Les douze spectacles de danse les plus attendus en 2025

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Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Key of Love, l’outsider séduisant du Quinté+ de ce lundi 6 janvier


Son profil

Après plusieurs disqualifications, Key of Love (5) est passée des boxes de Sébastien Guarato à Thibault Lamare. Victime d’un ralentissement pour sa première sortie sous son nouvel entraînement, cette fille de Ready Cash et Une Love Star a ensuite effectué deux bons parcours de remise en confiance. Associée cette fois à un pilote, Anthony Barrier, elle peut refaire parler d’elle. 

Sa dernière course 

Prix de Deuil-la-Barre – 2700m GP – Vincennes – 25/12/24

Plaquée des quatre pieds, contrairement à sa dernière sortie, Key of Love a montré qu’elle était sur la montante. Rapidement parmi les dernières, la représentante de Gianni Fascella a pris le wagon de trois dans la montée et a produit un bel effort final pour prendre la cinquième place, près des concurrentes classées devant elle.

Sa statistique

Tandem A. Barrier – T.Lamare : 9 dernières courses – 2 victoires – 1 place – 56% dans les 5

Le duo Anthony Barrier – Thibault Lamare a déjà brillé ces derniers mois, notamment avec la bonne Keen Winner. Ce lundi, Key of Love peut soigner leurs statistiques.

L’avis de son entraîneur, Thibault Lamare

« Je suis très content de la forme et du mental de Key of Love (5). Elle aborde cet engagement en pleine possession de ses moyens. Elle se montrera plus offensive cette fois, car elle possède plus de dureté que de vitesse. Je la juge capable de prendre une part active à l’arrivée de ce Quinté+. »

Sa cote probable : 24/1 

Sa note : 10/20

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With Love, Meghan : date de diffusion, invités, photos… Tout sur la nouvelle série Netflix de Meghan Markle

Le 2 janvier dernier, Meghan Markle, l’épouse du prince Harry, dévoilait sur son compte Instagram la bande-annonce de la série « With love, Meghan ». Série dans laquelle la duchesse de Sussex sous aucun prétexte surexposera ses yeux pour « réinventer un style de vie, mêlant conseils pratiques et conversations franches avec des amis, nouveaux et anciens », détaille l’argumentaire de la série. « Meghan partage des astuces personnelles, privilégiant l’espièglerie à la perfection et souligne à quel point il peut être facile de créer de la beauté, même dans l’inattendu. Elle et ses invités retroussent leurs manches dans la cuisine, dans le jardin et au-delà et vous invitent à faire de même. » Voilà pour le programme d’une série qui invite le futur spectateur à « créer de la magie ».

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Où la série a-t-elle été tournée ?

Un vrai conte de fées…. dans un décor de conte de fées. Les voyeurs architecturophiles en seront pour leur frais, les épisodes n’ont pas été tournés chez les Sussex à Montecito en Californie, mais dans une autre maison du quartier, estimée à 8 millions de dollars et appartenant à une influente famille californienne, d’après les informations du « DailyMail ».

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Quelles seront les stars de la première saison ?

Netflix annonce un certain nombre de guests : le chef cuisinier coréano-américain Roy Choi, l’actrice et scénariste américaine Mindy Kaling, qui a notamment travaillé sur « Vice & Versa », ou encore la restauratrice Alice Waters, connue pour son best-seller traduit en Français « L’Art de la cuisine simple ». D’autres invités apparaîtront tout au long de la saison, promet le site de streaming. Le prince Harry fera-t-il une apparition derrière les fourneaux ? Ou Mercotte ? Hélas, Maïté, elle, ne pourra pas apprendre à notre jolie princesse Meghan comment préparer une terrine de sanglier.

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Quand sera diffusée la série ?

Les abonnés à Netflix pourront découvrir la série réalisée par Michael Steed à partir du 15 janvier prochain. La première saison durera 8 épisodes de 33 minutes, même pas le temps de cuisson d’un bon pot-au-feu.

