Le Batman Day, c’est ce 21 septembre 2024 ! Une journée dédiée au super-héros le plus célèbre de DC Comics avec, pour l’occasion, tout un tas d’animations proposées pour les fans, dans notre belle capitale. Le programme par ici !
L’occasion de célébrer l’Homme Chauve-Souris comme il se doit ! Le Batman Day fait son retour à Paris pour le plus grand plaisir des fans ce samedi 21 septembre 2024, et comme chaque année, l’anniversaire de la première apparition du Chevalier Noir de DC Comics est célébré partout dans le monde.
A Paris, de multiples animations vous attendent pour l’occasion… A commencer par Batman Escape, enseigne d’escape game à Boom Boom Villette, qui vous propose un programme d’animation spécial, rien que pour vous.
Batman Day : venez célébrer le Chevalier Noir chez Batman Escape A l’occasion du Batman Day, mais également des 85 ans du Chevalier Noir, Batman Escape, à Boom Boom Villette, vous invite à découvrir diverses animations pour toute la famille le 21 septembre 2024. Ateliers pour les enfants, atelier de mixologie, cosplay, quiz et autres surprises vous attendent pour faire de cette journée un moment super-héroïque… Prêts à vous amuser avec le super-héros de DC Comics ? [Lire la suite]
Cosplay, quiz, escape game et autres ateliers vous attendent pour un moment unique en compagnie du Chevalier Noir !
Et a défaut d’avoir une projection de film au Grand Rex comme en 2023, on se tourne vers les bonnes librairies parisiennes qui, pour l’occasion, pourraient bien proposer une jolie sélection de comics autour de l’Homme Chauve-Souris à savourer sans modération. Et pour l’occasion, Urban Comics propose une offre : pour deux comics Batman achetés, l’album Mad Love N&B est offert. Une offre disponible dans les librairie et enseignes participantes. N’hésitez pas à vous rapprocher de votre libraire afin de savoir s’il participe à l’offre du Batman Day !
Une journée bien remplie à ne pas manquer pour les amateurs du super-héros !
Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.
« Nous avons souhaité construire une foire qui ouvre également des dialogues entre les œuvres historiques et les pratiques contemporaines », déclarent Florence Bourgeois et Anna Planas, directrice et directrice artistique de Paris Photo. Lundi 16 septembre, la foire a dévoilé sa 27e édition lors d’une conférence de presse. Surréalisme, grands noms de la photo, scène émergente, parcours thématiques… De retour au Grand Palais (Paris, VIIIe arrondissement), du 7 au 10 novembre, l’événement a pour ambition de montrer toute la diversité du monde de la photographie.
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66 nouvelles galeries participantes
Cette année, Paris Photo bénéficiera de vastes espaces dans le Grand Palais restauré. Avant les travaux du monument, la foire se déployait sur 16 000 m². Au Grand Palais Éphémère, Paris Photo se concentrait sur 12 000 m². À présent, la foire se déroulera sur 21 000 m². Avec ce gain d’espace, la foire accueillera 240 exposants dont 195 galeries. 66 d’entre elles seront nouvelles. « Cela permet à la foire de proposer 28 % de nouveauté par rapport à la précédente édition », commente Florence Bourgeois. Parmi toutes les galeries sélectionnées, 55 seront françaises (soit 30%). 32 solo shows et 18 duo shows seront présentés dans le secteur principal, sous la nef.
Gordon Parks, Untitled, Paris, France, impression d’archive, 1951, Jenkins Johnson, Gordon Parks Foundation
Le secteur Émergence et les éditeurs seront installés au premier étage. Pour la deuxième année, Paris Photo consacrera aussi un secteur au Digital. Sous la direction de Nina Roehrs, spécialiste du numérique, 16 galeries présenteront un panorama d’œuvres à la pointe des nouvelles technologies.
