Eure : Un père et sa fille ouvrent une « love room » à destination des couples

La « love room » du père et de sa fille a ouvert ses portes en mars dernier, le long de la route du Lieurey, à Bazoques, comme le rapporte L’Éveil Normand.

Le père, qui vient donc de faire affaire avec sa fille dans le département de l’Eure, décrit son établissement comme étant un endroit pour « les gens qui désirent se retrouver, passer un moment intime ». Ainsi, les couples désireux de discrétion pourront se rencontrer dans ce logement de 70 m², jonché de pétales, de cœurs, de plumes et équipé d’un jacuzzi privatif.

Père et fille associés dans différentes affaires

En 2019, le père, un entrepreneur originaire de Seine-Maritime, a revendu plusieurs de ses appartements dans l’objectif de racheter, avec sa fille âgée de 27 ans, de nombreuses boutiques. Ils sont d’ailleurs les heureux propriétaires de deux magasins de cigarettes électroniques dans le département de Seine-Maritime.

« Lui, c’est la maintenance et moi, je fais tout ce qui est comptabilité », explique sa fille. Après avoir ouvert une boutique spécialisée dans les produits de noces et de mariages, père et fille se lancent dans l’ouverture d’un gîte pour couple. Et leur pari fonctionne puisque plusieurs réservations ont déjà été effectuées par des couples, par le biais de différentes plateformes de location sur Internet. Devant un tel succès, le duo projette même d’ouvrir une seconde « love room ».

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Pauline Ducruet à Paris : apparition remarquée avec son cousin Alexandre Grimaldi, le fils d’Albert II

AFP

Dans ses mémoires, Boris Johnson règle ses comptes avec Emmanuel Macron

Brexit, accent anglais: l’ancien Premier ministre britannique Boris Johnson se moque d’Emmanuel Macron et règle ses comptes avec le président français qu’il qualifie notamment de « vraie nuisance », selon des extraits de ses mémoires publiés lundi dans le Daily Mail.Depuis qu’il a quitté Downing Street à l’été 2022, Boris Johnson s’est notamment reconverti en chroniqueur pour le tabloïd The Daily Mail, tout en se faisant payer plusieurs dizaines de milliers d’euros pour des conférences.
mhc/alm/pz

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Love is Gold, la base solide du Quinté du mardi 1er octobre


Son profil

Il a été le « tube » de l’hiver dernier. Le protégé de Pierre Ménard excelle sur la PSF. Il tentera de faire aussi bien sur celle de Chantilly que celle de Deauville. Capable d’aller de l’avant, il peut aller loin. Il retrouve Stéphane Pasquier et va effacer son mauvais numéro de corde d’entrée de jeu. Compétitif à cette valeur, il vient de surcroît, d’effectuer une course de rentrée pleine de promesses. 

Sa dernière course

Sur l’hippodrome de Châteaubriant, dans une course à conditions bien composée, Love is Gold se classait à la troisième place. Pas revu depuis le début du mois de juin, il tenait magnifiquement sa partie : « Vite en deuxième position, a pris un léger avantage à mi-ligne droite, puis n’a pu résister à deux attaques. »

Sa stat’

Il s’entend très bien avec Stéphane Pasquier. Ce tandem a remporté deux courses, dont l’événement du 12 janvier, disputé sur 1.900m à Deauville. Le hongre de 4 ans tentera de décrocher son deuxième Quinté+. 

Avec S. Pasquier : 4 courses – 2 victoires – 1 place

L’avis de son entraîneur

« Love Is Gold (2) s’est bien défendu dernièrement sur l’hippodrome de Châteaubriant, contre des chevaux aguerris. Mardi, il va retrouver sa surface de prédilection, la PSF. Il a bien travaillé et sa préparation s’est parfaitement déroulée. Le seul point négatif est son numéro dans les stalles de départ (le 14, ndlr), mais avec un parcours limpide, il devrait être compétitif. »

Sa cote probable : 8/1

Sa note Equidia : 13/20

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Défilés de Paris : ces femmes qui font aussi la mode

Hasard du calendrier, la Fashion Week a vu plusieurs shows signés par des femmes, créatrices et entrepreneuses. Chose trop rare dans une industrie majoritairement masculine.

Il suffit de regarder le calendrier des défilés de Paris pour réaliser que de moins en moins de créateurs se lancent sous leur nom. Aujourd’hui, les plus talentueux deviennent directeurs artistiques de maisons établies (comme les megabrands que sont Dior, Chanel, Hermès et Louis Vuitton) ou de marques nées dans les années 1970-1980 dont les fondateurs sont morts ou partis (Alaïa, Mugler, Dries Van Noten, etc.). Curieusement, et alors qu’elles sont minoritaires dans la caste des « DA stars », ce sont surtout des femmes qui se sont lancées dans ces aventures personnelles, créatives et entrepreneuriales, à l’image de Phoebe Philo qui a courageusement sauté le pas il y a un peu moins d’un an.