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Cole Porter in Paris – Rennes

Initialement présentée au Châtelet en 2021 et à l’époque chroniquée par Tania Bracq, la réjouissante création de Christophe Mirambeau, Cole Porter in Paris, est ici reprise à Rennes, mais hors les murs. C’est à quelques pas de l’Opéra, dans le Couvent des Jacobins, ancien édifice religieux devenu caserne et maintenant centre de Congrès doté d’une salle d’un bon millier de places, que le spectacle est proposé pour une série de cinq représentations en quatre jours. Évidemment, cette salle dépourvue de cintres n’est pas le Châtelet et il a fallu ajuster la mise en scène et les décors en trouvant de nouvelles solutions. Qu’à cela ne tienne, l’équipe de création a su tirer le meilleur du défi que représentait la configuration in situ. Le jour de la Première, quelques projecteurs de poursuites étaient à la traîne et les jeux d’éclairage restaient à parfaire mais l’ensemble est de très belle qualité. Cependant, le spectacle n’a pu être ici surtitré en anglais et en français comme à la création, ce qui ne nuit heureusement en rien à la compréhension de l’œuvre, quoique les surtitres auraient été les bienvenus pour apprécier toutes les subtilités des compositions du génial et prolifique Américain.

@gogojungle ©Frédéric Michot

Fin connaisseur de Cole Porter, le plus francophile des Big Five de la Comédie musicale américaine, le metteur en scène Christophe Mirambeau lui a dédié cette comédie musicale à la française où il s’intéresse au séjour du musicien dans l’Hexagone, entre 1918 et 1929, en y intégrant des chansons écrites en France puis, dans la suite de sa carrière, inspirées par la France ou la décrivant. Trois artistes interprètent le rôle de Cole Porter, illustrant ces trois aspects mais également les différentes facettes de la personnalité du célèbre lyriciste. Il en résulte un spectacle qui ne se veut pas une biographie au sens strict du terme, mais une évocation de la richesse et du foisonnement de création d’un immense compositeur, tout en explorant ses liens et ses attaches avec la France et, de fait, la correspondance avec le style français. On oscille ainsi entre Broadway et les Folies-Bergère, le music-hall et le musical. Avec, on le sent, l’ambition de montrer qu’on sait, de ce côté de l’Atlantique, construire un spectacle à notre façon qui a de la tenue. Et il faut dire que cela s’avère crânement réussi. Les décors et la scénographie de Casilda Desazars, notamment, sont à la fois minimalistes et très évocateurs des fantastiques années vingt, éléments graphiques à la Fernand Léger croisés avec des couleurs chatoyantes que n’auraient pas reniées Vincente Minnelli. Les costumes imaginés par la complice de Christophe Mirambeau sont spectaculaires. D’ailleurs, il faut ici souligner les qualités d’adaptation des artistes : avec une équipe d’habilleuses réduite, ils doivent se vêtir pour l’essentiel eux-mêmes, sachant qu’on a droit à un changement de toilette à peu près toutes les trois à quatre minutes… L’œil est à la fête. Les danseurs mettent harmonieusement en valeur les délicieuses chorégraphies de Caroline Roëlands, où les chanteurs ne sont d’ailleurs pas en reste, en particulier Léovanie Raud tout en grâce et en élégance, rivalisant avec le travesti Charlène Duval, magnifique Marlène à perruque rousse aux jambes interminables et au métier qu’on sent très solide. Si les numéros évoquent une grande variété de références (la danse des petits pains de la Ruée vers l’or ou les peaux de bêtes à la Keaton dans les Trois Âges pour n’en citer que deux) issues du cinéma américain ou français, nombreux sont également les parallèles avec le cabaret allemand (et, en général, l’univers des Années folles, entre Gatsby et Cocteau). L’ambiance musicale, quant à elle, présente une sonorité bien affirmée, véritable hommage à l’art savant et populaire à la fois de Cole Porter, grâce aux orchestrations des musiciens des Frivolités Parisiennes, avec un pétillant orchestre formé pour l’occasion de quatorze instrumentistes, dont un accordéoniste, pour une French Touch qui fait pétiller l’ensemble comme du champagne. Cela swingue, il y a du tap dance et on y lève la jambe comme au Moulin rouge.

