Découvrez Paris : Musiques et Scènes (Danse / Théâtre)


Bal musette et guinguette

Si l’on dispose de peu d’informations sur la musique francilienne en amont du XXe siècle, le bal musette est typiquement parisien. Il est né au début du XXe siècle dans le quartier de Bastille : basé sur les sonorités de la musette et de l’accordéon, la valse musette a connu ensuite une popularisation au contact d’artistes manouches, de tango ou de jazz. Venant du guinguet, un vin produit dans la région, le mot guinguette apparaît vers la fin du XVIIe siècle. Il nomme un petit cabaret, dans les faubourgs, où les habitants de la capitale vont prendre du bon temps. Les guinguettes se développent à Belleville, Montmartre ou Ménilmontant, car le vin n’y est pas assujetti aux taxes qui touchent les marchandises qui entrent dans Paris. En 1860, quand sont annexés les villages limitrophes de Paris, les guinguettes s’éloignent. On les retrouvera sur les bords de Marne et de Seine, à Robinson, Sannois ou Chatou… Avec le développement du chemin de fer, elles deviennent de hauts lieux de loisirs pour les ouvriers et employés parisiens. Situées au bord de l’eau, elles offrent des plaisirs variés : promenade au vert, canotage, danse… On y mange aussi des plats simples et peu onéreux : moules-frites, fritures… Si la majeure partie est tombée en désuétude, un certain nombre d’entre elles, par exemple Chez Gégène, à Joinville-le-Pont, continuent leur activité.

Une offre culturelle forte, relayée par des rendez-vous nombreux

Creuset de cultures et d’influences, la musique en Île-de-France est multiple. Musique classique ou de chambre, jazz, électro, de variétés sont pratiqués, écoutés et dansés ici sans qu’un trait particulier soit commun aux créations locales. On aime la musique, tout simplement ! Ces vingt dernières années, le nombre de rendez-vous musicaux s’est considérablement développé. Ici se déroulent les plus importants festivals : Solidays, Rock en Seine, We love green, Lollapalooza pour les rendez-vous regroupant des dizaines de milliers de festivaliers, mais aussi d’innombrables petits rendez-vous locaux, répartis sur l’ensemble du territoire. Côté théâtre, c’est la même chose : du Festival d’Automne à Kalypso (ces deux derniers comprenant beaucoup de spectacles de danse), des Inaccoutumés aux rendez-vous dédiés au théâtre amateur, rien ne manque. On notera, dans d’autres registres, l’existence de rendez-vous dédiés à d’autres disciplines, comme le cirque et les arts de rue, lors du rendez-vous Cergy Soit, chaque année dans la préfecture du Val d’Oise.

De nombreux lieux dédiés

C’est la force de Paris et de ses environs : l’incroyable maillage de lieux dédiés à la pratique culturelle. Ils sont des centaines, des salles aux tailles modestes, des théâtres de quartier ou scènes nationales, plusieurs opéras et des immenses lieux pouvant recevoir des milliers de spectateurs. Du côté des salles historiques, les opéras parisiens – Garnier et Bastille – mais aussi celui de Massy, en Essonne, lequel témoigne d’une volonté de développer l’art lyrique en dehors des frontières de la capitale. Parmi les salles inaugurées ces derniers années, on retiendra la Seine Musicale, qui a pris place sur l’île Seguin de Boulogne ou la Défense Arena, située dans le quartier du même nom : elle peut contenir plus de 40 000 spectateurs, faisant d’elle la salle couverte la plus importante d’Europe. Les Jeux olympiques et paralympiques à venir vont également permettre l’émergence de nouvelles infrastructures. Parmi celles-ci, l’Adidas Arena, située Porte de la Chapelle : dans un quartier en pleine métamorphose, se situe cette nouvelle scène de 9 000 places dont la programmation culturelle et sportive s’annonce intense. On citera enfin la Philharmonie de Paris, Porte de Pantin, dont l’architecture hors-norme n’a d’égale que la qualité incroyable de l’acoustique.

Des chansons sur Paris

Si votre playlist ne compte que peu de chansons sur Paris, voici quelques standards qui évoquent la capitale. Depuis des siècles, la ville est chantée, permettant aujourd’hui de disposer d’un vaste choix en la matière, et dont voici quelques exemples parmi les plus connus :

Jacques Dutronc – Il est cinq heures, Paris s’éveille : Standard hexagonal, le titre – et surtout ses paroles – n’ont pas pris une ride. On y parle de la ville qui se réveille, ou qui se couche, selon les couplets !

Charles Aznavour – Paris au mois d’août : En évoquant la torpeur de la ville en août, Aznavour (1924-2018) dépeint une impression largement ressentie par les locaux, moins par les touristes qui trouvent toujours Paris très animé !

Thomas Dutronc – J’aime plus Paris : Fidèle à son style, le fils de Jacques évoque les paradoxes de la vie à Paris, sous le prisme des relations amoureuses.

