She Taught Love (Disney+) – à partir du 27/09

20minutes.fr

« HPI » : Enorme succès pour les débuts du remake américain qui a séduit 11,5 millions de personnes

CARTON – En cumulant le replay sur Hulu et Disney+ et le direct sur ABC, « High Potential », le remake américain de « HPI », a séduit 11,5 millions de personnes à l’occasion de la diffusion du premier épisode le 17 septembre

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

George et Amal Clooney célèbrent leurs dix ans de mariage, retour sur une love story pas comme les autres

C’est fou quand on y pense. Ce 27 septembre 2024, George et Amal Clooney fêtent leurs noces d’étain : dix ans de mariage. Oui, dix ans, c’est fou comme le temps passe vite. Surtout quand on se rappelle qu’à l’époque, on a eu un peu de mal à se faire à l’idée que George, l’acteur hollywoodien, le serial lover aux mille et une conquêtes, l’allergique à l’engagement à long terme durée, se transformerait un jour en époux et papa modèle grâce à Amal, brillante avocate spécialiste des droits de l’homme ? Car il faut se rappeler qu’avant d’en arriver là, à l’autel, George a eu un sacré parcours… En 1989, il passe la bague au doigt de la comédienne Talia Balsam. Mais leur union, célébrée en catimini à Las Vegas, ne dure que quatre ans. Jouer au parfait petit mari ? Pas son truc à George. Avoir des enfants ? Encore moins, il tolère tout juste ceux des autres. Sur les deux sujets, il le jure, il est vacciné. Il parie même avec Nicole Kidman et Michelle Pfeiffer qu’on ne le reprendra plus. Bref, George se préfère en séducteur en série et drague tout ce qui bouge. Pour tenter de décrocher un CDD (max deux ans), on peut être mannequin, comédienne, française, animatrice ou même catcheuse. Blonde est un plus. Et pendant vingt ans, ça défile… Et puis, en septembre 2013, George a le choc de sa vie. Ce fringuant quinqua (il a 52 ans) fait la connaissance d’Amal Alamuddin, une avocate britannique de 35 ans. Elle est l’amie d’un ami en visite alors qu’il (…)

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Læticia Hallyday, sulfureuse : elle dévoile son pubis et sa poitrine dans une robe qui laisse peu de place à l’imagination
Meghan Markle humiliée après un nouvel affront royal, « elle refuse d’être mise de côté de cette façon »
Rosalía qui ? Jeremy Allen White surpris en train d’embrasser une de ses costars de The Bear (mais pas celle que vous pensez)
Tatoue-moi…un pull en cachemire : Kujten signe une collab audacieuse avec le tatoueur réputé Dr Woo
Jennifer Lopez séparée de Ben Affleck : quelle est cette thérapie très coûteuse qu’elle suit depuis leur rupture

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Que faire à Paris

Expositions, concerts, spectacles, conférences et cinéma : cette semaine, on vous guide pour trouver votre bonheur dans l’offre culturelle parisienne.

Expos

On retombe amoureux de Paris

C’est armé de son appareil photo que David Turnley s’est amusé à observer Paris, qu’il décrit tendrement comme sa « ville spirituelle ». De 1975 à nos jours, ses clichés retranscrivent l’âme de la capitale, aussi poétique que romantique. Attention, vous risquez d’en (re)tomber amoureux !

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On
s’intéresse au changement climatique

Le collectif Argos, composé de journalistes, est
particulièrement connu pour ses grandes campagnes de sensibilisation à
l’environnement.
Jusqu’au 21 octobre, le groupe présente sa nouvelle expo, sur les berges de Seine,
dédiée aux dangers du réchauffement climatique sur l’océan.

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On
découvre des photographes émergents

Au détour d’une balade sur le pont Saint-Ange, ouvrez l’œil et admirez l’expo en plein air qui met à l’honneur le travail de 5 artistes révélés au printemps dernier lors de Circulation(s), le festival de la jeune
photographie européenne. Préparez-vous à en prendre plein les yeux.