© Baptiste Jayat

Mais par-delà l’apparente légèreté, on ressent une grande sensibilité doublée d’une tendresse infinie, mâtinée d’une certaine nostalgie chez des personnages bien loin de la supposée frivolité ambiante et dont la profondeur de sentiments comme de vues se fait régulièrement jour, sans parler des fêlures des personnages principaux. C’est là qu’interviennent les qualités d’acteurs des solistes chanteurs dont les voix correspondent essentiellement aux normes de la comédie musicale, à commencer par le trio qui interprète Cole Porter. Yoni Amar, par exemple, habitué du rôle de la Bête dans la Belle et la Bête, offre une vision fort séduisante d’un Porter à qui tout semble sourire. Le vibrato est un peu large, mais la technique est sûre. Plus proche de l’univers de l’opéra, Richard Delestre permet de saisir une personnalité plus intellectualisée ; mais c’est Matthieu Michard, par ailleurs pianiste, qui réussit à intérioriser avec une délicatesse qui soulève l’empathie la complexité de Porter, ouvertement bisexuel et puisant dans ses expériences personnelles son inspiration. Son épouse, Linda Lee, est incarnée avec finesse par la soprano Marion Tassou, dotée d’un timbre riche au nuancier ondoyant. Elle parvient à merveille à faire saisir les affres de la jalousie et le désespoir de son personnage. À ses côtés, Léovanie Raud affiche une belle santé vocale, n’hésitant pas à pousser la voix en bonne routinière du musical.

Le spectacle est ainsi plein d’allant, avec de brefs dialogues parlés évoquant la vie parisienne d’un Américain aux premières loges des caf’conc’ et autres lieux qui comptent aux côtés du tout Paris de l’époque. Les numéros s’enchaînent, alternant quelques « tubes », à commencer par « I love Paris », avec des chansons moins connues, ce qui donne une envie irrésistible de réviser son Cole Porter, qu’on ne connaît finalement pas forcément si bien que ça. C’est l’une des grandes qualités de cette œuvre dont l’enregistrement est également disponible. En sortant, gageons que d’aucuns se précipiteront pour revoir les Girls ou Silk Stockings, à moins de rechercher les plus rares Can-Can ou Fifty Million Frenchmen.

S’il restait, le jour de la Première, des places pour la Dernière du spectacle, gageons qu’avec le bouche-à-oreille, ce vivifiant et attrayant spectacle devrait faire salle comble d’ici là.

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Une exposition gratuite à Paris dévoile pour la première fois les dessins rythmés de Keziah Jones

Le galeriste Éric Dupont, qui fréquente l’artiste depuis plusieurs années, a visité un jour son studio parisien et a été immédiatement séduit par ce trait vif, aussi maîtrisé que libéré. « Keziah Jones tourne et voyage beaucoup à l’international, mais dans ses périodes de créativité, il alterne entre la musique et le dessin, précise-t-il. Le travail sur papier lui permet de se ressourcer, voire quand il est dans une forme d’impasse, de se relancer… » À découvrir jusqu’au 18 janvier dans l’exposition « Keziah Jones. The Invisible Ladder ».

Lignes mélodiques

Depuis les années 2000, l’artiste réalise ainsi des lignes déliées dans de grands formats qui témoignent de l’implication de l’ensemble de son corps. « Il a besoin d’avoir un rapport très rapproché avec la feuille, qui donne une première impression de fluidité. Mais si l’on regarde de près, la répétition des lignes atteste d’une certaine autorité », conclut le galeriste. Ces entrelacs sont parfois accompagnés de collages – comme des ponts vers sa vie quotidienne – ou se densifient d’encre noire ou colorée, tels de nouveaux tests de Rorschach.