Zazie – Rue de la Paix : Ce standard du début des années 2000 s’appuie sur la prétendue richesse de la rue de la Paix parisienne (faisant un pont avec sa valeur dans le jeu de société Monopoly) pour évoquer les diverses inégalités sociales.

Edith Piaf – La Vie en Rose : Si elle ne cite par directement Paris dans sa chanson, ce titre, emblématique du Paris des amoureux, raisonne souvent dans les rues fréquentées.

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Alternance Vendeur Principal – Paris (H/F)

Descriptif du poste

JOBMANIA recrute pour son client L’ENTREPRISE Depuis plus de 25 ans, Maisons du Monde rend le style accessible au plus grand nombre et libère la créativité de chacun pour façonner les maisons d’ici et d’ailleurs avec Style, Pep’s and Fun. Aujourd’hui, ce sont 8 000 collaborateurs qui, tous ensemble, mettent leurs énergie, leurs personnalité, leur esprit d’équipe pour faire de Maisons du Monde une love brand : accessible, désirable et durable ! Ensemble, nous captons l’air du temps et nous imaginons des intérieurs uniques, chaleureux et durables. De l’intemporel à la tendance nous concevons des collections vivantes et originales où l’ailleurs est une intarissable inspiration. Avec Good is Beautiful, nos engagements RSE qui s’adressent autant à l’humain qu’à la planète sont une véritable source d’inspiration et de sens pour nos actions au quotidien. Nous choisissons nos fabricants en conscience et contribuons à valoriser et pérenniser les savoir-faire partout dans le monde. Tous ces atouts font aujourd’hui de Maisons du Monde le leader européen de la maison inspirante et accessible prenant appui sur le savoir-faire de ses fondateurs et de ses équipes. Maisons du Monde a ainsi enregistré un chiffre d’affaires de 1,2 milliards d’euros. LES MISSIONS Vos missions seront :
– Contribuer à la réalisation des objectifs commerciaux de votre magasin, fixés par la Direction Générale, et délivrer un service client en lien avec les attentes de l’enseigne, en termes d’image de marque, de qualité de service et de politique commerciale de l’enseigne
– Respecter les règles de merchandising visuelles fixées par la Direction Générale
– Contribuer à l’application de l’ensemble des procédures opérationnelles définies par la Direction Générale.
– Accompagner la montée en compétences de l’équipe du magasin selon les directives du Directeur de magasin.
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– Localisation : IDF
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– Vous aimez être challengé-e et évoluer dans une dynamique de changement
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– Un package composé d’une rémunération fixe et variable et de multiples avantages sociaux
– Une bonne ambiance de travail dans une équipe multiculturelle ; Ouverts à tous les Talents du Monde, l’ensemble de nos postes sont handi-accueillants et répondent aux critères de la Charte de Diversité, dont nous sommes fiers d’être adhérent.

À propos de RH MANIA

Jobmania, créée en 2011, est née de l’envie d’offrir aux candidat.es, notamment les étudiant·es, un espace et un accompagnement unique lors de leurs recherche de stage, alternance, job étudiant et emploi. Nous accompagnons les entreprises sur leurs problématiques de recrutement. Nos objectifs quotidiens sont : identifier, comprendre et ainsi recruter les meilleurs talents pour nos clients. Nous intervenons sur différents secteurs d’activité comme l’assistance avec le leader mondial Europ Assistance, le marketing/communication, le web, la finance, le business developement et la logistique. Nous comptons parmi nos clients de grands noms du retail comme Lapeyre et Bouchara, de l’agroalimentaire comme St Hubert et Teisseire, de la finance comme la Caisse d’Epargne Ile-de-France et le Groupe Malesherbes et de la garde d’enfants à domicile comme Mômji et Family Sphère. N’attendez plus pour découvrir toutes nos offres !

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Diane Kruger victime d’un cambriolage à Paris

Diane Kruger lors du gala de l’amfAR, 30e édition, présenté par Chopard et le Festival international du film de la mer Rouge, à l’hôtel du Cap-Eden-Roc. (Cap d’Antibes, le 23 mai 2024.) Gisela Schober / Getty Images

Le préjudice de l’actrice allemande, installée avec son compagnon et sa fille dans le 6e arrondissement de la capitale, est estimé à 200.000 euros. Une enquête a été ouverte.