C’est également le cas de Mary-Kate et Ashley Olsen qui lançaient, en 2006, à 20 ans leur marque The Row. Elles ne sont pas à proprement parler des designers mais elles sont très impliquées dans la conception des collections et en insufflent l’esprit chaque saison. Leur succès est assez fou, en témoigne la file d’attente mardi dernier devant leur boutique de la rue du Mont-Thabor pour son premier jour d’ouverture. Le lendemain, mercredi, elles présentaient leur été 2025 dans les salons de leur siège social, rue des Capucines, selon un rituel désormais connu : thé vert proposé à l’entrée, ambiance feutrée, public trié sur le volet et surtout, interdiction de photographier pendant le défilé. De fait, c’est la marque qui envoie ses propres photos quand il lui sied, d’où ce compte-rendu tardif… Qu’importe, même cinq jours après, le moment de grâce est encore à notre esprit. Pourtant, ce vestiaire aux matières très haut de gamme frôle l’austérité avec ces filles en tee-shirts de cachemire bouclette superposés et pantalon légèrement ample. Une robe quasi monacale est, non pas de bure, mais de laine extra extra fine. Un pardessus de gabardine redéfinit le « chic normal ». À peine a-t-on droit à un col brodé de strass sur une longue robe noire juste appuyée à la taille… Nous ne sommes là ni dans le quiet luxury (qui, contrairement à ce qu’il prétend, se reconnaît de loin), ni dans le geste créatif démonstratif. Un entre-deux qui ne cherche pas à tout prix à être aimé. Et c’est pour ça qu’on l’aime. Beaucoup.

Défilé printemps-été 2025 The Row. SP

L’an prochain, cela fera trente ans qu’Isabel Marant a lancé sa marque avec le succès que l’on sait. En 2016, elle cédait 51 % de son capital à un fonds d’investissement, et depuis récemment a confié officiellement la direction artistique à sa collaboratrice de longue date, Kim Bekker. Elles sont là, toutes les deux, quelques minutes avant le show dimanche soir au Palais-Royal, pour nous expliquer le concept derrière l’été 2025. « Des femmes un peu guerrières chaussées à plat, des tribal-punks avec cette idée du Brésil et de l’Amazonie traduit dans les tissages de perles ou au fil, des franges, du macramé», résume la fondatrice. « Les couleurs du coucher de soleil et des papillons de nuit », poursuit Bekker. Sur le podium en plein air – petit point météo : rappelons qu’il fait plus froid en septembre à Paris qu’à Rio de Janeiro -, un genre d’Ursula Andress à la chevelure ébouriffée déboule en veste et minijupe de veau velours à franges, collier tribal et boots façon Minnetonka. Petite robe à motifs ailes de papillon mariée avec des spartiates montant le long du tibia, top en franges multicolores et pantalon de corsaire à la ceinture lacée, blouses ethniques, besace en nubuck et bombardier en cuir campent le vestiaire de cette fille gipsy que Laeticia Hallyday au premier rang applaudit chaleureusement. À nos yeux, cette collection, trop premier degré au regard de l’inspiration, aurait gagné à faire un pas de côté et offrir un prêt-à-porter plus réel et fidèle à l’esprit d’« Isabel ».

Défilé printemps-été 2025 Isabel Marant. Filippo Fior / Gorunway.com

« Regardez, il ne pleut pas, sourit l’attachée de presse de Stella McCartney. Mère Nature est avec nous ! » « Parce que vous lui rendez bien ! », lui répond une invitée. Effectivement, Stella est non seulement la pionnière de la mode écoresponsable mais elle n’a jamais dérogé à sa ligne de conduite quand tant d’autres ont surfé sur la tendance après le Covid… et sont passés à autre chose aujourd’hui. En revanche, comme chez Isabel Marant la veille, il fait frisquet – surtout pour les mannequins les plus dénudés – sur le terre-plein de l’avenue de Saxe où le défilé de l’été 2025 se tient en présence de Juliette Binoche et de Natalie Portman. En bande-son, la voix d’Helen Mirren répète « Save what you love », manifeste écologique en faveur de la protection des oiseaux (d’où ces colombes imprimées sur des robes en soie ou sculptées en cache-sein d’or martelé), thème de cette collection « réalisée sans faire de mal à une seule créature », indique la créatrice. Sur le podium, les filles n’ont pour autant rien de néohippie-retour à la terre. Plutôt des citadines pur jus, allant au bureau (ou en soirée on ne sait trop) en trench oversize, veste aux épaules carénées et chemise bleue tirée du vestiaire masculin. Certaines y associent une jupe tulipe de cuir ou un pantalon de costume ample brodé de paillettes argent. De leur sac à main végane (le Stella Ryder au profil de selle de cheval, animal préféré de la Britannique, nous dit-on), dépasse un journal fictif, le Stella Times, dont les rubriques martèlent le message de la collection. Qui aurait dit que le bon vieux journal papier serait l’accessoire de l’été ?