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Keziah Jones, Sans Titre, 2020, encre et feutre sur carton plume, 140 x 110 cm, Galerie Éric Dupont, Paris.

Partageant son temps entre Paris et Lagos, où il est né, Keziah Jones dit vouloir offrir une image positive de l’Afrique postcoloniale, éloignée des clichés du monde occidental. Lorsqu’il mentionne ses œuvres plastiques, il insiste sur la fluidité de son geste et parle de sensations hypnotiques, accueillant des formes organiques tridimensionnelles. Le dessin, issu de mouvements répétés, se révèle ensuite dans son autonomie propre et individuelle. Les sentiments de doute ou d’attente résolus, il revient alors à la musique… poursuivant un autre rythme.

L’avis de Marc Donnadieu, chercheur et commissaire d’expositions indépendant

Ces dessins sont une véritable découverte pour moi et j’ai tout d’abord été impressionné par leur taille. Ils renvoient immédiatement à une dimension corporelle et nous font ressentir ce quasi-affrontement avec la feuille de papier. Nous suivons à la fois la pensée et le geste de l’artiste, qui prend forme comme une chorégraphie. La physicalité de l’œuvre montre cette fusion entre l’art plastique et la musique, évoquant différents accords développés au sein d’une même mélodie, presque à la John Coltrane. Keziah Jones donne une impression d’improvisation, tout en maîtrisant son trait. Il réalise un dessin d’un nouveau genre, ni automatique, ni pulsionnel.

« Keziah Jones. The Invisible Ladder »
Galerie Éric Dupont, 138, rue du Temple, 75003 Paris
Du 14 novembre au 20 janvier

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Sabrina Carpenter, Lucky Love, Marie Colomb… Les artistes qui ont brillé en 2024

Après le classement des meilleures séries de l’année, place à celles et ceux qui nous ont fait vibrer en 2024. Que ce soit au cinéma, à la télé ou encore lors des JO de Paris, de nombreux artistes ont percé l’écran ou enflammé des foules en délire ces douze derniers mois.

Parmi eux, des visages jusque-là méconnus du grand public : Sabrina Carpenter, Lucky Love, Chappell Roan, Marie Collomb… Des étoiles montantes dont on entendra forcément parler en 2025.

Sabrina Carpenter

Impossible d’être passée à côté de la chanteuse et de son méga carton Espresso, l’été dernier. Enfant star et ancienne actrice Disney, Sabrina Carpenter a complètement renversé l’année 2024 avec une multitude de succès musicaux, des looks iconiques et des clips percutants.

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Citons notamment celui de Taste, en duo avec l’actrice Jenna Ortega ou encore Please Please Please où apparaît son célèbre (et ex ?) petit ami Barry Keoghan. Rendez-vous en 2025 pour des outfits encore plus fous et de nouveaux tubes planétaires.

Lucky Love

Lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques de Paris 2024, il a livré une prestation aussi sublime que bouleversante. Entouré de nombreux danseurs sur l’immense scène de la place de la Concorde, il y interprétait avec grâce My ability, une version revisitée de son titre Masculinity, qui questionne les codes de la masculinité.

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Depuis, le chanteur de 31 ans a sorti son tout premier album, I Don’t Care If It Burns, en novembre, et a rempli la Gaîté Lyrique dans la foulée. En 2025, il enflammera la Cigale parisienne à deux reprises (et d’autres concerts à travers la France) et nous réservera, on l’espère, de nouvelles surprises.

Chappell Roan

Pop star queer et icône lesbienne, l’américaine Chappell Roan est l’une des grandes révélations de l’année. Chevelure flamboyante, looks camp et prestations scéniques époustouflantes, la chanteuse a apporté un véritable vent de fraîcheur à l’industrie musicale en 2024.