Après les acteurs Bruno Guillon et Benoît Magimel, la chanteuse Vitaa ou encore le chef Cyril Lignac, c’est au tour de Diane Kruger de s’inscrire sur la liste des malheureuses célébrités victimes de cambriolage à Paris et en Île-de-France. Selon les informations révélées par BFMTV ce mercredi 16 octobre, l’actrice allemande a constaté mardi, dans la soirée, que la porte de son domicile, situé dans le 6e arrondissement de la capitale, avait été forcée. Le cambriolage se serait déroulé entre 8 et 19 heures. Selon les confidences d’une source policière auprès du journal Le Parisien , des traces de pesée -des traces laissées sur les montants de la porte lorsque celle-ci tente d’être forcée- ont été constatées sur la porte de l’actrice

Une enquête ouverte

Pour les malfaiteurs, le cambriolage a semble-t-il été fructueux. Toujours selon BFM, le logement de 140 m2 de Diane Kruger et de son compagnon, l’acteur américain Norman Reedus, aurait été entièrement fouillé. Des sacs de luxe et des bijoux ont été ainsi été dérobés pour un préjudice estimé à 200.000 euros. Une somme d’environ 5.000 dollars en espèces aurait aussi été dérobée. Une enquête pour vol par effraction a donc été confiée à la police judiciaire de Paris. 

Diane Kruger, Karlie Kloss, Tina Kunakey : l’éblouissant premier rang du défilé Chloé printemps-été 2025

En 2023, dans l’émission En aparté de Canal+, Diane Kruger se confiait sur sa nouvelle vie à Paris. «C’est un tel plaisir d’être là et de revivre ici», déclarait-elle alors. L’actrice allemande racontait même avoir scolarisé sa fille Nova Tennessee, née en 2018 de son union avec Norman Reedus, en hexagone. «Elle est à l’école en France, en bi-langue, expliquait celle qui parle aussi bien allemand, anglais et français. Le mercredi, elle va à l’école allemande. Elle ne parle pas encore français mais elle commence.» Diane Kruger ne s’est pas encore exprimée publiquement sur le cambriolage dont elle a été victime, mais il ne serait pas étonnant que cet évènement vienne assombrir le plaisir de sa vie à Paris. 

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5 expos en galeries à Paris où brillent des stars de l’art moderne et contemporain

Des œuvres inédites (en photos) de Bernar Venet, un riche dialogue entre l’artiste contemporain Adel Abdessemed et le maître Giorgio Morandi, mais aussi du Soulages avant l’outrenoir… Quel programme ! Les galeries parisiennes sont particulièrement nombreuses à s’inscrire dans l’effervescence de cette semaine de l’art de la mi-octobre 2024.

L’Américain James Turrell vous donne deux rendez-vous éblouissants en galeries, tandis que des pointures de l’art du XXe siècle accompagnent dignement les cent ans de la galerie Larock-Granoff. C’est l’occasion d’admirer, sans rien débourser, des valeurs sûres exposées dans les plus grands musées du monde.

1. Monet, Gauguin, Chagall… La galerie Larock-Granoff fête ses cent ans avec des pointures du XXe siècle

Vue de l’exposition « Marc Chagall » en mai-juin 2024 à la galerie Larock-Granoff

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Vue de l’exposition « Marc Chagall » en mai-juin 2024 à la galerie Larock-Granoff

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© Sophie Labruyère

Doyenne des galeries d’art, fondée il y a cent ans par Katia Granoff, la galerie Larock-Granoff – installée 13 quai de Conti depuis 1937 – se raconte dans une exposition réunissant une trentaine de grands noms de l’art moderne, ainsi que dans un beau livre. Née près de Kherson, dans l’actuelle Ukraine, Katia Granoff a fait ses études en Suisse avant de s’installer en France où elle est secrétaire au Salon des Tuileries. Ouvrant en 1924 sa galerie avec le soutien de ses amis, Marc Chagall, Émile Othon Friesz et Foujita, elle mise sur ceux dont personne ne voulait… Son plus joli coup restant Claude Monet et 50 « Nymphéas » dont personne n’avait perçu la portée dans les années 1950 ! Pillée pendant la Seconde Guerre mondiale, cette marchande d’art à la foi inébranlable est repartie de rien, défendant en particulier les exilés russes de l’École de Paris, tels Chaïm Soutine ou Chana Orloff, mais aussi Amédée Ozenfant, cofondateur du purisme avec Le Corbusier… Elle finira par ouvrir une seconde galerie parisienne et deux autres, l’une à Honfleur et l’autre à Cannes. Une telle vie valait bien un livre ! Ce que les éditions Mare & Martin proposent avec un bel ouvrage (à paraître en novembre 2024). Un hommage initié par les arrière-petits-neveux de Katia Granoff, lesquels aujourd’hui prennent soin de cette centenaire de l’art en bord de la Seine en continuant de partager leurs coups de cœur.