Défilé printemps-été 2025 Stella McCartney. INDIGITAL

Stella remixe également ses « basiques » comme la combi de pompiste en soie qui, ici, peut être dézippée pour devenir un short, les jeans larges constellés de clous, le sweat à capuche enfilé sous une veste à rayures banquier. Sans surprise, elle décline aussi le « nude look » en un sexy mais joli top corset porté avec pantalon, ou des robes de mousseline couleur chair ou plumetis que l’on a décidément trop vues. N’est-ce pas un peu cliché cette vision de la femme qui serait soit une working girl en tailleur (très beau au demeurant), soit une party girl quasi nue ? H. G. 

Défilé printemps-été 2025 Zimmermann. Launchmetrics

En trois décennies, Nicky Zimmermann (avec sa sœur Simone côté business) a transformé sa petite ligne balnéaire en une marque mondiale, solaire et instagrammable nommée Zimmermann. Alors évidemment, l’été est « sa » saison. Les invités du show, hier, au Palais de Tokyo sont accueillis par des images de surfeurs et la folk psychédélique de G. Wayne Thomas. Sur un podium courbe et blanc comme un chemin vers la plage, la copine du surfeur déambule dans ses robes en voile peint de moult palmiers et couchers de soleil. Elle est romantique (d’aucuns diront nunuche) dans ses cascades de volants, ses jupons léchant le sol passant sur un maillot de bain très échancré et au décolleté généraux. Reste qu’avec son « glow » resplendissant et sa chevelure bouclée par le sel de la mer, elle est drôlement jolie. V. G.

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I Love You, Man : la comédie romantique débarque sur Netflix

I Love You, Man, comédie romantique hilarante avec Paul Rudd et Jason Segel, sera disponible sur Netflix à partir du 4 octobre 2024. Un film sur l’amitié et l’amour qui promet de faire rire aux éclats.

Sorti en salles le 29 juillet 2009, I Love You, Man est une comédie romantique décalée réalisée par John Hamburg, qui a conquis le public par son humour léger et ses personnages attachants. Le film met en scène Paul Rudd dans le rôle de Peter, un agent immobilier à succès, sur le point de se marier à la femme de ses rêves, interprétée par Rashida Jones. Le seul problème ? Peter n’a pas d’ami proche pour être son témoin. Lors de sa quête désespérée pour trouver un meilleur ami à temps pour son mariage, il tombe sur Jason Segel, un homme aussi excentrique qu’irrésistible. Le film sera disponible sur Netflix le 4 octobre 2024, offrant aux fans de comédies une occasion parfaite de redécouvrir cette exploration drôle et touchante des amitiés masculines.

Peter Klaven (Paul Rudd) est un agent immobilier prospère et un homme comblé, sur le point de se marier à Zooey (Rashida Jones), la femme de ses rêves. Cependant, en préparant le mariage, il réalise avec une certaine gêne qu’il n’a aucun ami suffisamment proche pour être son témoin. Décidé à remédier à ce problème, Peter se lance dans une série de « rendez-vous entre hommes » pour trouver un meilleur ami. C’est ainsi qu’il rencontre Sydney Fife (Jason Segel), un célibataire décontracté et têtu, avec qui il tisse rapidement un lien fort. Mais à mesure que leur amitié grandit, elle commence à interférer avec la relation amoureuse de Peter, créant une série de quiproquos hilarants et de dilemmes émotionnels. I Love You, Man est une comédie douce-amère sur l’importance de l’amitié, même à l’âge adulte, et les complications inattendues qu’elle peut entraîner.

I Love You, Man s’adresse à un large public, en particulier aux amateurs de comédies romantiques et de bromances — ces amitiés fortes entre hommes qui prennent souvent des tournures comiques. Les fans de Paul Rudd et Jason Segel, deux acteurs reconnus pour leurs talents dans les comédies légères, seront particulièrement ravis par leurs performances pleines de charisme et de complicité. Le film se distingue par son exploration humoristique des amitiés masculines, un thème souvent peu abordé dans les comédies romantiques classiques. Les situations absurdes et le contraste entre les personnalités des deux personnages principaux apportent un vent de fraîcheur à ce genre. Les spectateurs qui ont apprécié des films comme 40 ans, toujours puceau ou Sans Sarah, rien ne va ! trouveront ici une œuvre tout aussi divertissante, pleine de quiproquos et de moments de tendresse.

