faisait son retour à WeLoveGreen. Sept ans ont passé et la pépite anglaise néosoul est toujours cet artiste accompli, une voix au falsetto céleste, un pianiste inspiré, accompagné d’une troupe de jeunes musiciens biberonnés au jazz et à l’électro aussi doués que lui. Dans une entrée en scène pleine de joie et d’émotion partagée, Sampha a donné le ton puis déroulé les titres de son deuxième album, Lahai (2023), de sa voix de velours, n’écoutant que son exigence face aux injonctions à faire danser. Subtilité, décontraction et maîtrise impressionnante furent comme toujours au rendez-vous avec lui. À l’image de cette intro folle où il tambourina en cercle avec son groupe avant de retomber magnifiquement sur ses pieds, Sampha planait hier au-dessus de la mêlée.

Quelle est la potion magique de Beach House pour faire de chacun de leurs concerts une communion sans pareil ? Il émane du duo du Baltimore, formé par Victoria Legrand (voix, orgue) et Alex Scally (guitare) une sourde inquiétude qui empêche leurs entrelacs alanguis de claviers, de guitares et de voix de virer à l’inoffensif. On ne comptait plus les énamourements devant le spectacle de leur absence, cachés dans la pénombre de la scène, ombres chinoises enveloppées de lumière, concentrés sur les instruments, sans un regard pour la foule mais entièrement dédiés à son plaisir. Il se dit que les vapeurs de leur pop rêveuse auraient provoqué des évanouissements dans le public.

FKA Twigs, c’est un peu l’anti Charli XCX. Là où la seconde mise sur son charisme pour un seule en scène frénétique, la première livre un show ultra-millimétré à la mise en scène d’une rigueur folle, entre spectacle de danse expérimental et rave. Non pas qu’elle manque de magnétisme – l’Anglaise de Cheltenham le prouve en finissant sur un Cellophane d’un dépouillement bouleversant, qui a fait couler quelques larmes autour de nous. Entre-temps, accompagnée de neuf danseurs eux aussi impressionnants, avec pour décor un cube de métal menaçant, FKA Twigs aura fait de la pole dance, manié une épée et prouvé sans cesse qu’elle est aussi bonne danseuse que chanteuse. Le sens de cette épopée en trois actes nous a parfois échappé – le dragon de la fin nous a notamment laissés perplexe –, mais on a rarement vu une musicienne mêler avec autant de force la pop et l’avant-garde, le cérébral et le sensuel.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Mort d’une femme, We Love Green, trafic de cocaïne… Les infos du week-end en Île-de-France

Un accident dramatique. Une femme est décédée à Courbevoie (Hauts-de-Seine), vendredi 6 juin 2025, après avoir été renversée par un bus. Le conducteur n’était ni alcoolisé ni sous l’emprise de stupéfiants, indique la RATP.

Il s’agit de la principale information de ce week-end du samedi 7 et dimanche 8 juin 2025. Le reste est concocté par actu Paris

À lire aussi

Hauts-de-Seine. Hauts-de-Seine : mort d’une femme percutée par un bus de la RATP, une enquête en cours
Une femme est décédée à Courbevoie, vendredi 6 juin 2025, après avoir été renversée par un bus. Le conducteur n’était ni alcoolisé ni sous l’emprise de stupéfiants.

Paris. « Infernale », « pourrie »… À Paris, plusieurs spectateurs du festival We Love Green fustigent l’organisation
Sur le réseau social X, plusieurs internautes ayant pris part au festival organisé au bois de Vincennes ont déploré les conditions de sortie de l’enceinte.

Seine-Saint-Denis. Trafic de cocaïne avec des bagagistes à l’aéroport de Roissy : ils sortaient des dizaines de kilos chaque mois
La mise en place de techniques spéciales d’enquête a permis de démanteler un réseau s’appuyant sur des bagagistes de Roissy.

Vidéos : en ce moment sur Actu

Val-de-Marne. Saint-Maur-des-Fossés : sanctionné par un ministre, l’ex-président de l’OPH s’en remet au Conseil d’Etat
L’ex-président de l’OPH de Saint-Maur-des-Fossés a saisi le Conseil d’Etat pour retrouver son siège.

Essonne. Métro, « délinquance itinérante »… pourquoi les gendarmes renforcent leur présence dans cette zone en Essonne
Un nouvelle brigade de gendarmerie a été inaugurée ce jeudi au sein du technopole de Paris-Saclay. Une réponse aux enjeux sécuritaires de cette zone en plein développement.

Yvelines. Aux personnes âgées ou aux malades, le tennis s’adapte à tous dans les Yvelines
Le vendredi 6 juin 2025, le Tennis Club de Cernay (Yvelines) proposait une journée découverte du tennis santé. Une activité pour se maintenir en forme mentalement et physiquement. 

Seine-et-Marne. Le futur sommet de l’extrême droite européenne dans le Loiret fait déjà des vagues en Seine-et-Marne
En amont du sommet de figures de l’extrême droite européenne dans le Loiret, ce lundi 9 juin, deux élus de Seine-et-Marne s’accusent de récupérations politiques mutuelles. Débat.