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Histoire d’une galerie

Du 16 octobre 2024 au 28 décembre 2024

www.larock-granoff.fr

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À lire

Histoire d’une galerie

Par l’historienne et critique d’art Clotilde Scordia
Éditions Mare & Martin
Disponible en novembre 2024, 45 €

2. De rares Soulages des années 1950 à la galerie Pascal Lansberg

Pierre Soulages, Peinture, octobre 1956

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Pierre Soulages, Peinture, octobre 1956, 1956

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Huile sur toile • 114 × 162 cm  • © Adagp, Paris 2024 / © Galerie Pascal Lansberg

Il y a deux ans maintenant que s’est éteint l’un des artistes préférés des Français. Disparu à 102 ans, Pierre Soulages, revient à la galerie Pascal Lansberg qui l’a défendu pendant plus de 30 ans. Pour cet hommage posthume, la galerie nous propose de redécouvrir l’artiste en braquant les projecteurs sur ses œuvres historiques des années 1950, une période particulièrement prisée des collectionneurs et qui précède celle bien connue de l’« outrenoir », entamée à partir de 1979. Une dizaine de tableaux emblématiques sont réunis parmi lesquels un exceptionnel « brou de noix » où l’on sent l’artiste en quête d’opacité et de lumière.

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Soulages années 1950

Du 10 octobre 2024 au 16 novembre 2024

www.galerie-lansberg.com

3. Pleins feux sur l’éblouissant James Turrell chez Gagosian au Bourget

James Turrell, Dhatu, de la série Ganzfeld, 1976-

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James Turrell, Dhatu, de la série Ganzfeld, 1976–, 2010

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Installation lumineuse et technique mixte • Dimensions variables • © James Turrell / Photo Mike Bruce / Courtesy James Turrell et Gagosian

Et la lumière fut ! Si vous voulez être éblouis, offrez-vous un détour au-delà du périphérique dans l’espace de Gagosian Le Bourget, lequel se fait l’écrin, à partir du 14 octobre et jusqu’à l’été 2025, de la plus grande exposition de James Turrell en Europe depuis plus de 25 ans. Attention les yeux : plus de 35 œuvres sont exposées dans « At One », dont deux nouvelles installations monumentales, des œuvres murales lumineuses historiques et inédites, des hologrammes, des maquettes, des photographies, des estampes ; un ravissement complété de plans et archives de Roden Crater, son extraordinaire œuvre de land art et observatoire du ciel.

James Turrell, A CHAPEL FOR LUKE and his scribe Lucius the Cyrene, de la série Ganzfeld, 1976-James Turrell, A CHAPEL FOR LUKE and his scribe Lucius the Cyrene, de la série Ganzfeld, 1976-

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James Turrell, A CHAPEL FOR LUKE and his scribe Lucius the Cyrene, de la série Ganzfeld, 1976–, 2022

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Installation lumineuse et technique mixte • Dimensions variables • Coll. Diözesanmuseum Freising • © James Turrell / Photo Florian Holzherr / Courtesy James Turrell et Gagosian

L’Américain né en 1943 à Los Angeles a fait de la lumière son médium depuis les années 1960 : « Nous utilisons généralement la lumière pour illuminer les objets. Ce qui m’intéresse, c’est « la matérialité » de la lumière. La lumière ne révèle pas tant qu’elle est elle-même la révélation », affirme-t-il. À Paris intramuros, on pourra savourer également cette expérience radieuse avec James Turrell avenue Matignon chez Almine Rech qui expose pour la 12e fois l’artiste depuis trois décennies.

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James Turrell At One

Du 14 octobre 2024 au 1 juillet 2025

gagosian.com

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James Turrell – Path Taken

Du 14 octobre 2024 au 21 décembre 2024

www.alminerech.com

4. Adel Abdessemed dialogue avec Giorgio Morandi dans un nouvel espace de la Galleria Continua

À gauche, « Natura morta » de Giorgio Morandi, 1930. À droite, « Nature morte » d’Adel Abdessemed, 2023-2024À gauche, « Natura morta » de Giorgio Morandi, 1930. À droite, « Nature morte » d’Adel Abdessemed, 2023-2024

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À gauche, « Natura morta » de Giorgio Morandi, 1930. À droite, « Nature morte » d’Adel Abdessemed, 2023–2024

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Courtesy Tornabuoni Art / © Adel Abdessemed, Paris ADAGP 2024 / Courtesy Adel Abdessemed et Galleria Continua

Déjà dotée d’une belle adresse dans le Marais et d’un site à la campagne à quelques kilomètres de Paris, la Galleria Continua vient d’ouvrir, en ce début octobre 2024, un nouvel espace de 70 m2 au cœur du quartier de Matignon Saint-Honoré. Pour inaugurer le lieu en beauté, le premier accrochage offre un dialogue inattendu et transhistorique entre l’explosif artiste contemporain Adel Abdessemed (né en 1971) et Giorgio Morandi (1890–1964), lequel a réinventé la nature morte à l’époque moderne. Deux noms que a priori tout oppose mais qui poursuivent un élan semblable vers la radicalité : rigueur et épure des formes chez Morandi, tandis qu’Adel Abdessemed triture la réalité dans de grandes compositions au fusain. Des natures mortes prêtes à exploser…

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Adel Abdessemed & Giorgio Morandi, Guerre et Paix