La chanteuse Chappell Roan.
La chanteuse Chappell Roan.  - Richard Shotwell/AP/SIPA

Elle s’est aussi malheureusement retrouvée au cœur d’une polémique en pleine présidentielle américaine, à l’automne, certains internautes lui reprochant de ne pas prendre clairement parti pour la candidate démocrate Kamala Harris (qui avait repris sa chanson Femininomenon lors de sa campagne). Elle a remis les points sur les i depuis. En 2025, Chappell Roan sera sous les feux des projecteurs lors de la prochaine cérémonie des Grammy en février et à l’affiche du festival parisien Rock en Seine en août, un événement.

Coperni

Certains avaient déjà été frappés par l’incroyable « robe spray », façonnée en direct sur Bella Hadid devant un public ébahi, en clôture d’un défilé en 2022. Cette année, le duo Corpeni – formé par les créateurs Sébastien Meyer et Arnaud Vaillant – a une nouvelle fois marqué les esprits avec la combinaison fuselée et futuriste qu’a portée la chanteuse Angèle lors de la cérémonie de clôture des JO, en août.

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Sans oublier ce catwalk mémorable en plein cœur de Disneyland Paris, à l’automne, lors duquel le binôme a fait défiler ses mannequins au pied du château de la Belle au bois dormant.

Marie Colomb

Au fil des 6 épisodes de la série Culte, sorti en octobre, on ne voit qu’elle : Loana. Ou plutôt, Marie Colomb, l’actrice qui interprète les débuts de cette star de la téléréalité, dans cette fiction Amazon sur la naissance de « Lof Story » en France. Impossible de quitter la comédienne du regard quand elle apparaît à l’écran, tant sa prestation est saisissante.

Après des rôles dans les films Les Magnétiques et As Bestas et des séries comme Laëtitia ou Follow, Marie Colomb a prouvé avec Culte qu’on ne pouvait plus compter sans elle.

Artus

Il est derrière l’énorme carton de 2024 au cinéma. Avec Un p’tit truc en plus, Artus, réalisateur du film et acteur, a attiré plus de 10 millions de spectateurs au printemps et à l’été dernier. Ce qui fait du film le plus gros succès au cinéma cette année, une première pour un film français depuis 2014

Artus entouré d'une partie des comédiens et comédiennes du film « Un p'tit truc en plus », lors du festival de Cannes, en mai 2024.
Artus entouré d’une partie des comédiens et comédiennes du film « Un p’tit truc en plus », lors du festival de Cannes, en mai 2024.  - Jacques BENAROCH/SIPA

C’est en tant qu’humoriste que s’est fait connaître Artus, notamment grâce à sa participation à l’émission « On n’demande qu’à en rire », présentée par Laurent Ruquier. Par la suite, le public l’a apprécié en tant qu’acteur, dans le Bureau des légendes. Il est désormais le réalisateur d’un des plus gros succès du cinéma français de ces dix dernières années, le premier d’une longue carrière ?

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We Love Green 2025 à Paris : LCD Soundsystem rejoint la programmation

We Love Green va faire son retour au bois de Vincennes à Paris en 2025 ! Pour cette nouvelle édition, le festival musical vous donne rendez-vous pour trois jours de festivités à vivre les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 juin 2025. Côté programmation, We Love Green annonce la venue de Yseult, Air, Amelie Lens, Kavinsky, Parcels, Laylow, Tiakola, Clara Luciani, Beach House, Gesaffelstein, Fka Twigs ou encore Charli XCX, attendue dans la capitale pour une date unique en France, et le groupe américain LCD Soundsystem !

Souvenez-vous, après une pause en 2013, le Festival We Love Green avait repris du poil de la bête en 2014 en investissant le Parc de Bagatelle pendant deux journées exceptionnelles. Cette troisième édition avait ainsi accueilli Foals, Cat Power, Lorde, London Grammar ou encore Pedro Winter. En 2016, PJ Harvey, LCD Soundsystem mais aussi Diplo, Air ou encore Hot Chip avaient fait sensation au sein de la nouvelle clairière du festival nichée au Bois de Vincennes. Résultat ? Cette édition 2016 avait accueilli 47 000 festivaliers (record d’affluence), mais aussi 43 concerts et dj sets et 31 intervenants dont la conférence du poète de l’art contemporain Olafur Eliasson.