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Spectacles

On
s’émeut devant cette histoire de famille

Quand Mani et Dani, un frère et une sœur, se rendent à l’enterrement
d’un ami, ils ne s’attendent pas à ce que la journée tourne aussi mal. Ils y retrouvent des camarades d’enfance et réalisent
que plus rien ne les lie. Leurs amis ont grandi, évolué, alors qu’eux vivent encore ensemble dans la maison de leurs parents…
Vieilles rancœurs et blessures passées sont au programme de cette pièce, récompensée au Prix T13.

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On
reste sans voix devant cette performance

Éric Métayer a plus d’une corde à son arc. Doubleur, metteur
en scène, auteur et réalisateur, on le retrouve cette fois avec la casquette d’acteur au Lucernaire (6e). Dans ce
seul en scène qui a reçu un Molière en 2008, il interprète pas moins de 32 personnages. Il est Sam, un acteur au chômage qui arrondit ses fins de mois en
tant que standardiste, mais il est également tous les personnages qu’il aura au
téléphone. Une performance bluffante qui vous fera passer du rire aux
larmes !

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On
rend hommage à Leonard Cohen

Le Théâtre du Châtelet (Paris Centre) accueille cette création avec 14 danseurs rendant hommage à l’œuvre de Leonard Cohen, et mêlant
écritures scéniques, musicales et dramaturgiques. De « Suzanne » à « Hallelujah », en passant par « Dance Me to the End
of Love », on revit les classiques de cet
artiste culte.

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Cinéma

On
fête l’anniversaire de Godzilla

On connaît tous Godzilla. Gigantesque monstre vert entré
dans la culture populaire, il a affronté King Kong et Superman. Mais saviez-vous qu’il est né il y a soixante-dix ans et possède des origines japonaises ? La Maison de la culture du Japon (15e) salue son influence à travers
une sélection de 13 films.

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On
s’intéresse aux jeunes auteurs chinois

Direction le Studio des Ursulines (5e) et le
Pathé Les Fauvettes (13e) pour assister à la projection de 15 courts-métrages réalisés par de jeunes talents chinois. Parfait pour découvrir les tendances
du cinéma d’auteur à venir !

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On
apprécie la beauté de la langue française

Pour cette 31e édition, le 7e art ultramarin est à l’honneur
avec la projection de nombreux films de cinéastes venus d’Outre-mer. Les
réalisateurs seront présents pour répondre à toutes vos questions et confronter
leurs points de vue sur l’état du monde au cœur de la francophonie.

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Musique

On prend sa dose de vitamines D avec Cousin Kula

Dans son nouvel album, Vitamine D, les 5 membres de Cousin Kula célèbrent l’amour sur des orchestrations teintées de funk et de soul psychédélique. Rendez-vous au Supersonic (12e) pour profiter de l’énergie positive que transmettent les morceaux de ce groupe, tout droit sorti de la scène groove underground britannique. Une belle découverte.

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On part pour un voyage sonore

Une fois n’est pas coutume, c’est dans un musée que la musique va résonner. Le Quai Branly (7e) nous invite à vivre une expérience hors du commun. Placé tout autour du public, l’orchestre entame une conversation entre ses propres instruments et ceux sortis des collections du lieu. Un voyage acoustique à travers les époques et les cultures du monde. Magique.

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On écoute la pop envoûtante de Jozeph 

Avec son flow singulier et son univers pop électro, Jozeph veut nous envoûter, c’est certain. Et on la laissera volontiers faire lors de son concert aux Disquaires (11e).

Vidéo Youtube

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Conférences

On
part à la rencontre du monde

Saviez-vous que l’on dénombre plus de 300 millions
de francophones à travers le monde ? Du 2 au 6 octobre, le Centquatre (19e) se
métamorphose en un vaste village de la francophonie, un lieu d’échange et de
découvertes culturelles. Exposition,
concerts, débats et conférences sont au programme. On réserve ses
places rapidement.

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On
analyse l’IA

L’intelligence artificielle (IA) fascine, effraie, interroge mais, une chose est sûre,
elle ne laisse personne indifférent. Pour échanger sur le sujet, on écoutera le philosophe Laurent
Bibard, professeur à l’ESSEC Business School, et l’informaticien Nicolas
Sabouret, professeur à l’université Paris-Saclay. Histoire d’en apprendre plus sur
cette technologie révolutionnaire.