Du 14 octobre 2024 au 30 novembre 2024

www.galleriacontinua.com

5. Bernar Venet révélé en photographe chez Bigaignon

Bernar Venet, Macadam noir RBernar Venet, Macadam noir R

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Bernar Venet, Macadam noir R, Prise de vue 1963

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Tirage argentique • 47,5 × 36,5 cm • Courtesy Bigaignon / © Adagp, Paris, 2024

On le connaît pour ses grandes sculptures en acier Corten – ses « Lignes » ou ses « Arcs » – exposées dans le monde entier, et qui trônaient en majesté en 2011 dans les jardins du château de Versailles… Pionnier de l’art conceptuel, Bernar Venet (né en 1941) mène depuis 1963 un travail photographique plutôt méconnu. Le voici actuellement mis en lumière par Bigaignon, laquelle révèle la série « Macadam Noir ». On y plonge en gros plans dans un sol goudronné, sorte de double photographique des peintures monochromes noires et des « Goudrons » emblématiques de Bernar Venet. Tous les tirages de « Macadam Noir » sont rassemblés chez Bigaignon, et seront visibles à la fois pendant Art Basel Paris et Paris Photo.

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Bernar Venet, Macadam 1963

Du 12 octobre 2024 au 30 novembre 2024

bigaignon.com

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Profitez de la Semaine de l’art à Paris grâce à des visites guidées gratuites !

Près de 130 galeries d’art se sont réunies cette année pour “Starting Sunday”.
Organisé depuis 10 ans maintenant par le Comité professionnel des galeries d’art, cet événement gratuit et ouvert à tous permet d’enchanter la Semaine de l’art à Paris (du 13 au 19 octobre) avec des parcours d’une heure où l’on visite en groupe deux, trois, voire quatre galeries.
Toutes les informations sont disponibles sur la page web dédiée sur le site du Comité professionnel des galeries d’art.

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Avec « Notre-Dame In Love », des chœurs en concert à la basilique d’Alençon

Voir mon actu

Au mois de juin dernier, le 32e Festival académique des chorales scolaires de l’Orne a élu domicile sur deux jours à la cathédrale de Sées. Devant le succès qu’a remporté ce concert intitulé « Notre-Dame in Love », l’organisateur, invité par l’association des Amis des orgues d’Alençon, a pris l’initiative de le reprogrammer, samedi 19 octobre à 20 h, à la basilique Notre-Dame d’Alençon.

West Side Story, Debussy, Cohen…

Ce concert est placé sous la direction de Thibault Bitschené, l’organiste titulaire de la cathédrale de Sées et responsable de l’organisation du Festival académique des chorales scolaires de l’Orne. Au programme : des extraits du très célèbre West Side Story de Léonard Bernstein, chantés par un chœur d’adultes de « très bonne qualité ». Vous serez transportés par les Sirènes (extrait des 3 Nocturnes) de Claude Debussy, et reconnaîtrez également certaines pièces d’un répertoire plus récent (Era, Laurent Voulzy, Léonard Cohen…). «Ce programme joyeux, entraînant et souvent moderne, résonnera parfaitement dans l’acoustique de la basilique », promet Thibault Bitschené.

Tout le département

Les chanteurs, venus de tout le département, seront accompagnés par les riches sonorités de l’orgue de la basilique Notre-Dame avec Mickaël Durand, organiste titulaire de la cathédrale de Nantes, des percussions de Paul Simart, professeur au conservatoire d’Alençon, ainsi que par les trompettistes Maxime Goupil et Nicolas Renault de Sées.

À lire aussi

Lors de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris, les regards du monde entier se sont tournés vers elle, en regrettant que ce soit arrivé, et en ayant le sentiment d’avoir perdu un trésor patrimonial. « Cette juste sensation nous permet de prendre conscience du riche patrimoine dont nous disposons localement », exprime Thibault Bitschené. « Par exemple, la cathédrale de Sées porte le même nom que celle de Paris, elle a été restaurée par les mêmes artisans, et ses orgues sont de même facture : Aristide Cavaillé-Coll. C’est pourquoi nous cherchons à mettre ces éléments en valeur. »

« Notre-Dame in Love », samedi 19 octobre à 20 h, à la basilique Notre-Dame d’Alençon. Libre participation.

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Surnomée « l’île de l’Amour », cette île à moins de 4h de Paris possède les eaux les plus chaudes d’Europe

Vous rêvez de prolonger l’été et de profiter de quelques jours de chaleur et de détente ? Ne cherchez plus : Chypre, cette île enchanteresse à moins de quatre heures de Paris, est la destination idéale. Avec ses plages où l’eau est la plus chaude d’Europe, elle vous promet une parenthèse enchantée, loin de la grisaille automnale, vous permettant de savourer des instants de repos sur le sable doré.