Disponible sur Netflix à partir du 4 octobre 2024, I Love You, Man est une comédie romantique charmante et pleine d’humour, qui explore avec finesse l’importance des amitiés dans la vie d’adulte. Avec des performances hilarantes de Paul Rudd et Jason Segel, le film met en scène une bromance qui bouleverse les codes habituels du genre, tout en restant profondément émouvante. Entre rires et moments d’émotion, ce film est idéal pour une soirée cinéma sous le signe de la détente et du rire.

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Lena Mahfouf, Cardi B, Thalia Besson, Laura Smet, … : les stars repérées ce week-end à la Fashion Week de Paris

A Paris, les défilés se suivent et ne se ressemblent pas. Tout au long du week-end, les événements mode se sont succéder, attirants des dizaines de personnalités. Si Cardi B ou encore Lena Mahfouf ont déjà été vues à plusieurs reprises durant la semaine écoulée, d’autres stars ont fait des apparitions plus discrètes.

Laura Smet

Laura Smet (Photo by Darren Gerrish/WireImage for Victoria Beckham)Laura Smet (Photo by Darren Gerrish/WireImage for Victoria Beckham)

Laura Smet (Photo by Darren Gerrish/WireImage for Victoria Beckham)

Rare apparition pour Laura Smet, particulièrement discrète. L’actrice a assisté au défilé de Victoria Beckham, dans une robe vert pâle éthérée.

Thalia Besson

Thalia Besson (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)Thalia Besson (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Thalia Besson (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Repérée dans la dernière saison de la série « Emily in Paris », la fille du réalisateur controversé Luc Besson est l’une des nouvelles stars du petit écran. Elle a assisté au défilé Vivienne Westwood, qui a attiré de nombreuses célébrités.

Lucky Love

Lucky Love (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)Lucky Love (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Lucky Love (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Après avoir fait sensation lors de la cérémonie d’ouverture des Jeux Paralympiques de Paris 2024, l’artiste Lucky Love a débarqué au défilé Vivienne Westwood avec un look des plus originaux : cuissardes, slip en laine et bigoudis sur le crâne.

Lena Mahfouf

Lena Mahfouf (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)Lena Mahfouf (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Lena Mahfouf (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Absolument incontournable à la Fashion Week de Paris ces dernières années, Lena Mahfouf a quant à elle opté pour un look plus classique de la marque, avec un ensemble en tartan et des chaussettes montantes.

Cardi B

Cardi B (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP) (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP via Getty Images)Cardi B (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP) (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP via Getty Images)

Cardi B (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP) (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP via Getty Images)

Quelques semaines après son accouchement, Cardi B semble bien décidée à profiter au maximum de la Fashion Week, puisqu’elle a été repérée au premier rang de nombreux événements.

Hayley Williams

Hayley Williams (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP) (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP via Getty Images)Hayley Williams (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP) (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP via Getty Images)

Hayley Williams (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT / AFP) (Photo by GEOFFROY VAN DER HASSELT/AFP via Getty Images)

Après avoir fait le tour de l’Europe au côté de Taylor Swift dans le cadre du « Eras’ Tour », la chanteuse du groupe Paramore a retrouvé la capitale française pour le défile Vivienne Westwood.

Nina Dobrev

Nina Dobrev (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)Nina Dobrev (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Nina Dobrev (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Apparue blessée lors des Jeux Olympiques, Nina Dobrev est de nouveau sur pied. La comédienne a pu assister à la Fashion Week de Paris, et a enchaîné les looks blancs, sa couleur de prédilection pour la saison.

Kelly Rutherford

Kelly Rutherford (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)Kelly Rutherford (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Kelly Rutherford (Photo by Jacopo Raule/Getty Images)

Inconditionnelle figure de la Fashion Week de Paris, l’ex star de la série « Gossip Girl » a une fois de plus fait sensation à l’occasion du défilé Elie Saab.

Brooklyn Beckham et Nicola Peltz

Brooklyn Beckham et Nicola Peltz (Photo by Darren Gerrish/WireImage for Victoria Beckham)Brooklyn Beckham et Nicola Peltz (Photo by Darren Gerrish/WireImage for Victoria Beckham)

Brooklyn Beckham et Nicola Peltz (Photo by Darren Gerrish/WireImage for Victoria Beckham)

Sans surprise Victoria Beckham a pu compter sur le soutien de son fils Brooklyn, et du reste de sa famille, pour ce nouveau défilé parisien.