Val-d’Oise. Dans cette forêt du Val-d’Oise, une déambulation organisée pour alerter contre les coupes rases
Organisée par l’association Val Parisis Environnement, une déambulation citoyenne en forêt de Montmorency aura lieu dimanche 15 juin, à partir de 15h30.

Suivez-nous pour en savoir plus !

Paris : retrouvez actu Paris sur Facebook et Twitter ;
Seine-et-Marne : retrouvez La République de Seine-et-Marne (sud) sur Facebook et Twitter La Marne (nord) sur Facebook et Twitter ; et Le Pays Briard sur Facebook et Twitter ;
Yvelines : retrouvez 78actu sur Facebook et Twitter ;
Essonne : retrouvez actu Essonne sur Facebook et Twitter ;
Hauts-de-Seine : retrouvez actu Hauts-de-Seine sur Facebook et Twitter ;
Seine-Saint-Denis : retrouvez actu Seine-Saint-Denis sur Facebook et Twitter ;
Val-de-Marne : retrouvez actu Val-de-Marne sur Facebook et Twitter ;
Val-d’Oise : retrouvez La Gazette du Val-d’Oise sur Facebook.

Suivez toute l’actualité de vos villes et médias favoris en vous inscrivant à Mon Actu.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Charli XCX triomphe à We Love Green en fêtant, dans un défoulement hédoniste, le premier anniversaire de son album « Brat


La chanteuse britannique Charli XCX lors d’une apparition surprise au concert de Air, pendant le festival We Love Green, à Vincennes, le 7 juin 2025. La chanteuse britannique Charli XCX lors d’une apparition surprise au concert de Air, pendant le festival We Love Green, à Vincennes, le 7 juin 2025.

Ce samedi 7 juin, le festival We Love Green aurait presque pu se rebaptiser We Love Lime Green, tant la foule envahissant le cadre forestier du bois de Vincennes à Paris multipliait les références (des chaussures à la teinte des cheveux) à la couleur « citron vert » (lime en anglais) de la désormais iconique pochette de Brat, sixième album de l’Anglaise Charli XCX, sorti il y a un an jour pour jour. Devenue en douze mois un phénomène culturel et commercial, la « sale gosse » était l’incontestable star de la deuxième journée de l’événement qui se termine dimanche 8 juin.

Comme souvent, ce festival précurseur, depuis 2010, des rassemblements écoresponsables, toujours à l’affût de l’avant-garde pop et des musiques urbaines, a eu le nez creux. « Nous avons signé pour sa venue, au moment de la sortie de Brat », explique Emmanuel de Buretel, patron de la maison de disques Because Music, coproducteur de We Love Green. « A l’époque, son cachet était abordable, il le serait beaucoup moins aujourd’hui », précise-t-il, en se félicitant de cette exclusivité française.

Il vous reste 79.97% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

« Infernale », « pourrie »… À Paris, plusieurs spectateurs du festival We Love Green fustigent l’organisation

Des averses et une sortie ardue à Paris. Ce samedi 7 juin 2025, le festival We Love Green, organisé dans le bois de Vincennes (12e arrondissement) du vendredi 6 au dimanche 8 juin a beau avoir brandi sa plus belle programmation musicale, certains spectateurs ont partagé leur désappointement sur l’organisation. Quelques minutes après la performance de l’artiste britannique Charli XCX, les festivaliers ont pris le téléphone pour narrer leurs mésaventures à la sortie du site.

À lire aussi

Plus de 100 000 personnes attendues en trois jours

« La sortie de We Love Green je suis choquée c’est quoi cette organisation pourrie », a fustigé l’une d’entre elles sur le réseau social X. « Faut apprendre à ANTICIPER la sortie à la fin du festival », a regretté une internaute, qui affirme avoir été « bloquée 30 minutes » sous la pluie, à l’issue de la journée. D’autres sont parvenus à monter à bord d’un VTC. Non sans difficulté. « Merci chauffeur bolt de me sortir de l’infernale sortie de welovegreen », a glissé une autre festivalière.

Ce samedi 7 juin, des milliers de personnes étaient attendues sur la plaine de la Belle Étoile pour assister à la deuxième journée de la 11e édition de We Love Green. Une affluence difficile à extraire hors de l’enceinte.

« Ce n’était pas organisé du tout, personne ne nous disait où aller », raconte une festivalière à actuParis. Avec des conséquences sur les mobilités. « Quel enfer pour partir de we love green, pas possible de prendre le métro et bus et on a attendu uber pendant 1h30 qu’on a payé une blinde pcq c le seul qui nous a acceptés », a raconté une spectatrice. Sollicité, le festival n’avait pas encore répondu à nos questions.

Lancé en 2010, l’événement a pour objectif de sensibiliser les citoyens aux enjeux de la transition écologique par le biais de conférences, d’ateliers et de débats. Le festival a également servi de tremplin à plusieurs figures de la pop et de l’électro français, à l’instar d’Aya Nakamura. Depuis la crise sanitaire liée au Covid-19, la fréquentation est en hausse. En 2025, plus de 100 000 personnes sont attendues.

Suivez toute l’actualité de vos villes et médias favoris en vous inscrivant à Mon Actu.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.