Neil Young a laissé Paris sur sa faim

NOUS Y ÉTIONS – Ce dimanche soir, le Canadien retrouvait la France, neuf ans après son dernier concert dans la capitale, sans complètement convaincre.

Il ne voulait jouer qu’en plein air. Neil Young avait fixé une règle pour cette tournée européenne 2025, lui qui ne s’était pas produit sur le Vieux Continent depuis 2016.Pour son retour, il exigeait que les promoteurs locaux lui trouvent des scènes ouvertes, moins propices, selon lui, à la diffusion du Covid. Mais le Canadien avait accepté une exception, toute parisienne. Et malgré l’annonce tardive de sa venue dans la capitale, les 8 000 places de l’Adidas Arena avaient très vite trouvé preneur. Ce dimanche 13 juillet donc, le public est présent dès 19 h, heure indiquée du démarrage du concert. Les amplis sont allumés et un immense drapeau « Love Earth » barre le fond de la scène.

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Il faut encore patienter 40 minutes avant que Neil Young, 79 ans, fasse son entrée entouré de son nouveau groupe, The Chrome Hearts, où l’on reconnaît le vétéran Spooner Oldham aux claviers ou Micah Nelson à la guitare. Chemise de bûcheron, harmonica et six-cordes en bandoulière, Young attaque en douceur par « Ambulance Blues », rareté exhumée de l’album « On The Beach ». Pas vraiment le meilleur démarrage. Mais Paris se réjouit d’avance de ses retrouvailles : la voix de Young est intacte, toujours aussi juvénile et cristalline.

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Et le voilà qui passe aux choses sérieuses, troquant l’acoustique pour sa Gibson noire électrique, et se lançant dans une intro apocalyptique. Young – dont c’est seulement le quinzième concert à Paris de sa longue carrière – n’a pas besoin de présenter « Cowgirl in the Sand », fresque épique de près de dix minutes qui permet au groupe de commencer sa chevauchée fantastique vers les sommets du rock. Neil ne prend pas un, mais deux, puis trois, puis quatre solos, exécutés avec une aisance époustouflante. Comme avec son Crazy Horse, Young joue au plus près de ses musiciens, se concentrant sur la musique, véritable chef d’orchestre de l’ensemble. S’ensuit « Be The Rain », manifeste écolo de 2003, dans lequel il invite à prendre soin de la planète. Paris écoute poliment. « La prochaine, vous devez la connaître » lance-t-il pour présenter « When You Dance, I Can Really Love », mais c’est surtout « Cinnamon Girl » qui fait rugir l’Adidas Arena.

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Séquence bizarre

Neil Young avait une fâcheuse tendance à ignorer les pans les plus heureux de sa carrière. Ce soir, c’est tout l’inverse car l’incontournable « Fuckin’ Up » fait place à « Southern Man », deuxième extrait du mythique « After the Gold Rush ». The Chrome Hearts n’a clairement pas la puissance de Crazy Horse, mais ne souffre pas de la comparaison avec les musiques historiques du Loner. On se demande un peu à quoi sert Spooner Oldham, à peine audible, mais il est un vieux compagnon de route de Young… Ce dernier attrape une guitare acoustique, un micro-casque et fait frissonner Paris avec « The Needle and The Damage Done » en solo. « Harvest Moon », toujours dans cette tonalité acoustique, rappelle combien Young excelle aussi dans l’art des ballades. Si « Daddy Went Walkin’ » fait un peu figure d’intrus, il signe surtout le début d’une séquence bizarre.

Young va faire un tour du côté de Crosby, Stills, Nash & Young en reprenant la très jolie « Looking Forward ». Mais en avions-nous vraiment envie ? D’autant qu’il enchaîne avec l’indigeste « Sun Green », étirée sur près de 10 minutes tout comme « Love To Burn », qu’on échangerait volontiers contre « Cortez The Killer » ou « Powderfinger ». Mais le septuagénaire est connu pour n’en faire qu’à sa tête, rarement enclin aux concessions même quand le public lui réclame « Only Love Can Break Your Heart ». Heureusement, un clavier descend du ciel et nous indique le point de départ de « Like a Hurricane », qu’il va transfigurer en deux solos majestueux.

