Disposée à la Vallée Village, l’exposition « I love Paris » présente, en accès libre et jusqu’au 31 octobre 2024, une vingtaine de photos grand format du magazine Paris Match.

Ces clichés inédits font partie de l’héritage culturel français. De même, les collections mode et accessoires de mode des saisons précédentes, de cette destination shopping située en banlieue est parisienne, sont un patrimoine vestimentaire qui attire la clientèle.

Les acheteurs de la Vallée Village viennent en partie de France (Paris et province) et, à parts égales, de l’étranger. L’objectif 2025 est de dépasser les sept millions de personnes. Le fait d’organiser des évènements (concerts, épreuves sportives, ici une exposition photographique) permet d’animer leur passage et de créer cette fameuse « expérience shopping ».

Pour « I love Paris », ils peuvent découvrir des photos de stars iconiques, jamais publiées. Par exemple, Juliette Gréco (quand elle avait encore son nez, comme chantait Nicolas Peyrac), se penchant sur la balustrade d’un immeuble parisien pour admirer les bords de Seine. Ou bien, Alain Delon et Romy Schneider, à l’heure où ils jouaient au théâtre « Dommage qu’elle soit une putain », référence identifiable grâce à la coupe de cheveux de Delon (photo d’ouverture).

La Vallée Village
La Vallée Village Credits: F. Julienne

« I love Paris » permet de faire du shopping dans un cadre culturel

Encore : Françoise Hardy portant une robe or et diamants, signée Paco Rabanne, à l’époque où la marque portait encore le prénom du créateur. Ce, tout en faisant du shopping dans un espace unique, un village avec rues piétonnes, caractéristiques d’un style architectural français, avec des boutiques à taille humaine*. Tout en bénéficiant de services de conciergerie comme la consigne à bagages, la file d’attente virtuelle, le shopping mains libres ou la livraison.

Au-delà de faire des affaires et de se divertir, la Vallée Village véhicule cette idée que les gens, avec le même budget, peuvent se faire davantage plaisir. Ce, à plusieurs niveaux. D’une part, les prix sont réduits (entre 20 et 40 %, environ) et la mode est rentrée dans une dimension où le style prévaut sur la nouveauté.

À cela, il faut ajouter la dimension écoresponsable, car il n’y a pas de production nouvelle de vêtements. Pouvoir d’achat et écologie, voici des arguments à même de rendre les collections antérieures désirables, voire bankables. Qui aurait pu imaginer que la mode vintage, faite de pièces de seconde main, deviendrait un business model gagnant ?

*L’offre se compose majoritairement de marques de luxe et de griffes premium. L’achalandage propose des pièces à prix réduit, mais aussi quelques nouveaux articles et d’autres iconiques (car uniques).

Kenzo Takada
Kenzo Takada Credits: Benjamin Auger / Paris Match

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