La 27e édition sera marquée par deux anniversaires majeurs. Tout d’abord, le centenaire du surréalisme. En écho à l’exposition événement du Centre Pompidou, le courant artistique sera mis en avant notamment à travers une carte blanche donnée à Jim Jarmusch. Le réalisateur et scénariste américain proposera un parcours inédit d’œuvres dans la foire et dévoilera son dernier projet Return to Reason, composé de 4 films de Man Ray.
Le second anniversaire que célébrera la foire sera celui de la naissance de Robert Frank. Plusieurs galeries rendront également hommage au photographe et cinéaste américain. Thomas Zander (Cologne) explorera son influence sur les générations suivantes tandis que Steidl mettra en lumière son travail éditorial.
Le gain d’espace permettra à Paris Photo de proposer un nouveau secteur : Voices, curaté par trois commissaires internationaux. Elena Navarro présentera « Les paradis imparfaits », qui met en lumière des clichés qui repoussent les limites de la photographie et soulignent la vitalité de la scène artistique en Amérique latine. Azu Nwagbodu révélera quant à lui des histoires personnelles tout en nous invitant à questionner l’objectivité des archives dans « Corps Libérés ». Enfin, Sonia Voss dévoilera « 4 Murs », qui dépeindra la chambre comme terrain de liberté des artistes.
Paz Errázuriz Macarena, La Manzana de Adán, 1982-1987, Memoria, Courtesy of the artist and Memoria, Madrid
513 femmes photographes exposées
Paris Photo comptera cette année 1328 artistes dont 513 femmes. Si ce n’est pas encore la parité, la foire se félicite d’être passée depuis 2018 de 20% à 38% de femmes photographes exposées. Pour mettre en exergue les artistes de l’après-guerre, 4 galeries proposeront des expositions monographiques ou collectives de femmes photographes dans le cadre d’Elles x Paris Photo. Réalisé en partenariat avec le Ministère de la Culture et curatée par Raphaëlle Stopin, directrice du Centre photographique Rouen Normandie, le parcours sera visible sur les stands de Higher Pictures (New York), Martini & Ronchetti (Gênes), Monitor (Rome) et Nadja Villene (Liège).
Dans le cadre de la Saison Lituanie, le Salon d’honneur accueillera « The Forms of Things, The Forms of Skulls, Forms of Love ». Cette collection invitée mettra en avant une donation dans les collections de la Bibliothèque nationale de France, du Centre Pompidou et de l’Union des Photographes de Lituanie de clichés emblématiques de l’époque soviétique et des œuvres plus récentes.
Ilona Langbroek, Longing for Insulinde #6, 2021, Bildhalle, Ilona Langbroek
Une mise en valeur de sites historiques
Trois nouveaux stands partenaires feront leur apparition dans la foire. La Fnac présentera une sélection de clichés parmi les 1 800 œuvres de sa collection photographique dans « Affaires de regards ». Photo Élysée dévoilera les projets des huit finalistes du Prix Élysée 2025. World Monuments Fund et Magnum proposeront « Heritage in Focus », un accrochage qui met en valeur 11 sites historiques de la World Monuments Watch 2022 capturés par des photographes locaux. De quoi associer les plaisirs, entre photographie et patrimoine.
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Selon l’adage, la foudre ne frappe jamais deux fois au même endroit.
Or, pour les âmes en quête de coups de foudre, justement, ou les célibataires désespérés de faire sempiternellement glisser leur pouce sur des visages devenus familiers, il peut être tentant d’échapper au rayon kilométrique imposé par les applis de rencontres.
La presse étrangère raconte comment de plus en plus de célibataires s’affranchissent des frontières, dans l’espoir de trouver le grand amour – celui qui n’a que faire des fuseaux horaires.