Une expérience méditerranéenne inoubliable

Chypre, surnommée « l’île de l’Amour », offre des températures agréables oscillant entre 23 et 25 degrés en septembre et octobre. Grâce à ses 340 jours de soleil par an, vous pourrez profiter d’un fort ensoleillement et d’une eau turquoise invitante. Les plages de galets, bordées par des eaux cristallines, font de cette destination un véritable coin de paradis. En plus des plaisirs balnéaires, laissez-vous séduire par la gastronomie locale : les spécialités comme les poulpes au vin rouge, l’espadon grillé et le Tzatziki régaleront vos papilles.

Plongée dans l’histoire et la culture

Chypre n’est pas seulement une île de plages, elle regorge également de trésors culturels à explorer. La ville d’Omodos, par exemple, est célèbre pour son paysage viticole. Vous pourrez y découvrir le processus traditionnel de vinification, un héritage vivant de la culture chypriote. Ne manquez pas le monastère Tímios Stavros, l’un des plus anciens du pays, qui offre un aperçu fascinant de l’histoire religieuse (…)

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Cette star des JO de Paris 2024 a fait sa demande en mariage, elle est irrésistible

Carnet blanc ! Deux mois après les Jeux Olympiques de Paris, un athlète qui a marqué la compétition a franchi une nouvelle étape cruciale, cette fois dans sa vie privée. Il a demandé sa compagne en mariage, dans une mise en scène soigneusement préparée, des plus adorables ! Un moment exceptionnel et émouvant, immortalisé sur son compte Instagram.

Ces JO avait été ceux de l’amour et visiblement, il en reste encore dans l’air… Après un été mémorable sur les pistes d’athlétisme lors de l’événement parisien, une heureuse nouvelle égaye cette fin d’année pour le recordman du monde du saut à la perche, Armand Duplantis. Il a effectivement ajouté un événement personnel tout aussi marquant à son palmarès. Le Suédois a demandé sa compagne en mariage ! Un moment rempli d’émotion, partagé par le magazine Vogue, ainsi que sur les réseaux sociaux du sportif.

Armand « Mondo » Duplantis est incontestablement l’une des figures marquantes de l’athlétisme mondial, et la saison dernière a été particulièrement riche en événements pour lui. Détenteur du record du monde du saut à la perche, qu’il a battu à plusieurs reprises, le Suédois a illuminé les Jeux olympiques de Paris en décrochant la médaille d’or, franchissant une barre à 6,25 mètres. Trois semaines plus tard, il surpassait encore son propre record en atteignant 6,26 mètres. Mais en dehors des stades, le perchiste a aussi marqué les esprits avec son incroyable demande en mariage !

Une irrésistible demande en mariage pour Armand « Mondo » Duplantis

Profitant d’une séance photo organisée par Vogue édition Scandinavie sur une plage des Hamptons, le jeune homme de 24 ans a surpris sa compagne, Desiré Inglander, en se mettant à genoux pour lui faire sa demande en mariage. Un moment intime immortalisé par l’objectif, qui n’a pas manqué de faire parler. D’autant que la jeune femme, mannequin et influenceuse, n’avait aucune idée des intentions de son compagnon. « Lorsqu’il s’est d’abord agenouillé, Inglander pensait que c’était un geste pour la séance photo« , ont révélé nos confrères de Vogue sur leurs réseaux sociaux. « Ce n’est que lorsqu’il a sorti l’écrin contenant la bague qu’elle a compris ce qu’il se passait ! »

Un stress plus grand que lors des Jeux Olympiques !

Si Armand Duplantis a l’habitude de gérer la pression sur les pistes, ce moment a été, de son propre aveu, bien plus stressant que n’importe quelle compétition. « Je peux dire en toute franchise que c’est le moment de ma vie durant lequel j’ai été le plus nerveux (…) J’étais plus nerveux qu’aux Jeux olympiques », a-t-il confié après coup. Cette demande, qui devait être un instant magique, a aussi mis les nerfs du perchiste à rude épreuve. Il avoue même avoir failli tout gâcher lors du moment crucial : « J’avais quelques phrases en tête, mais j’ai perdu mes mots. J’étais complètement prostré. »

Heureusement, la demande en mariage a tout de suite été acceptée par sa bien-aimée, très touchée par le romantisme dont il a fait preuve. Le couple, qui ne se quitte plus depuis 2020, va donc rapidement s’atteler aux préparatifs de la cérémonie. Un événement qu’Armand Duplantis et sa fiancée de 23 ans attendent avec beaucoup d’enthousiasme.

Article original sur Purepeople

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

The Dead Daisies bientôt de retour à Paris

A l’occasion de la sortie de Requiem, 14e album du groupe de neo metal américain Korn, Rolling Stone est allé à la rencontre du chanteur Jonathan Davis. Il y évoque le processus créatif.

11 octobre 1994 : sortie du premier album de Korn

Dans quel état d’esprit, as-tu tu composé cet album ?