Après des éditions 2017, 2018 et 2019 elles aussi réussies, le Festival We Love Green a malheureusement été contraint d’annuler ses éditions en 2020 et en 2021, en raison du Covid-19. En 2022, le festival a vécu une édition hors du commun à plusieurs titres… Si l’événement a été marqué par de violentes intempéries le contraignant à écourter la journée du samedi, We Love Green a tout de même réussi le pari de rassembler sur le site du Bois de Vincennes quelque 100.000 festivaliers !

We Love Green 2022, nos photosWe Love Green 2022, nos photosWe Love Green 2022, nos photosWe Love Green 2022, nos photos

En 2023 et en 2024, l’aventure de la famille We Love Green a continué avec deux éditions marquées notamment par les shows de Orelsan, Phœnix Gazo, Dinos, SZA, Justice, Shay ou encore King Gizzard & the Lizard Wizard et Burna Boy. 

Désormais, tous les regards sont tournés vers l’édition 2025 de We Love Green, attendue de nouveau au Bois de Vincennes. Et une fois encore, l’événement musical va se dérouler sur trois jours, soit les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 juin 2025. Cela ne vous aura sûrement pas échappé, mais cette édition 2025 de We Love Green se déroulera une semaine plus tard que d’habitude. 

Côté programmationWe Love Green a dévoilé les premiers noms de cette édition 2025. Une fois encore, le festival parisien met les petits plats dans les grands, en annonçant notamment la venue de l’artiste britannique Charli XCX, pour une date unique en France ! L’auteure-compositrice et interprète anglaise en profitera pour faire résonner au bois de Vincennes ses nombreux tubes, mais aussi les morceaux extraits de son dernier opus, intitulé « Brat« .

Autres noms confirmés à We Love Green en 2025 ? Les artistes électro Kavinsky et Amelie Lens, le duo versaillais Air, l’auteure-compositrice-interprète française Yseult, le groupe australien Parcels ou encore le rappeur francilien SDM. Sont également annoncés le jeune rappeur Jolagreen23, l’artiste d’origine franco-coréenne Spill Tab ainsi que la DJ allemande horsegiirL.

Vous en voulez d’autres ? Laylow, Tiakola, Beach HouseGesaffelstein, Lucky Love, Polo & PanClara Luciani ou encore Fka Twigs sont aussi annoncés au Bois de Vincennes en juin prochain ! On n’oublie pas LCD Soundsystem. Le groupe new-yorkais mené par James Murphy sera présent à We Love Green en 2025 pour un concert annoncé comme « exclusif en France« . Pour découvrir la suite de ce line-up 2025, restez connectés !

Rendez-vous dès à présent sur le site officiel de We Love Green pour réserver votre Pass !

We Love Green 2025, la programmation

Vendredi 6 juin 2025

  • Laylow
  • Tiakola
  • SDM
  • Yseult
  • Paul Kalkbrenner
  • Kavinsky
  • Sublime Live
  • … 

Samedi 7 juin 2025

  • Charli XCX
  • Parcels
  • Gesaffelstein
  • Air
  • Amelie Lens
  • Spill Tab
  • Magdalena Bay
  • horsegiirL
  • Jolagreen23
  • Ezra Collective
  • Marcel Dettmann
  • Maureen
  • Snow Strippers
  • Theodora
  • … 

Dimanche 8 juin 2025

  • LCD Soundsystem
  • Fka Twigs
  • Bicep
  • Clara Luciani
  • Beach House
  • Polo & Pan
  • Zamdane
  • DJ Koze
  • Judeline
  • Avalon Emerson
  • Lucky Love
  • Jimi Jules
  • Fcukers
  • … 

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We Love Green 2025 à Paris : Laylow, Clara Luciani, Fka Twigs… la suite de la programmation

We Love Green va faire son retour au bois de Vincennes à Paris en 2025 ! Pour cette nouvelle édition, le festival musical vous donne rendez-vous pour trois jours de festivités à vivre les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 juin 2025. Côté programmation, We Love Green annonce la venue de Yseult, Air, Amelie Lens, Kavinsky, Parcels, Laylow, Tiakola, Clara Luciani, Beach House, Gesaffelstein, Fka Twigs ou encore Charli XCX, attendue dans la capitale pour une date unique en France, et le groupe américain LCD Soundsystem !