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Solène Delinger 15h19, le 16 septembre 2024, modifié à 16h27, le 16 septembre 2024
Seulement quatre jours après la diffusion des derniers épisodes de la saison 4 d' »Emily in Paris », Netflix vient d’annoncer sur Instagram que les aventure de la plus frenchy des Américaines allaient se poursuivre lors d’une saison 5. Preuve que le succès de la série ne désemplit pas…
Rangez toute de suite votre boîte de mouchoirs ! Non, le dernier épisode la saison 4 d’Emily in Parisn’était pas le dernier des derniers de la série. « EMILY IN PARIS reviendra pour une saison 5 « , vient en effet d’annoncer Netflix sur Instagram. Pour illustrer cette heureuse nouvelle, le géant du streaming a partagé une vidéo de Lily Collins, l’interprète d’Emily, en train de boire un espresso. « Il n’y a aucun endroit comme Rome », assure l’actrice en souriant avant de soulever sa petite tasse sous laquelle apparaît le chiffre 5. Après avoir siroté sa gorgée de café, Lily Collins, qui se trouve en Italie, fait un petit clin d’oeil à la caméra.
Une nouvelle saison en Italie ?
Emily in Paris laissera-t-elle donc place à Emily in Rome pour cette cinquième saison ? Ne lisez pas la suite de cet article si vous n’avez pas regardé le dernier épisode de la saison 4 ! Car oui, notre chère Emily Cooper va bel et bien quitter la capitale française pour vivre la dolce vita à Rome. Le charmant Marcello n’y est évidemment pas pour rien… Après s’être dépêtrée de son triangle amoureux avec Gabriel et Alfie, Emily s’est laissé charmer par ce bel Italien qui l’a secourue sur les pistes de ski à Megève et qu’elle a recroisé par hasard à Paris.
Dans les derniers épisodes de la saison 4, Emily s’offrait une petite escapade romantique à Rome avec son nouveau « ragazzo ». Coup de chance pour notre Chicago girl, sa patronne Sylvie Grateau cherchait au même moment quelqu’un pour prendre la tête de l’antenne romaine de son agence de marketing. Une nouvelle mission évidemment acceptée par Emily, désireuse d’explorer sa nouvelle love story avec Marcello après une rupture difficile avec Gabriel. Mais, à Paris, son ex s’est mis en tête de la renconquérir… Y parviendra-t-il ? Et Emily finira-t-elle par le rejoindre à Paris ? Réponse dans quelques mois…
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La fondation Arch Of Love en collaboration avec la Caritas de la Quasi paroisse Sainte famille du quartier de »Paris Village » dans la commune de Bingerville a fait don de kits scolaires à 120 enfants issus de familles défavorisées ce dimanche après la messe dans ladite paroisse.
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Cette fois-ci, c’est bel et bien terminé. Samedi 14 septembre, un ultime moment a été organisé à l’Arc de Triomphe pour rendre hommage aux athlètes français qui ont participé aux Jeux olympiques de Paris 2024.
Samedi 14 septembre s’est tenue la grande parade des champions pour rendre un dernier hommage aux athlètes français engagés pour les Jeux olympiques de Paris 2024. Un concert final a mis le feu au public. « Aujourd’hui, c’est la clôture, mais c’est également la finalisation de tout un projet », assure une femme présente dans l’assistance. Aux côtés des athlètes, des danseurs et des performeurs ont fait la fête au pied de l’Arc de Triomphe.
Les bénévoles étaient également de la partie. La fête a été marquée par quelques moments d’émotions, notamment avec Lucky Love, la révélation de la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques. La place de l’Étoile s’est transformée en véritable karaoké géant. La fête s’est poursuivie dans la nuit. Pour l’occasion, la vasque olympique s’est parée de Bleu Blanc Rouge pour s’envoler une dernière fois dans le ciel de Paris.
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Le costume de Teddy Riner, la voix d’Axelle de Saint-Cirel, l’émotion de Marie-José Pérec… Une dernière fête en l’honneur des champions a eu lieu ce samedi à Paris. Les Ultramarins qui nous ont fait vibrer pendant les jeux étaient de la fête.