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On inspecte son assiette

Dans le cadre de la Fête de la science, on a tous rendez-vous à la médiathèque Hélène-Berr (12e) pour parler santé et
environnement. Au programme de cette conférence ? Les différents problèmes de
santé liés aux aliments transformés et aux substances chimiques qui s’y
trouvent. Passionnant !

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La maison Kure Bazaar à Paris : plus qu’un salon de manucure, un véritable lieu de vie

La marque de vernis clean a trouvé son écrin au cœur de Paris et dévoile un lieu où règne l’hospitalité .

À l’étage, les ouvriers sont encore en train d’installer l’immense table en marbre chinée, alors que le comptoir du café attend patiemment, à l’entrée, les futures clientes qui passeront le pas de la porte. Seuls les vernis (dont la nouvelle gamme Remarquable Therapy Cosmetics) sont déjà en place, lovés dans un meuble ancien choisi tout spécialement par Christian David, co-fondateur de la marque. C’est ce dernier qui nous a accueillis, à quelques jours de l’ouverture prévue pour la Fashion Week. «Je crois que nous avons trouvé le lieu parfait, au cœur de Paris, rue Saint-Honoré, entre les Jardins du Palais Royal, la Comédie Française, l’Opéra et le Louvre. Et même la Fondation Cartier demain.» La maison Kure Bazaar a donc pris ses quartiers sur plus de 200 m² pour s’offrir son «lieu de vie» : c’est ici que les équipes et les clientes se retrouveront, le temps d’une manucure ou d’un café. 

L’hospitalité avant tout

Car Christian David insiste, le maître-mot du lieu reste l’hospitalité. Son objectif ? Faire du bien par le bon. L’endroit se veut donc accueillant, comme une adresse où il fait bon se retrouver entre amies. Tout a été pensé comme une maison, chaque meuble choisi dans cet objectif de convivialité mais aussi pour coller à l’ADN de la marque.

Bien sûr, on retrouvera les protocoles bienfaisants sur mesure pour soigner et embellir les mains et les pieds. Mais Kure Bazaar a voulu aller plus loin en proposant par exemple des séances de manucures méditatives, philosophiques ou littéraires. Des artistes seront régulièrement exposés et une salle accueillera des plantes médicinales et aromatiques. De quoi offrir au lieu des airs de jardin d’hiver.

Les gobelets rendent hommage aux deux lions qui ornent la façade historique. Kure Bazaar

Allier le beau et le bon

Pour prolonger l’expérience, Kure Bazaar a également imaginé en collaboration avec les équipes d’Alain Ducasse des cakes aux huiles essentielles. On pourra également déguster des viennoiseries signées Gérald Auvrez (un artisan boulanger qui moud lui-même ses céréales anciennes dans son échoppe) et spécialement conçues pour le lieu. Côté boissons, place à des cocktails d’infusion aux plantes médicinales et au café de l’Arbre à Café, artisan torréfacteur et société à mission, certifiée BCorp. Sur les gobelets, deux lions viennent parfaire une illustration pensée pour l’occasion : «Ce sont eux qui ornent le bâtiment», souligne Christian David qui nous invite à lever les yeux pour observer la façade historique avant de passer le pas de la porte.

Ouverte depuis le 23 septembre, la Maison Kure Bazaar devrait vite devenir l’une des adresses que l’on se partage pour sublimer ses ongles tout en s’offrant une vraie parenthèse bien-être.

Maison Kure Bazaar, 165 rue Saint Honoré, 75001 Paris. 

    

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Etam Live Show – « Love me x rain » de Dina Ayada


Depuis la Monnaie de Paris, Etam vous invite à découvrir les dessous de la Paris Fashion Week dans ses salons particuliers, un cadre chaleureux et intimiste marqué par la proximité et la connexion avec mannequins et artistes. Pour ce défilé, les mannequins défilent sur « Love me x rain » de Dina Ayada.

Etam Live Show

24 sept. 2024 à 22:00

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Airbourne de retour à Paris en 2026

Ne manquez pas The Stranglers lors de la prochaine édition du festival Ouest Park le 19 octobre, qui viendront fêter leurs 50 ans de carrière.

The Stranglers font partie des têtes d’affiche du festival havrais Ouest Park, le samedi 19 octobre. Les places sont disponibles.

Retour sur 50 ans de tubes des vétérans de la new wave avec la playlist concoctée par le bassiste et chanteur Jean-Jacques Burnel lors d’un entretien accordé à la rédaction.