Souvenez-vous, après une pause en 2013, le Festival We Love Green avait repris du poil de la bête en 2014 en investissant le Parc de Bagatelle pendant deux journées exceptionnelles. Cette troisième édition avait ainsi accueilli Foals, Cat Power, Lorde, London Grammar ou encore Pedro Winter. En 2016, PJ Harvey, LCD Soundsystem mais aussi Diplo, Air ou encore Hot Chip avaient fait sensation au sein de la nouvelle clairière du festival nichée au Bois de Vincennes. Résultat ? Cette édition 2016 avait accueilli 47 000 festivaliers (record d’affluence), mais aussi 43 concerts et dj sets et 31 intervenants dont la conférence du poète de l’art contemporain Olafur Eliasson.

Après des éditions 2017, 2018 et 2019 elles aussi réussies, le Festival We Love Green a malheureusement été contraint d’annuler ses éditions en 2020 et en 2021, en raison du Covid-19. En 2022, le festival a vécu une édition hors du commun à plusieurs titres… Si l’événement a été marqué par de violentes intempéries le contraignant à écourter la journée du samedi, We Love Green a tout de même réussi le pari de rassembler sur le site du Bois de Vincennes quelque 100.000 festivaliers !

We Love Green 2022, nos photosWe Love Green 2022, nos photosWe Love Green 2022, nos photosWe Love Green 2022, nos photos

En 2023 et en 2024, l’aventure de la famille We Love Green a continué avec deux éditions marquées notamment par les shows de Orelsan, Phœnix Gazo, Dinos, SZA, Justice, Shay ou encore King Gizzard & the Lizard Wizard et Burna Boy. 

Désormais, tous les regards sont tournés vers l’édition 2025 de We Love Green, attendue de nouveau au Bois de Vincennes. Et une fois encore, l’événement musical va se dérouler sur trois jours, soit les vendredi 6, samedi 7 et dimanche 8 juin 2025. Cela ne vous aura sûrement pas échappé, mais cette édition 2025 de We Love Green se déroulera une semaine plus tard que d’habitude. 

Côté programmationWe Love Green a dévoilé les premiers noms de cette édition 2025. Une fois encore, le festival parisien met les petits plats dans les grands, en annonçant notamment la venue de l’artiste britannique Charli XCX, pour une date unique en France ! L’auteure-compositrice et interprète anglaise en profitera pour faire résonner au bois de Vincennes ses nombreux tubes, mais aussi les morceaux extraits de son dernier opus, intitulé « Brat« .

Autres noms confirmés à We Love Green en 2025 ? Les artistes électro Kavinsky et Amelie Lens, le duo versaillais Air, l’auteure-compositrice-interprète française Yseult, le groupe australien Parcels ou encore le rappeur francilien SDM. Sont également annoncés le jeune rappeur Jolagreen23, l’artiste d’origine franco-coréenne Spill Tab ainsi que la DJ allemande horsegiirL.

Vous en voulez d’autres ? Laylow, Tiakola, Beach HouseGesaffelstein, Lucky Love, Polo & PanClara Luciani ou encore Fka Twigs sont aussi annoncés au Bois de Vincennes en juin prochain ! On n’oublie pas LCD Soundsystem. Le groupe new-yorkais mené par James Murphy sera présent à We Love Green en 2025 pour un concert annoncé comme « exclusif en France« . Pour découvrir la suite de ce line-up 2025, restez connectés !

Rendez-vous dès à présent sur le site officiel de We Love Green pour réserver votre Pass !