Après l’été à succès des Jeux de Paris, plusieurs centaines d’athlètes français ont défilé samedi sur les Champs-Elysées et plus d’une centaine a été décorée lors d’une ultime fête olympique qui s’est conclue par un concert géant en forme de florilège. Pour l’occasion, la vasque s’est envolée une dernière fois depuis le jardin des Tuileries, teintée cette fois de bleu, de blanc et de rouge sur l’air de « La foule » d’Edith Piaf.
Dès le début de l’après-midi, au milieu d’un important dispositif de sécurité, des milliers de spectateurs se sont massés sur le haut de l’avenue parisienne pour rendre hommage aux héros de l’été. En milieu d’après-midi, la parade a démarré sous le soleil par un feu d’artifice tricolore autour de l’Arc de Triomphe, comme celui qui avait inauguré la cérémonie d’ouverture sur la Seine le 26 juillet. Les fameuses mascottes Phryges se sont dandinées sur le podium avant que les volontaires et les membres du comité d’organisation défilent.
On poursuit encore le plaisir des Jeux de Paris 2024 avec une dernière fête ce week-end : la parade des athlètes. Les Ultramarins qui nous ont fait vibrer pendant les Jeux étaient de la fête 👇 pic.twitter.com/dGJHiaBuFo
Le designer de la torche et de la vasque olympique, Mathieu Lehanneur, ainsi que Thomas Jolly directeur artistique des cérémonies, et le président du comité d’organisation Tony Estanguet étaient de la partie. Sorte de marraine de ces JO de Paris, la championne olympique d’orgine guadeloupéenne Marie-José Pérec, qui avait allumé la vasque avec le judoka Teddy Riner, a déclaré samedi la gorge nouée et les yeux mouillés: « Ce soir, c’est terminé ».
Plus de 300 olympiens et paralympiens étaient présents samedi, au sein d’un défilé rassemblant au total entre 8.000 et 10.000 personnes. Le président de la République Emmanuel Macron a ravivé la flamme du soldat inconnu en présence du président du CIO Thomas Bach. La patrouille de France a fait le show dans le ciel dégagé de Paris. Ensuite, 118 médaillés ont été décorés sur une scène autour de l’Arc de Triomphe par d’anciens sportifs (Didier Deschamps, Youri Djorkaeff…), d’élus comme la maire de Paris Anne Hidalgo, ou de membres du gouvernement démissionnaires comme Gérald Darmanin ou Amélie Oudéa-Castéra.
Emmanuel Macron a notamment décoré Léon Marchand, Félix Lebrun, Antoine Dupont ou encore Aurélie Aubert, médaillée d’or de boccia. Avec sa troisième médaille d’or en individuel, Teddy Riner, en costume cravate, a été élevé au grade de commandeur de l’Ordre national du mérite. « C’est un beau remerciement de faire cette remise de décorations devant les supporters », s’est réjouie sa co-équipière Romane Dicko, judokate médaillée de bronze en individuel et d’or en équipe.
Le nouveau Premier ministre Michel Barnier a aussi participé à cette cérémonie protocolaire qui s’est achevée par une Marseillaise chantée, comme le 26 juillet, par la mezzo-soprano guadeloupéenne Axelle de Saint-Cirel. Cette tradition de décorer les médaillés remonte aux Jeux d’hiver d’Innsbruck en 1964. Avec 16 titres et 64 médailles, la France a réalisé à domicile les meilleurs JO de son histoire, et atteint son objectif d’être dans le top 5 des nations.
Alors que ces Jeux ont offert répit et joie aux Français après la dissolution surprise de l’Assemblée nationale, M. Macron a souhaité vendredi dans un entretien au Parisien que le 14 septembre devienne chaque année une fête nationale du sport. David Lappartient a dit « souscrire » à cette idée. La vasque perdurera-t-elle, comme l’ont réclamé des responsables politiques ? Mystère. Mais « Zeus », le cheval mécanique star du 26 juillet, sera installé au Château de Versailles en octobre, avant de faire une tournée en France passant notamment par Nantes, où l’a conçu l’atelier Blam, a annoncé à l’AFP le groupe Sanofi, qui en a hérité.