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Il massacre sa Gibson jusqu’à ce que les cordes explosent

Young ne cherche pas pour autant à mettre Paris dans sa poche, pas de petites phrases sympathiques, quelques « Thank You » et autres « How you doin’ up there? ». Et c’est tout. Le temps d’une chanson, il s’installe derrière l’immense orgue pour chanter « Name Of Love », autre détour via Crosby, Stills, Nash & Young. Une forme d’hommage à Crosby, décédé en 2023 ? On ne saura pas, car Young a déjà repris sa guitare et lance un « Old Man » salué comme il se doit par Paris.

En rappel, histoire d’écarter nos doutes, il envoie un « Hey Hey My My (Into the Black) » cinglant. On l’entend à peine chanter « It’s better to burn out, than to fade away », mais il massacre sa Gibson jusqu’à ce que les cordes explosent. Enfin, Paris exulte, prêt à en reprendre une deuxième fois. Pas le genre du patron. Les lumières se rallument au bout d’1h55. Young n’a rien perdu de sa superbe, surtout quand il s’agit de laisser Paris sur sa faim.

Setlist du 13 juillet, Paris, Adidas Arena

1 / Ambulance Blues
2 / Cowgirl in the Sand
3 / Be the Rain
4 / When you dance, I Can Really Love
5 / Cinnamon Girl
6 / Fuckin’Up
7 / SOuthern Man
8 / The Needle and the Damage Done
9 / Harvest Moon
10 / Daddy Went Walkin’
11/ Looking Forward
12 / Sun Green
13 / Love To Burn
14 / Like a Hurricance
15 / Name of Love
16 Old Man

17 / Hey Hey My My (Into the Black)

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Love is Blind arrive en France avec Teddy Riner… et un titre qui fait grincer des dents (VIDEO)

Teddy Riner et Luthna Plocus présentent la version française de Love is Blind dès le 10 septembre sur Netflix. Le titre choisi pour la version française suscite la controverse.

Un titre qui divise la communauté des fans

La bande-annonce de la version française de Love is Blind , diffusée ce jeudi 10 juillet sur les réseaux sociaux de Netflix, a créé une vague de réactions inattendues. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, ce n’est pas le choix de Teddy Riner et Luthna Plocus comme présentateurs qui a fait réagir, mais bien le titre français : « P our le meilleur et à l’aveugle ».

Sur les réseaux sociaux, les critiques fusent de toutes parts. « Fallait garder Love is blind. Les Français ne sont pas si nuls que ça en anglais » , estime une utilisatrice de X. « Comme on est au Québec, c’est bien » , ironise un autre internaute, en référence aux traductions parfois très littérales employées outre-atlantique. « Ils peuvent pas appeler ça Love is blind comme TOUS les pays ? La France est trop ringarde « , peut-on encore lire dans les commentaires.

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Cette polémique prend d’autant plus d’ampleur que jusqu’à présent, toutes les versions de l’émission portaient le nom Love is Blind , suivi de la mention du pays concerné. Seule l’édition Moyen-Orient fait exception puisque l’expression  » Habibi « , qui signifie « mon amour » en arabe, remplace le nom du pays.

Teddy Riner et Luthna Plocus, un couple star pour guider les candidats

Malgré la controverse autour du titre, le choix de Teddy Riner et Luthna Plocus comme présentateurs semble faire l’unanimité. Le quintuple champion olympique de judo et sa compagne, ensemble depuis 2007, incarnent parfaitement le couple modèle que Netflix utilise dans la plupart des pays où l’émission est adaptée.

Dans la courte bande-annonce publiée par Netflix, le couple découvre le décor de l’émission et notamment les fameuses « capsules ». Installée d’un côté du mur, Luthna Plocus interroge son compagnon : « Tu penses qu’on serait tombés amoureux si on avait fait ‘Pour le meilleur et à l’aveugle’ ? » Le judoka lui répond du tac au tac : « Je suis tombé amoureux au premier ‘Bonjour' » , lance Teddy Riner, le sourire aux lèvres. « Bonjour, alors » , lui répond sa partenaire avec un rire.

Un phénomène mondial qui débarque enfin en France

Le concept de Love is Blind, lancé sur Netflix aux États-Unis en 2020 en pleine pandémie, a conquis le monde entier. Le principe est simple : trente candidats se rencontrent, chacun dans une « capsule » séparée de celle du genre opposé par un mur et se fiancent sans jamais se voir. Les couples formés se rencontrent alors et partent pour un voyage, souvent sur une île paradisiaque, afin de confirmer leurs choix. Ils vivent ensuite ensemble dans un appartement mis à disposition par la production pendant quelques semaines avant de se marier (ou non).