Barbara Palvin

Barbara Palvin (Photo by River Callaway/WWD via Getty Images)Barbara Palvin (Photo by River Callaway/WWD via Getty Images)

Barbara Palvin (Photo by River Callaway/WWD via Getty Images)

Mannequin, Barbara Palvin assiste régulièrement aux défilés de la Fashion Week. Elle est particulièrement fan des pièces créées par Victoria Beckham, et manque rarement les défilés de la créatrice.

Lena Mahfouf (Photo by Daniel Zuchnik/Getty Images)Lena Mahfouf (Photo by Daniel Zuchnik/Getty Images)

Lena Mahfouf (Photo by Daniel Zuchnik/Getty Images)

Nouveau défilé, nouveau look pour Lena Mahfouf. Après Vivienne Westwood et le tartan, la jeune influenceuse a opté pour un total look rouge moulant pour assister au défilé Isabel Marant.

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Anna Cazenave Cambet de retour en terres lot-et-garonnaises pour le tournage de « Love Me Tender », son deuxième long-métrage

l’essentiel Originaire de Nérac, la réalisatrice Anna Cazenave Cambet est en plein dans le tournage de son deuxième long-métrage, « Love Me Tender ». Une grande partie du film est tournée sur ses terres natales entre Nérac, Agen et Casteljaloux. Rencontre.

Deux courts-métrages, un long, deux nominations à Cannes. Anna Cazenave Cambet, née en 1990 à Nérac, est un des talents locaux qu’il faut suivre de près. Après « Gabber Lover », pour lequel elle a reçu la Queer Palm en 2016, « Iémanja-Coeur Océan » et « De l’or pour les chiens », sélectionné dans la catégorie Semaine de la Critique en 2021, la réalisatrice diplômée de la Fémis à Paris est en plein tournage de son quatrième film : « Love Me Tender ».

Une adaptation du roman de Constance Debré publié en 2020, dans lequel l’ex-avocate et descendante de la famille Debré raconte, notamment, le combat qu’elle mène pour continuer à voir son fils. Ayant quitté son mari pour vivre son homosexualité au grand jour, elle remet également en cause, dans cette autofiction, l’injonction à l’hétéronormativité.

« Il y a eu une évidence, tant entre le roman et moi qu’entre Constance et moi »

« C’est la production [ndlr : Novoprod] qui est venue vers moi pour me proposer ce projet, raconte Anna Cazenave Cambet. J’avais lu ‘Love Me Tender’, mais je n’avais jamais pensé à réaliser un jour une adaptation de livre. » Les questions de déconstruction autour de la féminité et du rapport à la sexualité étant omniprésentes dans le travail de la réalisatrice, il semblait presque logique que ce soit elle qui s’empare de l’œuvre littéraire pour la mettre à l’écran. « Il y a eu une évidence, tant entre le roman et moi qu’entre Constance et moi », confie Anna Cazenave Cambet.

Si les deux artistes ont une vision commune sur la direction à donner au film, la cinéaste tient néanmoins à garder une certaine liberté. « Je suis restée proche de la trame car je veux garder l’essence du roman, mais j’ai ramené quelques éléments, des lieux, des rencontres, à ma vie personnelle. »

Un tournage sur des lieux familiers

Une liberté qui l’a conduite à revenir tourner dans le Lot-et-Garonne [ndlr : « Gabber Lover » avait également été tourné à Nérac], notamment à Réaup-Lisse, près de Nérac, où son équipe a posé ses caméras du 23 au 29 septembre. Y ont été filmées, en face du château de Lisse, les scènes où l’héroïne, interprétée dans le film par l’actrice Vicky Krieps, est dans la maison de son père.

« On cherchait une maison face à un château pour correspondre au livre. On a fait le tour des châteaux du département, et on a trouvé celui-ci. Les gardiens du château, qui habitent la maison, ont accepté de nous le prêter le temps du tournage. Ils nous ont accueillis les bras ouverts », indique Anna Cazenave Cambet, pour qui les lieux ne sont pas inconnus. « Mes parents habitent à cinq minutes d’ici, ce sont des décors dans lesquels j’ai grandi, vécu, où j’ai appris à marcher. Je suis ravie de tourner ici. »

Son attache cinématographique avec le Lot-et-Garonne est également due à la collaboration étroite avec le Bureau des tournages du 47. « Ils ont toujours gardé un œil sur moi. C’est aussi ça qui fait que l’on revient. » Un environnement familier, donc, et sur tous les points puisque la Néracaise s’est entourée de la même équipe de tournage que pour ses précédents films, dont son chef opérateur et compagnon Kristy Baboul. Conditions qui la conduiront peut-être une troisième fois sur les marches du Palais du Festival de Cannes ?