La fête s’est transformée dès 21H00 en concert géant, avec certains des artistes qui ont marqué les quatre cérémonies des JOP, comme Philippe Katerine, paré d’un justaucorps bleu, Lucky Love, la Garde républicaine ou Marc Cerrone. Certains temps forts des cérémonies olympiques ont été projetés sur l’Arc de Triomphe, comme la performance bouleversante de Céline Dion chantant « L’Hymne à l’amour ». En 1998, la parade des footballeurs français champions du monde avait rassemblé 600.000 personnes sur l’avenue. Vingt ans plus tard, 300.000 personnes. Ce samedi, la jauge de la parade des champions avait été fixée à 30.000 personnes, et à 40.000 pour le concert dans la soirée.
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Cette fois-ci, c’est vraiment fini. Après le succès des Jeux olympiques de Paris, plusieurs centaines d’athlètes français ont défilé sur les Champs-Elysées samedi 15 juillet, pour une ultime fête olympique qui s’est conclue par un concert géant.
Pour l’occasion, la vasque olympique s’est envolée une dernière fois depuis le jardin des Tuileries, teintée cette fois de bleu, de blanc et de rouge sur l’air de « La foule » d’Edith Piaf.
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Dès le début de l’après-midi, au milieu d’un important dispositif de sécurité, plusieurs milliers de spectateurs se sont massés sur le haut de l’avenue parisienne pour rendre hommage aux héros de l’été et profiter une dernière fois des Jeux. Parmi les athlètes présents, le nageur Léon Marchand, quatre fois médaillé d’or.
La parade des sportifs a démarré sous le soleil par un feu d’artifice tricolore autour de l’Arc de Triomphe, comme celui qui avait inauguré la cérémonie d’ouverture sur la Seine le 26 juillet. Et les fameuses Phryges, ces mascottes qui ont conquis le cœur du public, se sont dandinées sur le podium avant que les volontaires et les membres du comité d’organisation ne défilent.
Le designer de la torche et de la vasque olympique, Mathieu Lehanneur, ainsi que Thomas Jolly directeur artistique des cérémonies, et le président du comité d’organisation Tony Estanguet étaient de la partie. Sorte de marraine de ces JO de Paris, la championne olympique Marie-José Pérec, qui avait allumé la vasque avec le judoka Teddy Riner, a déclaré samedi la gorge nouée et les yeux mouillés : « Ce soir, c’est terminé. »
« Tout marchait, tout fonctionnait bien et les Français redécouvraient les vertus de la cohésion nationale », a commenté de son côté le président du Comité olympique français (Cnosf), David Lappartient.
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Des olympiens décorés
Plus de 300 olympiens et paralympiens étaient présents samedi, au sein d’un défilé rassemblant au total entre 8 000 et 10 000 personnes.
Le président de la République Emmanuel Macron a ravivé la flamme du soldat inconnu en présence du président du CIO Thomas Bach. La patrouille de France a fait le show dans le ciel dégagé de Paris.
Ensuite, 118 médaillés ont été décorés sur une scène autour de l’Arc de Triomphe par d’anciens sportifs (Didier Deschamps, Youri Djorkaeff…), d’élus comme la maire de Paris Anne Hidalgo, ou de membres du gouvernement démissionnaires comme Gérald Darmanin ou Amélie Oudéa-Castéra. Emmanuel Macron a notamment décoré Léon Marchand, Félix Lebrun, Antoine Dupont ou encore Aurélie Aubert, médaillée d’or de boccia. Le nouveau Premier ministre Michel Barnier a aussi participé à cette cérémonie protocolaire qui s’est achevée par une Marseillaise chantée, comme le 26 juillet, par la mezzo-soprano Axelle de Saint-Cirel.
Avec sa troisième médaille d’or en individuel, Teddy Riner, en costume cravate, a été élevé au grade de commandeur de l’Ordre national du mérite. « C’est un beau remerciement de faire cette remise de décorations devant les supporters », s’est réjouie sa coéquipière Romane Dicko, judokate médaillée de bronze en individuel et d’or en équipe.