Au moment de l’écriture, j’avais peur du virus. Je pense que l’on avait d’ailleurs tous peur ! Pourtant, quand je suis entré dans le studio, ce sentiment s’est en quelque sorte… envolé. J’étais tellement heureux de faire quelque chose. D’être dans ce cocon. J’ai pu quitter ma maison et j’en étais très excité. Pouvoir aller en studio, jouer, être utile, quoi ! C’était un vrai mélange entre excitation et peur, l’un et l’autre s’attisant : il faut des bas pour pouvoir apprécier les hauts.

La pandémie actuelle a donc influencé la création ?

Des liens avec la pandémie, il y en a tellement… Dans nos vies personnelles, professionnelles, dans la création, les conversations… C’est un tout, une présence permanente qu’elle soit consciente ou inconsciente : c’est normal que la thématique ressurgisse dans nos actes et pensées.

D’où le nom du titre de l’album, Requiem ?

Requiem, c’est à la fois le symbole d’un combat que nous menons, une prière pour nos morts. C’est un souvenir autant qu’un résumé de plusieurs sentiments… Et c’est justement cette multiplicité de raisons sous-entendues que j’aimais, en plus de la sonorité du mot. J’adore la façon dont il sonne et roule sur la langue… Ça tombe bien parce que notre guitariste, James Christian “Munky“ Shaffer, en était arrivé à la même conclusion : se souvenir, prendre acte… Parfait !

Mais c’est une résignation, une impatience ou l’envie d’un match retour ?

On n’a pas forcément choisi ce nom pour toutes ses significations. On l’a juste pris comme un signe. Une étiquette sur la période. Et c’était une façon de célébrer l’album précédent qui, lui aussi, est désormais mort… Aujourd’hui, il est donc temps de passer à des choses plus grandes et meilleures. Et c’est ce que représente pour moi RequiemThe Nothing, en 2019, fut, à titre personnel, trop difficile.

La colère et la dépression furent souvent ton moteur créatif. En invitant, via le 1er single “Start The Healing“, à s’en soigner : comment donc se renouveler ?

En faisant face à mes sentiments, en les exprimant… Écrire, jouer et envoyer ensuite ça au monde entier a toujours été une thérapie, quel qu’en soit l’humeur ou la teneur. Et c’est une fois ce processus clôturé que je peux me renouveler, me recharger…
J’ai le privilège de pouvoir jouer ça tous les soirs. Ça craint vraiment de se remettre dans l’émotion de l’écriture… Mais ça me donne le sentiment de ne rien avoir accumulé en moi. Alors, quand je reste assis trop longtemps et que je ne fais pas de tournée, ça commence à m’affecter… C’est pour ça que je n’ai jamais été aussi pressé : je dois jouer ! Je veux jouer !

Samuel Degasne

Retrouvez cette interview de Korn en entier dans l’hebdo de Rolling Stone n°70

Requiem, le nouvel album de Korn, est disponible. Acheter/Écouter

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Michael Kiwanuka en concert au Zénith de Paris en février 2025 ! Il y présentera son nouvel album « Small Changes »

michael kiwanuka en concert a paris

Cinq ans après « Kiwanuka« , Michael Kiwanuka est de retour avec une quatrième galette, « Small Changes » produit par Danger Mouse et Inflo (sortie prévu le 15/11). Des nouveaux titres donc que le britannique présentera au Zénith de Paris où il y sera en concert le 28 février 2025. On ne ratera pas ce digne héritier d’Otis Redding ou Marving Gaye.

Michael Kiwanuka en concert à Paris : infos & réservation

Mise en vente des billets le vendredi 11 octobre à 11h00

Michael Kiwanuka débutera sa tournée européenne le 25 février à Hambourg. Suivront des dates à Amsterdam, Paris, Bruxelles, Milan, Zurich… En tout une douzaine de dates dont quatre au Royaume-Uni. En attendant ses prochains concerts on pourra regarder la vidéo live du titre The Rest Of Me (voir ci-dessous) nouvel extrait du nouvel album de Michael Kiwanuka.

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Repéré en 2012, Michael Kiwanuka avait sorti la même année « Home again » véritable pépite folk-soul qui lui avait permis d’être comparé à des géants tels que Otis Redding, Marvin Gaye ou Bill Withers. L’anglo-ougandais était de retour l’été 2016 avec un second album, « Love And Hate » et toujours cette folk-soul intemporelle qui séduit à la première écoute.
En 2019, il sort « Kiwanuka » qui lui permet de remporter en 2020 le Mercury Prize qui couronne le meilleur album britannique de l’année. 

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Les foires Art Basel Paris et Asia Now, L’Amour ouf au cinéma… La semaine culture de Madame Figaro

Deux foires, un film… l’essentiel à voir conseillé par la rédaction cette semaine.