Le tournage se poursuit à Agen jusqu’au 9 octobre

Le tournage de « Love Me Tender » a débuté mi-septembre à Paris. L’équipe du film est arrivée dans le Lot-et-Garonne le 23 septembre. Une scène a été tournée en début de semaine à la piscine municipale de Casteljaloux puis à Nérac jusqu’au 29 septembre. Le reste du tournage débute aujourd’hui à Agen, entre les boulevards Carnot et de la République. Des décors parisiens seront installés. Le tournage se finira ensuite à Paris.

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Nos choix de concerts : The House of Love, la Fiesta des Suds, Sixun, Les Emancipéés…

LA LISTE DE LA MATINALE

Cette semaine, nous vous présentons plusieurs événements en matière de rock, de jazz, de chanson et de musiques variées. Ainsi le groupe The House of Love pour une courte tournée, à Paris les 40 ans du groupe de jazz fusion Sixun et un hommage au guitariste Christian Escoudé, ainsi que trois festivals, l’un à Rennes et dans plusieurs communes de l’Ille-et-Vilaine, un autre à Vannes et le troisième à Marseille.

Le groupe de rock britannique The House of Love en tournée

Le groupe de rock britannique The House of Love. Le groupe de rock britannique The House of Love.

En 2023, le groupe de rock britannique The House of Love se produisait enfin de nouveau en France pour de mémorables retrouvailles après dix-huit ans d’absence. Avec ses guitares shoegaze pionnières et ses mélodies profondément mélancoliques, la formation rock du flegmatique chanteur-guitariste Guy Chadwick était l’une des plus en vue à la fin des années 1980, aux côtés des Pixies et des Stone Roses. Depuis, la maison de l’amour a connu quelques ravalements, avec un personnel entièrement remanié depuis l’album A State of Grace (2022), mais son irremplaçable leader Guy Chadwick tient toujours la baraque.

Déjà passé par Amiens et Marseille en septembre, The House of Love revient en France pour quatre dates du 1er au 4 octobre, à Toulouse, Clermont-Ferrand, Rennes et Paris. La tournée se concentre sur la période 1990-1993 avec les albums parus sur le label Fontana Records, récemment réédités en vinyles. L’occasion de se replonger dans l’album dit « Papillon » (1990) et les classiques que sont Shine On, The Beatles and the Stones, Feel, Girl With the Loneliest Eyes, I Don’t Why I Love YouFr. C.

The House of Love en tournée : au Rex de Toulouse, le 1er octobre, 28 € ; à la Coopérative de mai, à Clermont-Ferrand, le 2 octobre, 24 € ; à L’Antipode, à Rennes, le 3 octobre, 30 € ; au Trabendo, à Paris 19e, le 4 octobre, 38,50 €.

Ayo, MC Solaar, Benzine… Les stimulants brassages de la Fiesta des Suds

Cette édition de la Fiesta des Suds, un événement musical et festif marseillais très fréquenté, sera la 33e du nom. Avec un brassage de styles, donc de publics. Et un plateau fédérateur. Meryl, Olivia Ruiz, MC Solaar, Flavia Coelho, Maya Kamaty, Fatoumata Diawara, Orange Blossom…

Lire Un apéro avec MC Solaar (2024) | Article réservé à nos abonnés Un apéro avec MC Solaar : « J’écris quand il faut faire un album, c’est ça mon rituel »

Chacun (ou presque) peut y trouver matière à combler ses goûts personnels. Des têtes d’affiche dont certaines présentent leur nouvel album (Danakil, Zoufris Maracas, Ayo, Seun Kuti). Trois soirs de fête, de groove intense (et de décibels), plus un « after » le samedi pour ceux qui ne veulent pas aller dormir, puis un dimanche pour les familles (avec Angélique Kidjo entourée de gamins – création pour « La Cité des Minots »).

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Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Concerts : House of Love, Fiesta