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La fête s’est ensuite transformée concert géant, avec certains des artistes qui ont marqué les quatre cérémonies des JOP, comme Philippe Katerine, paré d’un justaucorps bleu, Lucky Love, la Garde républicaine ou Marc Cerrone.
Avec 16 titres et 64 médailles, la France a réalisé à domicile les meilleurs JO de son histoire, et atteint son objectif d’être dans le top 5 des nations.
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Il y a treize ans, mes vacances à Paris avec mon père ont changé notre vie. Nous étions invités à un dîner dans la cour d’un hôtel particulier quand j’ai vu Audrey pour la première fois. Je l’ai trouvée divine. Apparemment, mon père aussi. Entre le cliquetis des couverts et la playlist Charles Aznavour, le destin nous avait joué un drôle de tour.
Audrey était l’incarnation de la grâce et du flair artistique. Cette jeune trentenaire était une directrice artistique – plusieurs fois récompensée pour ses productions d’opéra – ainsi que la parfaite représentation de la beauté franco-vietnamienne. Ses cheveux étaient relevés en chignon par deux baguettes rouges, et elle était moulée dans une robe en satin orange. Une tenue normale pour elle.
Celle qui attire tous les regards
Quant à moi, j’avais la vingtaine, je privilégiais le confort à l’élégance et siroter des cocktails au Louvre était pour moi le top de la vie culturelle. Pourtant, je ne sais comment, nous nous sommes retrouvées à discuter entre deux palourdes farcies et d’innombrables verres de bordeaux.
Sous le ciel étoilé, nous avons partagé un paquet de Benson & Hedges, et la même assiette, pour avoir plus de place à table. C’est le genre de femme qui attire tous les regards, ai-je pensé, tout en la dévorant des yeux.
Un an plus tard, devant un Starbucks de Queens Boulevard, à New York, mon père m’a annoncé qu’il avait une liaison avec une femme rencontrée à Paris. Ma première pensée a été : “Oh, je connais exactement la Française idéale.”
Audrey était passée en un instant de l’amie française chic à la briseuse de couple. Ma deuxième pensée fut plutôt une prise de conscience. Mon père avait dit qu’il était “amoureux” et, pour la première fois dans ma vie, j’ai pris conscience que je n’avais aucune idée de ce que cela voulait dire.
Moi qui n’étais pourtant pas très sûre de moi, je me voyais comme une championne de l’amour. J’étais fière de mon ouverture d’esprit. À l’époque, j’étais aux prises avec la complexité de ma première relation lesbienne. Je vivais avec ma petite amie, mais je restais spectatrice de l’amour, une course d’obstacles faite de triomphes et de tâtonnements.
Quand j’ai rencontré Audrey, elle était tout ce que je voulais être. Un peu plus âgée que moi, extrêmement douée, elle n’avait pas peur d’être elle-même, bien au contraire. Une force de la nature avec une confiance inébranlable dans ses capacités : la femme dans toute sa splendeur. Et pour moi qui étais un peu perdue entre féminité, sexualité et désir d’autonomie, elle était une sorte d’idéal à atteindre. Avant que j’apprenne qu’elle couchait avec mon père.
Une famille détruite
Peu de temps après, mon père a quitté ma mère et mis fin à trente ans de mariage. L’amour passait avant tout le reste. Mon frère de 14 ans est devenu l’homme de la maison, tandis que ma mère dépérissait à s’occuper de ma grand-mère en fin de vie, et de son chien, lui aussi moribond.
Avant qu’Audrey ne puisse emménager à New York, la vie a pris un autre tournant inattendu. Mon père s’est installé dans mon studio, que mon
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Faire durer le plaisir… Dès le début de l’après-midi, samedi, au milieu d’un important dispositif de sécurité, les 30 000 spectateurs ayant obtenu leur sésame se sont massés sur le haut des Champs-Élysées pour rendre hommage aux héros de l’été, comme le nageur Léon Marchand, quatre fois médaillé d’or.