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Phénomène mondial,  » Love is Blind » s’est classé dans le top 10 international des séries de Netflix à plusieurs reprises. La saison 8 de l’émission, sortie le 14 février 2025, a accumulé jusqu’à 1 milliard de minutes visionnées dans les quatre jours après sa sortie, selon Deadline.

Voir l’article original sur Télé 7 jours

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Beauregard : Lucky Love a lancé avec amour le festival

Mercredi 2 juillet 2025, Lucky Love a inauguré la 17e édition du festival Beauregard, à Hérouville Saint-Clair, près de Caen (Calvados). Une journée à suivre sur notre live.

Lucky Love est le premier des 41 artistes ou groupes programmés cette année jusqu’au dimanche 6 juillet. 150 000 spectateurs sont attendus durant cinq jours.

Révélé aux JO

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Paris en chansons

Un documentaire écrit et réalisé par Mireille Dumas Une production MD productions Saviez-vous que Paris est la ville qui a été la plus chantée au monde avec des mélodies inoubliables,  » Sous le ciel de Paris « ,  » Les Champs-Elysées « ,  » J’ai deux amours  »  » Paname « ,  » Revoir Paris « ,  » I love Paris « … Ses monuments, ses ruelles, ses ponts et ses quartiers de légende, de Montmartre à Pigalle, de Saint-Germain des Prés à Ménilmontant, mais aussi son histoire et son art de vivre ont inspiré les plus grands artistes qui l’ont chantée sur tous les tons et sur plusieurs générations. Des airs éternels d’Edith Piaf, Charles Aznavour, Charles Trenet à leurs reprises par Zaz, Patrick Bruel ou Benjamin Biolay, de la poésie d’Yves Montand, Léo Ferré, Juliette Gréco à celle d’Alain Souchon ou de Renaud, de l’humour de Jacques Dutronc à celui de Bénabar, ils ont tous contribué à immortaliser Paris la belle et la rebelle. Sans oublier, les stars américaines Frank Sinatra, Ella Fitzgerald ou Liza Minnelli. Longtemps considérée comme la ville lumière, Paris a attiré des artistes de toute la France et du monde entier qui ont choisis d’y vivre et de la célébrer, à l’instar de Joe Dassin, Dalida, Joséphine Baker ou Jacques Brel. Tous ont participé à la richesse et la diversité de notre culture populaire. Aujourd’hui encore, la capitale fascine et ils sont nombreux à lui déclarer leur flamme en chansons comme Slimane, Vanessa Paradis ou Marc Lavoine. Même avec des bémols et de la nostalgie, un air de romance flotte toujours dans la plus belle ville du monde pour Thomas Dutronc. Avec son savoir-faire, Mireille Dumas nous transporte dans ce voyage musical très original et joyeux au cœur de la capitale, rythmé par les plus belles interprétations, entrecoupé de véritables pépites et de confidences d’artistes inattendues. (Senderinfo)

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Rick Owens expose sa vision totale de la mode à Paris


Des sculptures recouvertes de tissu à paillettes pour l’exposition « Rick Owens, Temple of Love », au Palais Galliera, à Paris, le 13 juin 2025. Des sculptures recouvertes de tissu à paillettes pour l’exposition « Rick Owens, Temple of Love », au Palais Galliera, à Paris, le 13 juin 2025.

L’exposition « Rick Owens, Temple of Love » permet de découvrir le Palais Galliera sous un angle nouveau. Le designer de mode américain, qui, outre des habits, conçoit aussi des meubles et des objets, a été chargé de la direction artistique. Et n’a pas hésité à bouleverser les habitudes du musée de la mode de la Ville de Paris.

La première salle, consacrée aux débuts chaotiques de sa carrière, lorsqu’il habitait à Los Angeles, a été pensée comme une chapelle. Rick Owens a laissé visible la fantastique hauteur sous plafond du salon d’honneur ; les vêtements sont regroupés thématiquement dans des petites alcôves en surplomb, créées le long des murs tapissés de feutre marron. Ce tissu que le créateur utilise souvent dans ses collections est une référence à l’artiste Joseph Beuys, qui figure parmi ses influences principales, au même titre que l’Art nouveau, l’Art déco, le sacré ou le glamour hollywoodien des années 1930.

Quand il vivait encore en Californie, le designer était sans le sou, ce que racontent la plupart des pièces exposées, taillées dans des tissus de seconde main, parfois issus de surplus militaires. Le « gris boueux », couleur signature de Rick Owens, vient d’ailleurs des vestes kaki qu’il essayait sans succès de teindre en noir. La pauvreté des tissus contraste avec la qualité de la coupe, la précision des drapés et l’élégance des silhouettes allongées.