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« AGENDA MUSICAL DE LA SEMAINE
Pour la semaine en cours, nous avons le plaisir de mettre en avant divers concerts couvrant plusieurs genres musicaux – rock, jazz et variété. Parmi ces événements, le groupe britannique rock, The House of Love part en tournée courte, tandis que Paris fête le 40e anniversaire de la jazz fusion du Sixun. En outre, un hommage à Christian Escoudé, notre guitariste respecté, et trois festivals seront organisés, notamment à Rennes et dans quelques municipalités d’Ille-et-Vilaine, Vannes et Marseille.
The House of Love, le groupe de rock britannique, est sur la route.
Après une absence notable de dix-huit ans, The House of Love, groupe de rock britannique, s’est produit à nouveau sur les scènes françaises en 2023, pour une reprise inoubliable. Le charismatique chanteur-guitariste Guy Chadwick et son emblématique guitare shoegaze, accompagnée de mélodies mélancoliques, ont permis au groupe de se hisser parmi les plus convoités à la fin des années 1980, rivalisant avec les Pixies et les Stone Roses. Malgré quelques changements significatifs de personnel postérieurs à l’album A State of Grace (2022), la présence irremplaçable de Guy Chadwick reste au cœur du groupe.
Après avoir fait étape à Amiens et Marseille en septembre, The House of Love planifie quatre dates supplémentaires en France du 1er au 4 octobre, incluant Toulouse, Clermont-Ferrand, Rennes et Paris. Ces concerts se focaliseront sur la période 1990-1993, avec des albums sortis sous le label Fontana Records récemment remasterisés en vinyle. C’est une opportunité de redécouvrir l’album surnommé « Papillon » (1990) ainsi que des chansons incontournables telles que Shine On, The Beatles and the Stones, Feel, Girl With the Loneliest Eyes, I Don’t Why I Love You…Fr. C. »

La tournée de ‘The House of Love’ passera par plusieurs villes : Rex de Toulouse le premier octobre (28 €), Coopérative de mai à Clermont-Ferrand le deuxième octobre (24 €), L’Antipode à Rennes le troisième octobre (30 €) et enfin Trabendo à Paris 19e le quatrième octobre (38,50 €).

De son côté, la Fiesta des Suds, célèbre manifestation musicale de Marseille, célébrera sa 33ème édition. Cet évènement attire un public varié grâce à une programmation diverse et riche. Parmi les artistes confirmés, on retrouve notamment Meryl, Olivia Ruiz, MC Solaar, Flavia Coelho, Maya Kamaty, et Fatoumata Diawara, tout comme Orange Blossom. C’est une occasion idéale pour satisfaire les préférences musicales de chacun. Plusieurs d’entre eux, tels que Danakil, Zoufris Maracas, Ayo, et Seun Kuti, présenteront leur nouvel album.

La Fiesta des Suds s’étend sur trois soirées remplies de fête et de groove, sans oublier l’ »after » du samedi pour ceux qui souhaitent prolonger les réjouissances. Le dimanche est destiné aux familles, avec un spectacle exceptionnel d’Angélique Kidjo qui se produira avec des enfants pour « La Cité des Minots ».

Pour en savoir plus sur ces événements, l’intégralité de l’article est disponible pour les abonnés.

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Exils, scènes d’amour, Art Basel Paris : 5 expos à ne pas rater en octobre

Au programme : les soft skills de Mohamad Abdouni, des foires d’art, de la photographie émergente chinoise, des exils et des scènes d’amour.

Chaque mois, nous passons en revue les événements artistiques de notre beau pays, la France, afin de vous proposer la crème de la crème des expositions. Au programme : les soft skills de Mohamad Abdouni, des foires d’art, de la photographie émergente chinoise, des exils et des scènes d’amour.

À voir aussi sur Konbini

AKAA & Art Basel Paris au Carreau du Temple et au Grand Palais, à Paris

“Cette année, la foire Also Known As Africa (AKAA) poursuit la mise en lumière des conversations qu’entretient l’Afrique avec les Amériques et les Caraïbes, notamment par un coup de projecteur sur la scène ultramarine. Des cartes blanches à des artistes et commissaires invité·e·s porteront la voix de ces scènes artistiques bouillonnantes de la France d’Outre-mer.”

“Art Basel Paris rassemblera 195 galeries issues de 42 pays et territoires, parmi lesquelles 64 disposent d’espaces en France, et 53 primo-exposants, offrant une expérience unique d’excellence artistique dans tous les médiums et plus de cent ans d’histoire de l’art. L’arrivée de la foire au Grand Palais, après trois ans de rénovation, est le point d’orgue du lien qui unit Art Basel à la capitale française.”

Du 18 au 20 octobre 2024.

Mohamad Abdouni – “Soft Skills” à Lafayette Anticipations, à Paris

“Mohamad Abdouni travaille à la préservation d’histoires incomplètes ou sur le point de disparaître. Au fil des années, il a tissé un réseau de relations avec des figures dépositaires de mémoires marginales et cachées, ainsi qu’avec leurs archives photographiques. Il comble ensuite les vides et les silences de ces témoignages avec des fictions qu’il déploie notamment grâce à l’IA et les nouvelles technologies.

Pour son exposition personnelle à Lafayette Anticipations, l’artiste libanais poursuit cette recherche et adopte cette fois une démarche introspective pour plonger dans sa propre histoire. Avec ‘Soft Skills’, il propose ‘un retour au pays natal’, la région de Bekaa au Liban, et s’attarde sur son enfance et son adolescence, période lors de laquelle il s’est vu imposer une masculinité étroite et limitante.