Art Basel Paris réinvestit le Grand Palais

Changement de nom : Paris + Art Basel devient plus simplement Art Basel Paris. Changement de lieu : la manifestation réintègre, après trois ans de travaux, le Grand Palais, bâtiment emblématique inauguré en 1900 à l’occasion de l’Exposition universelle. L’édition 2024 réunit 194 galeries, issues de 42 pays et territoires, dont 64 disposent d’espaces en France et 26 qui participent à la foire pour la première fois. Art Basel Paris s’articule autour de trois secteurs : Galeries, qui regroupe les galeries établies, Émergence, dédié comme son nom l’indique aux galeries et artistes émergents, et Premise, nouveau secteur qui rassemble neuf galeries aux propositions curatoriales atypiques, avec une relecture de l’histoire de l’art plus inclusive. Par exemple, y sont montrés un dialogue entre des travaux photographiques peu connus de deux maîtres allemands, Sigmar Polke et Gerhard Richter, ou le travail de Juliette Roche (1884-1980) sur les minorités marginalisées, notamment les personnes noires ou homosexuelles… Une nouvelle initiative, baptisée «Oh La La !», permettra aux galeries de montrer au public des œuvres rarement exposées. À cela s’ajoutent les événements culturels dans la capitale, comme Olga de Amaral à la Fondation Cartier ou la rétrospective Tom Wesselmann à la Fondation Louis Vuitton… Un tout qui fait de Paris la pierre angulaire du marché mondial de l’art. L. C.

Art Basel Paris, du 18 au 20 octobre, au Grand Palais, à Paris. artbasel.com

Asia Now, dix ans d’émulation arty

Une œuvre de Hyunsun Jeon, à la Galerie Esther Schipper. Courtesy the artist and Esther Schipper, Berlin/Paris/Seoul Photo, Hyunsun Jeon

La foire d’art contemporain et plateforme de production foisonnante d’artistes de toute l’Asie (et de sa diaspora) fête sa dixième édition en fanfare. 70 galeries et 28 territoires s’affichent dans un programme époustouflant, mené sous la direction artistique de la coopérative curatoriale Radicants, fondée par Nicolas Bourriaud. À la Monnaie de Paris, Asia Now, dirigée par Alexandra Fain, produit également cette année deux projets spéciaux. L’un avec le collectif Britto Arts Trust, du Bangladesh, et l’autre, organisé par Kathy Alliou, directrice du département des œuvres aux Beaux-Arts de Paris, avec Sumayya Vally. Cette architecte – la plus jeune a avoir conçu un pavillon Serpentine, à Londres– présentera dans la Cour d’honneur une nouvelle version de son installation They Who Bring Rain, Bring Life («Ceux qui apportent la pluie apportent la vie»). Autour, des performances et expériences inédites : ainsi, la Galleria Continua soutient Fire x Fire : Ignition, œuvre collaborative de Nikhil Chopra et Uriel Barthélémi. Pour la première fois, la Prameya Art Foundation de New Delhi présente un programme de vidéos issu des archives de la foire de Sharjah. Des conversations éclaireront les rencontres. Un parcours d’œuvres monumentales envahira la Monnaie. Il faut y aller pour découvrir, repérer, s’imprégner. V. B.

Asia Now, du 17 au 20 octobre, à la Monnaie de Paris. asianowparis.com

Love story pop

François Civil dans L’Amour ouf. Cédric Bertrand 2023 – TRESOR FILMS – CHI-FOU-MI PRODUCTIONS –STUDIOCANAL

C’est un film qui déborde d’amour, dans son sujet – une passion absolue – comme dans la déclaration de son réalisateur, Gilles Lellouche, au cinéma populaire qui l’a construit. Dans L’Amour ouf, sa seconde réalisation en solo après Le Grand Bain, l’acteur raconte la romance indestructible de Clotaire et de Jackie, de leur adolescence dans les années 1980 à leurs 30 ans. Pour déployer cette fresque, coécrite entre autres avec Audrey Diwan et sélectionnée en compétition au Festival de Cannes, Gilles Lellouche convoque références cultes et grands réalisateurs, du Brian De Palma de Scarface au Danny Boyle de Trainspotting, en passant par La Boum. Des Cure à Prince, la musique est elle aussi délicieusement vintage, et surtout essentielle : les acteurs s’illustrent dans quelques séquences chorégraphiées avec l’aide du collectif La Horde. Grande réussite de ce projet ambitieux, le casting fait d’ailleurs des étincelles : Mallory Wanecque, la révélation des Pires, et Malik Frikah incarnent la jeunesse rebelle, romantique et intransigeante avec fougue, avant de passer le relais à Adèle Exarchopoulos et à François Civil dans la seconde partie. Une love story pop et vibrante qui titillera la corde sensible de la jeune génération. M. L.

L’Amour ouf, de Gilles Lellouche, avec François Civil, Adèle Exarchopoulos, Élodie Bouchez…

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