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Rick Owens, Temple of Love – Avis

Lieu : Paris

du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026

© DANIELLE LEVITT

Présentation officielle

Le Palais Galliera présente la première exposition à Paris dédiée à Rick Owens, qui propose une traversée de l’œuvre de ce créateur de mode avant-gardiste, de ses débuts à Los Angeles à ses collections les plus récentes. Fasciné par le sacré, Rick Owens dévoile les références multiples de ses créations, de Joris-Karl Huysmans à l’art moderne et contemporain, en passant par les grands films hollywoodiens du début du XX siècle.

Avis de Marie

Du 28 juin 2025 au 4 janvier 2026, le monde de la mode et de l’art se réunit pour célébrer l’œuvre exceptionnelle de Rick Owens, l’un des créateurs les plus influents de notre époque, bien que souvent méconnu du grand public.

L’exposition, installée dans un lieu emblématique : Palais Galliera, promet une immersion totale dans l’univers unique et radical de Rick Owens. Connu pour ses créations audacieuses, ses silhouettes sculpturales et son esthétique sombre, le créateur nous entraîne dans un monde où les extrêmes se rencontrent, où la vie et la mort semblent se courtiser. C’est une véritable plongée dans un univers aussi poétique qu’obsédant.

Même sans être initié, le visiteur se voit confronter à des œuvres qui dépassent le cadre de la mode. Par leur esthétique parfois clivante, elles suscitent de véritables émotions. Ici, les vêtements deviennent sculptures : ils habitent le corps autant qu’ils l’habillent. L’exposition est une expérience immersive, un voyage sensoriel dans l’imaginaire de Rick Owens, où les codes de la mode sont sans cesse réinventés, repoussés, transgressés.

Là où le beau laisse place à la réflexion, néophytes comme passionnés sont invités à interroger leur rapport à la beauté, à la norme et à l’apparence.

Rick Owens: Temple of Love est une réussite dans un monde où l’esthétique est trop souvent calibrée pour plaire au plus grand nombre. Le génie créatif de l’artiste, exposé sans filtre, révèle toute la profondeur et la complexité d’une œuvre qui bouscule et fascine.


Fiche technique

Adresse : Palais Galliera – Musée de la mode de Paris – 10, avenue Pierre Ier de Serbie – Paris 16

Tarif : à partir de 14 € (diverses réductions à voir sur leur site)

Site : https://www.palaisgalliera.paris.fr/expositions/rick-owens-temple-love

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“Emily in Paris”, saison 1, sur Netflix : une comédie romantique pour amateurs de clichés sur la capitale


Dans “Emily in Paris”, Darren Star, le créateur de “Sex & the City”, envoie une jeune Américaine (Lily Collins) candide refaire sa vie sentimentale dans la capitale française. Entre serveurs imbuvables, cigarettes à la salle de sport et séducteurs pédants, une série très sucrée et bourrée de stéréotypes… qu’on n’arrive pourtant pas à détester tout à fait.

  • Hélas
  • Hélas

Lily Collins. Lily Collins.

Lily Collins. Photo Stéphanie Branchu/Netflix/Jax Media/MTV Studios

Par Pierre Langlais

Publié le 26 juin 2025 à 16h15

Dans les séries américaines, Paris ressemble souvent à une pub pour parfum avec loupiottes scintillantes et accordéons, marchés animés et cafés vintage en bord de Seine. Les personnages y prennent des lignes de métro imaginaires, passent de Bastille à Concorde au détour d’une rue, se déplaçant élégamment dans une carte postale qui n’a pas grand-chose à voir avec le quotidien de 90 % des habitants de la capitale. Les derniers épisodes de Sex & the City, en 2004, restent un sommet du genre, façon coulisses de fashion week. Son créateur Darren Star, amoureux de Paris, a décidé d’y tourner intégralement Emily in Paris.

L’héroïne, Emily Cooper (Lily Collins), est une jeune Chicagoane envoyée dans la capitale par son employeur, une puissante société de marketing pour l’industrie du luxe, et chargée d’inculquer les « bonnes manières » à sa branche parisienne. Au menu : pains au chocolat, incompréhensions linguistiques, clash culturel et romance.