Adulte, il incarne désormais une identité que l’enfant qu’il était peinait à entrevoir, et jette un regard mêlé de nostalgie bienheureuse et de gravité teintée d’humour sur son passé. Il s’attarde sur les figures, les archives et les bibelots familiaux et se remémore les personnages mythiques ou monstrueux qui peuplent toujours son imaginaire.

L’artiste réexamine ses désirs de garçon queer, l’impossible incarnation d’une masculinité hétérosexuelle ou l’homo-érotisme de la camaraderie. Cette (re)lecture queer, ‘soft skills’, présente une réinvention jubilatoire d’autres manières de se comporter et de s’affirmer.”

Du 16 octobre au 17 novembre 2024.

“Bi Hu Suo” — À propos de la photographie chinoise émergente au Centre d’Arts Ronzier, à Valenciennes

“Prolifique, turbulente, la nouvelle scène photographique se développe démesurément depuis quelques années dans l’Empire du Milieu. Quels sujets animent cette génération d’artistes confrontée voire stimulée par la charge du pouvoir et de l’histoire d’une nation si complexe ?

Relations chinoises-états-uniennes, évocation de la révolution culturelle, thématiques sécuritaires ou encore question du genre, les quatre artistes ici présenté·e·s ont pour point commun d’aborder des sujets sensibles, actuels mais délicats. Avec les œuvres des artistes : Zhang Zhidong, Zheng Andong, Ye Wuji & Wang Yingying.”

Jusqu’au 19 octobre 2024.

“Exils – Regards d’artistes” au Louvre-Lens

“Que fait l’exil à la création ? Quelle forme la création lui donne-t-elle ? L’exil rend-il la création différente, singulière ? Nombreux·ses sont les artistes qui ont connu l’exil, pour un temps ou pour la vie. Nombreuses sont les figures artistiques et littéraires qui incarnent ce départ vers un ailleurs.

L’exposition interroge les liens entre création et sentiment d’exil. Dans un parcours qui évoque les exils dans leur diversité, elle replace cet enjeu dans le temps long de l’histoire et de l’histoire de l’art. À partir des grands mythes et récits fondateurs, ce projet adopte une vision pluridisciplinaire, à la fois réelle et sensible, fondée sur la manière dont les expressions artistiques dévoilent et illustrent l’expérience humaine de l’exil. L’exposition traverse les époques et les géographies, faisant également une large part à la création contemporaine.

Homère, Ovide, Jacques Louis David, Élisabeth Vigée Le Brun, Victor Hugo, Gustave Courbet, Marc Chagall, Nil Yalter, Kimsooja, Yan Pei-Ming, Joana Hadjithomas et Khalil Joreige, Barthélémy Toguo ou encore Marco Godinho… Les artistes questionnent le départ, le déplacement, la complexité de l’arrivée, le déracinement, mais aussi le rôle décisif de la rencontre et de l’accueil.

Riche de près de 200 œuvres, l’exposition se veut comme une manifestation sensible, mettant en avant la création artistique, picturale, sculptée, photographiée, filmée, littéraire, poétique, philosophique, et créant des passerelles entre art ancien et art de notre temps.”

Jusqu’au 20 janvier 2025.

“Love Scenes – Jules Magistry” au Forum des images, à Paris

Amour gay, lesbien, à deux, à trois, toutes les amours du cinéma sont célébrées. Dans le cadre de l’événement “Refaire l’amour : la comédie romantique dans tous ses états”, Jules Magistry expose un bel hommage au cinéma. L’artiste révèle ses Love Scenes qu’il collectionne dans un carnet noir.

Parmi ses émois cinématographiques, on retrouve entre autres Les chansons d’amour de Christophe Honoré, Nowhere de Gregg Araki, ou encore Le secret de Brokeback Mountain, “vu un peu gêné avec ma mère à l’époque”, confie-t-il. “Ma mère pleurait encore plus que moi, elle a vécu, je crois, à travers le film, ma mort possible sous les coups des autres dans un monde homophobe.”

Comment cette série lui est venue à l’esprit ? “Tout part des scènes d’amour. En fait, d’une scène en particulier : celle du feu de camp dans My Own Private Idaho de Gus Van Sant. Celle qui pour moi était ce qui se rapprochait le plus de ce que je connaissais comme jeune gay, c’est-à-dire une déclaration romantique un peu étouffée à quelqu’un qui ne peut pas aimer en retour”, raconte le dessinateur qui vient de signer une première BD chez Sarbacane. En attendant que les films d’amour corrigent leurs écueils, on vous conseille de vous plonger dans le bleu, le rouge et le violet de Jules Magistry.

Jusqu’au 17 novembre 2024.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.