We Love Green 2025, la programmation

Vendredi 6 juin 2025

  • Laylow
  • Tiakola
  • SDM
  • Yseult
  • Paul Kalkbrenner
  • Kavinsky
  • Sublime Live
  • … 

Samedi 7 juin 2025

  • Charli XCX
  • Parcels
  • Gesaffelstein
  • Air
  • Amelie Lens
  • Spill Tab
  • Magdalena Bay
  • horsegiirL
  • Jolagreen23
  • Ezra Collective
  • Marcel Dettmann
  • Maureen
  • Snow Strippers
  • Theodora
  • … 

Dimanche 8 juin 2025

  • LCD Soundsystem
  • Fka Twigs
  • Bicep
  • Clara Luciani
  • Beach House
  • Polo & Pan
  • Zamdane
  • DJ Koze
  • Judeline
  • Avalon Emerson
  • Lucky Love
  • Jimi Jules
  • Fcukers
  • … 

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Nouvel An : Paris va passer en 2025 avec une playlist 100 % féminine

Le rendez-vous est connu d’avance. Paris passe le réveillon de la Saint-Sylvestre sur les Champs-Elysées. Ce qu’on ignore généralement c’est l’affiche de la soirée, 20 Minutes vous la révèle en exclu ci-dessous et le thème de celle-ci : « Paris sur son 31 » avec une playlist exclusivement féminine diffusé durant le feu d’artifice faisant passer les Parisiens, les Parisiennes et les touristes de 2024 à 2025.

L'affiche de la soirée du 31 décembre 2024 sur les Champs-Elysées.
L’affiche de la soirée du 31 décembre 2024 sur les Champs-Elysées. - Ville de Paris

Ce Nouvel An sur les Champs sera diffusé sur France Télévisions qui annonce une « soirée musicale grandiose, aussi populaire qu’éclectique » avec « une pléiade d’artistes […] en direct ». Elle se clôturera par le feu d’artifice exceptionnel offert par la Ville de Paris qui sera rythmé par des chansons de Beyoncé, Alicia Keys, Céline Dion, Aretha Franklin, Aya Nakamura, Juliette Armanet, Amanda Lear

Un million de personnes attendues

Un « mash-up » de chansons autour de Paris sera réalisé à partir des interprétations des titres Paris d’Edith Piaf, de L’Impératrice ou des Brigitte, Sous le ciel de Paris de Juliette Greco, J’ai deux amours de Dee Dee Bridgewater et I love Paris d’Ella Fitzegarld.

Un million de personnes sont attendues sur la plus belle avenue du monde (le public est attendu à partir de 19 heures). Dix minutes avant minuit, « un spectacle de vidéo-mapping 3D épique évoquera un Paris aux multiples visages », annonce la mairie. Avant un feu d’artifice de dix minutes.

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Lucky Love en concert ! L’artiste qui vient de sortir son premier annonce des nouvelles dates à Paris et Lyon

Depuis sa performance lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques, Lucky Love a vu son cercle de fans s’élargir. Cela devrait continuer avec la sortie de son premier album (« I don’t care if it burns« ) et l’annonce d’une tournée européenne en 2025 ! Celle-ci fera bien évidemment étape en France avec une nouvelle date à Paris à la Salle Pleyel le 18 novembre 2025 mais également à Nîmes à Paloma le 12 mars à Lyon où il sera en concert au Transbordeur le 21 mars et au Printemps de Bourges le 16 avril. 

Lucky Love en concert : voir toutes les dates et réserver


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I don’t care if it burns, un premier album à découvrir en concert !

Ils étaient déjà nombreux à travers le monde à se passer en boucle sa chanson Masculinity. Les fans de Lucky Love vont pouvoir maintenant écouter les 13 titres de son nouvel album « I don’t care if it burns« . Un album jugé lumineux, qui touche droit au coeur et qui transcendent les différences : musicalement, déjà en mélangeant les styles musicaux. Les chansons de Lucky Love sont pleines d’allant, elles donnent pour la plupart envie d’être reprises en choeur et promettent des concerts plein d’énergie.

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