Une grosse meringue artificielle

La bande annonce d’Emily in Paris nous préparait au pire. La série serait à n’en pas douter le punching-ball de la critique française, un sommet de hate watching, cette pratique qui consiste à regarder un programme pour le seul plaisir (pervers) d’en dire du mal. Sa première saison ne « déçoit » pas, la caricature grotesque de la capitale est bien au rendez-vous…

Et pourtant, on peine à détester cette grosse meringue sérielle, artificielle de bout en bout, sauvée par l’énergie de l’écriture de Darren Star et le charisme de son interprète principale. On ne doute pas un instant de la sincérité du showrunner et de son amour pour Paris, où il réside dans les plus beaux hôtels, ne sortant jamais d’un périmètre allant du Panthéon (où habite Emily) à Opéra. Il s’amuse ici à y parachuter le cliché d’une Américaine – trop enthousiaste, trop souriante, trop entreprenante, trop premier degré… –, qui of course va joyeusement se casser les dents sur une population mondialement réputée pour sa mauvaise humeur.

À Paris, tout le monde a une maîtresse

Emily in Paris ressemble à un grand Loto des stéréotypes parisiens. Préparez-vous à cocher les cases : absence d’ascenseur, serveur désagréable, merde de chien sur les trottoirs, bidet dans la salle de bain, cigarettes jusqu’à la salle de sport, boulangerie rustique… La série bat des records quand elle s’attaque au mode de vie français vu d’Amérique : arrivée au bureau à 10h30, restaurant tous les soirs (« on travaille pour vivre, pas l’inverse », « sans plaisir, qui sommes-nous ? »), tout le monde a une maîtresse et c’est normal, les hommes sont des « séducteurs » pédants, clairement pas à jour sur #MeToo. Il faut un sacré sens du second degré et une bienveillance à toute épreuve envers nos amis d’outre-Atlantique pour garder ses nerfs. L’impressionnante garde-robe d’Emily, qui coûte certainement quelques centaines de milliers de dollars, n’a aucune chance de rentrer dans sa chambre de bonne. Autour d’elle, tout le monde est incroyablement beau, soit très riche, soit intellectuel, soit chef cuisinier, soit artiste. À un tel degré de caricature, on est contraint de lâcher prise…

Contre toute attente, on se laisse pourtant convaincre par l’énergie de Lily Collins, rapidement « attachiante », et par l’interprétation globalement correcte d’une distribution essentiellement française, qui joue en « vrai » français et non dans la purée francophone que servent souvent les séries américaines. Côté clash des cultures, Emily in Paris est du niveau d’un débat lancé après quelques coupes de champagne au bar du Crillon. Mais un jeune public hexagonal en quête de sucrerie post-Gossip Girl y trouvera peut-être de quoi occuper un week-end pluvieux.

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Rick Owens, Temple of Love – Ville de Paris

Le Palais Galliera présente la première exposition à Paris dédiée à Rick Owens, qui propose une traversée de l’œuvre de ce créateur de mode avant-gardiste, de ses débuts à Los Angeles à ses collections les plus récentes. Fasciné par le sacré, Rick Owens dévoile les références multiples de ses créations, de Joris-Karl Huysmans à l’art moderne et contemporain, en passant par les grands films hollywoodiens du début du XXe siècle. Directeur artistique de l’exposition, il imagine avec le Palais Galliera un parcours qui s’étend à la façade et au jardin du musée.

Né en Californie en 1961, Rick Owens débute à Los Angeles comme patronnier avant de lancer sa propre griffe en 1992. Ses tenues, inspirées des cultures underground et du glamour de la mode des années 30, se démarquent par leurs structures sophistiquées. Ses ressources limitées le poussent à récupérer toutes sortes de matières premières : il détourne des jerseys de tee-shirt, des sacs militaires, des couvertures de l’armée et du cuir lavé en robes ou en vestes. Parmi ses coloris de prédilection, le noir et les teintes sourdes dominent, dont un gris spécial baptisé « dust », devenu l’une de ses signatures.

En 2003, Rick Owens quitte Los Angeles pour Paris. Indépendant et transgressif, ses défilés se teintent de réflexions politiques, dénonçant l’intolérance et le patriarcat : les mannequins sont remplacées par des performeuses de stepping, danse africaine-américaine où le corps devient percussion, le sexe de ses modèles masculins est exposé et la force des femmes est célébrée. Comme une réponse à un monde en crise, son engagement s’incarne notamment par des créations plus sculpturales et l’utilisation de couleurs vibrantes.

