Sous le soleil du Midi, des filles et des garçons vivent pleinement leur jeunesse. Quinze ans après “L’Esquive”, une ode au bel âge, où Renoir a rejoint Marivaux.
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Publié le 23 octobre 2024 à 12h29
Été 1994, Sète. Ils s’éclatent à la plage, dans les bars, en boîte. Ils ont 20 ans, viennent de Paris, Nice ou de la Tunisie. Des couples se forment, se déforment, la jalousie s’insinue. Charlotte, la brune, tombe amoureuse et souffre, tandis que Céline, la blonde, elle, passe d’un garçon à une fille. Parmi la bande, il y a Amin, Adonis qui attire toutes les filles, mais ne couche pas…
Tous sont d’une beauté lumineuse, voluptueuse, nacrée. Tel Auguste Renoir, peintre cité explicitement, le cinéaste célèbre les corps comme des dieux de l’Olympe. Il privilégie surtout la femme, sa sensibilité, sa puissance. L’homme, à côté, paraît plus insaisissable. À l’image d’Amin, qui
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