« On veut vivre les Jeux une dernière fois », explique Sarah Lacampagne, une professeure d’EPS de 31 ans arrivée dès 13 heures.
En milieu d’après-midi, la parade a démarré sous le soleil par un feu d’artifice bleu blanc rouge autour de l’Arc de Triomphe, comme celui qui avait signé le départ du spectacle de la cérémonie d’ouverture sur la Seine le 26 juillet.
Les fameuses mascottes Phryges se sont dandinées sur le podium avant que les volontaires et les membres du comité d’organisation défilent. Le designer de la torche et de la vasque olympique, Mathieu Lehanneur, ainsi que Thomas Jolly directeur artistique des cérémonies, et le président du comité d’organisation Tony Estanguet étaient de la partie, très applaudis à leur passage.
« Tout marchait, tout fonctionnait bien et les Français redécouvraient les vertus de la cohésion nationale », a commenté de son côté le président du comité olympique français (CNOSF), David Lappartient.
Plus de 300 olympiens et paralympiens étaient présents hier, au sein d’un défilé rassemblant au total entre 8000 et 10000 personnes.
« Quelle histoire ! », a déclaré le président de la République Emmanuel Macron en commentaire d’un clip sur les JO, un « été déjà passé dans la légende du sport français », après avoir ravivé la flamme du soldat inconnu en présence du président du CIO Thomas Bach.
La patrouille de France a, elle, fait son show dans le ciel dégagé de Paris. Ensuite, 118 médaillés ont été décorés sur une scène autour de l’Arc de Triomphe par d’anciens sportifs (Didier Deschamps, Youri Djorkaeff…), d’élus comme la maire de Paris Anne Hidalgo, ou de membres du gouvernement démissionnaires comme Gérald Darmanin ou Amélie Oudéa-Castéra, déjà distingués de l’ordre de la Légion d’honneur ou du Mérite.
Emmanuel Macron a notamment décoré Léon Marchand, Félix Lebrun, Antoine Dupont ou encore Aurélie Aubert, médaillée d’or de boccia. Avec sa troisième médaille d’or en individuel, le judoka Teddy Riner, qui avait troqué le jogging pour le costume cravate, a été élevé au grade de commandeur de l’ordre national du mérite.
Le nouveau Premier ministre Michel Barnier a aussi participé à cette cérémonie protocolaire qui s’est achevée par une Marseillaise chantée par Axelle de Saint-Cirel, présente lors de la cérémonie d’ouverture le 26 juillet.
Cette tradition de décorer les médaillés remonte aux Jeux d’hiver d’Innsbruck en 1964.
Avec 16 titres et 64 médailles, la France a réalisé à domicile les meilleurs JO de son histoire, et réalisant l’objectif d’être dans le top 5 des nations.
Une fête du sport tous les 14 septembre ?
Alors que ces Jeux ont offert répit et joie aux Français après un mois de juin de sidération suivant la dissolution surprise de l’Assemblée nationale et les élections législatives dans la foulée, M. Macron a expliqué vendredi dans un entretien au Parisien : « Nous devons être à la hauteur de cet esprit des Jeux de cette concorde nationale qui s’est exprimée. »
Il a souhaité que le 14 septembre devienne chaque année une fête nationale du sport. David Lappartient a dit « souscrire » à cette idée. « Il y avait une fête de la musique, il n’y avait pas de fête du sport », a-t-il fait remarquer.
Un concert géant s’est tenu place de l’Étoile dans la soirée, avec certains des artistes qui ont marqué les cérémonies d’ouverture et de clôture des Jeux olympiques et paralympiques, comme Marc Cerrone, les chanteurs Chris (Christine and the Queens) et Lucky Love, le duo Amadou et Mariam…
L’occasion d’une ultime célébration des athlètes avec le public français, certains n’ayant pas hésité à pousser la chansonnette devant un Arc de Triomphe reconverti en écran géant diffusant les meilleurs moments des Jeux.
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