Riche de plus de 100 silhouettes, la rétrospective est complétée par des archives personnelles du créateur, des vidéos et des installations inédites. Des œuvres de Gustave Moreau, Joseph Beuys et Steven Parrino permettent de revenir sur les sources d’inspiration du designer et de montrer son travail sous un nouveau jour. Le parcours évoque également l’importance de son épouse Michèle Lamy, dont la présence se retrouve tout au long de l’exposition, jusque dans la reconstitution de leur chambre à coucher californienne.

L’œuvre de Rick Owens se déploie également à l’extérieur du musée, où il enveloppe les statues de la façade dans un tissu brodé de paillettes. Installées dans le jardin du Palais Galliera, trente sculptures de ciment aux formes brutalistes spécialement conçues pour l’occasion rappellent ses créations de mobilier. Le parterre floral a été repensé avec des variétés qu’il affectionnait à Los Angeles.

D’une ampleur et d’un format inédit, l’exposition Rick Owens, Temple of Love* propose une réflexion sur l’amour, la beauté et la différence à travers une mise en scène monumentale. Les silhouettes, en majorité issues des archives de ce créateur incontournable de la scène contemporaine, transforment le musée en un temple dédié à la création.

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Beyoncé chante avec Jay-Z lors d’un concert à Paris

Beyoncé a ravi ses fans en faisant venir sur scène son mari, Jay-Z, pour une représentation lors de son spectacle dimanche 22 juin.

Lors de son concert Cowboy Carter Tour au Stade de France, à Saint-Denis, près de Paris, la superstar a inclus son tube de 2003, Crazy in Love, dans la setlist. Lors de l’interprétation de la chanson, Beyoncé s’est mise sur le côté pour permettre à Jay-Z, de son vrai nom Shawn Carter, de rapper tout son couplet, ce qui a suscité des applaudissements nourris de la part du public venu à guichets fermés.

La chanteuse de 43 ans s’est exclamée à la fin de la chanson : « Encore pour HOV ! » en référence au surnom du magnat du hip-hop.

Le couple, qui s’est marié en 2008, a interprété le titre ensemble pour la dernière fois au Global Citizen Festival : Mandela 100 à Johannesburg, en Afrique du Sud, en 2018.

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Mais Jay-Z ne s’en est pas tenu là : il a offert une interprétation de sa chanson de 2011 avec Kanye West, N***** in Paris, tandis que Beyoncé a ébloui avec une version de Drunk in Love de 2013 remixée avec Partition.

Jeudi 20 juin (25), Beyoncé avait accueilli sur scène une autre invitée : Miley Cyrus pour une interprétation de leur duo de 2024, II Most Wanted. La foule était en délire !

Parmi les invités VIP du stade, on comptait Cardi B, Tina Knowles, la mère de Beyoncé, et Kelly Rowland, son ancienne coéquipière des Destiny’s Child. Le prochain concert Cowboy Carter de Beyoncé est prévu dans sa ville natale de Houston, au Texas, le 28 juin.

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VA AIMER ! : le seule en scène primée d’Eva Rami de retour à La Pépinière

VA AIMER ! est de retour à Paris au Théâtre La Pépinière du 13 octobre au 22 décembre 2025. Eva Rami a gagné le Molière du Meilleure seule en scène aux Molière 2024.

VA AIMER !, seule en scène d’Eva Rami, a reçu le Prix du Molière du Meilleure seule en scène aux Molières 2024. Son spectacle est de retour à Paris du 13 octobre au 22 décembre 2025, au Théâtre La Pépinière à Paris dans le 2e arrondissement. Un seule en scène touchant portant sur l’amour et les relations humaines. 

Comédienne et auteur, Eva Rami intègre en 2008 l’École Supérieure d’Art Dramatique de Paris dirigée par Jean-Claude Cotillard puis le Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. Elle présente son premier seule en scène en 2014, intitulé VOLE !, puis son deuxième  T’ES TOI !, en mars 2018. 

Créé en 2023, VA AIMER ! est un succès au Théâtre du Train Bleu au festival OFF d’Avignon 2023 puis au Théâtre Lepic à Paris. Dans le spectacle, mis en scène en collaboration avec Emmanuel Besnault et Alice Carré, Eva Rami interprète une multitude de personnages qui gravitent autour de l’héroïne Elsa. Le personnage principal essaye de se libérer d’une relation amoureuse qui tend vers une relation de domination et d’enfermement. VA AIMER !, seule en scène d’Eva Rami, est à découvrir au Théâtre La Pépinière  du 13 octobre au 22 décembre 2025. 

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