Peaches (Ratus Norvegicus, 1977)

On avait une sono de 500 watts et on était signés sur un label de reggae, Sapphire Records, qui n’a jamais rien fait pour nous à l’époque, en 1976. Sauf un jour où son boss nous demande de ve- nir renforcer de notre sono celle d’une soirée à l’ouest de Londres en échange de 50 livres, ce qui était beaucoup à l’époque. Et là, avec Hugh [Corn­ well], on se rend compte que nous sommes les seuls Blancs ! Les gars vont nous ignorer toute la soirée, faisant passer leurs spliffs sous notre nez mais en nous évitant soigneusement. Mais c’est ce soir-là que j’ai découvert le son de basse si particulier du reggae-dub et des sound systems, en même temps que l’écho sur la caisse claire et les guitares. Une révélation ! Le lendemain, dans notre squat, je trouvais les trois notes du motif de “Peaches”…

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Shah Shah A Gogo (The Raven, 1979)

Disco pour les Iraniens, pour la révolution iranienne ! Le shah est détrôné, l’ayatollah Khomeini quitte la France pour prendre sa place. Presque une chanson sur un fait divers, un fait d’actualité… Grâce au troisième album, on a commencé à voyager à l’étranger, ce qui nous enchantait. Notre vision du monde s’est élargie d’un seul coup. D’ailleurs, le “Raven” qui donne son nom à l’album est un symbole du voyage en reportage. Dans la mythologie viking, les deux grands corbeaux sur les épaules de Rodin lui rapportaient tout ce qu’ils avaient vu de leurs voyages dans le monde. Tout l’album traduit en fait notre exposition à de nouvelles expériences…

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Golden Brown (La Folie, 1981)

Un jour, avec Hugh, on a dit à Jet [Black, le batteur historique du groupe] et Dave : “Il y en a marre de devoir tout écrire à nous deux, on va au pub. On revient dans deux heures et vous trouvez quelque chose sur lequel on peut travailler…” Quand on est revenu, l’esprit un peu embrumé, il y avait du prog-rock dans la pièce, avec quelque chose comme dix partitions différentes et deux ou trois trucs à extraire qui allaient devenir “Golden Brown”. Pas besoin de revenir sur la signification de ce “golden brown”. Tout le monde sait que c’était notre carburant à l’époque. Je suis juste heureux de pouvoir dire que ça n’aura été que temporaire.

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Always The Sun (Dreamtime, 1986)

On est allés en Australie. C’était la deuxième ou troisième fois, je ne sais plus. Déjà, à l’époque, les Australiens étaient davantage concernés par l’écologie et commençaient à puiser dans la culture aborigène. Le “dreamtime” correspond d’ailleurs, chez les Aborigènes, à une période très ancienne où les rochers comme Ayers Rock étaient des animaux. Bref, on commençait nous aussi à s’imprégner de tout ça, à nous intéresser aussi à l’énergie solaire. “Always the Sun” en est la conséquence directe.

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96 Tears (10, 1990)

Une reprise [de Question Mark & the Mysterians] qui aurait été encore mieux si on l’avait mixée différemment… On avait cumulé quelque chose comme 50 couches de guitares dessus et je trouvais ça incroyable ! Super-puissant. Mais elle a été un peu “assagie” par la suite. Sou – vent, les choses que tu as entendues quand tu étais gosse sont celles qui restent le plus durablement. C’est l’époque où on commençait à ne plus écrire de très bons singles, on devenait peut-être trop compliqués musicalement. On a donc puisé dans nos souvenirs de fans et “96 Tears” était de ceux-là, qui nous parlaient à chacun. Je pense que tous les musiciens aiment faire ça de temps en temps.

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Retrouvez la sélection complète sur The Stranglers dans notre numéro 135, disponible via notre boutique en ligne.

Xavier Bonnet

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Emily in Paris : l’acteur préféré des fans a eu le rôle grâce… à cet ancien chroniqueur de TPMP et sa femme

Parmi les personnages emblématiques d’Emily in Paris, il y a évidemment Gabriel, incarné à l’écran par Lucas Bravo. Mais savez-vous que cet acteur français doit sa place dans la série à l’une des familles bien connues du petit écran ?

C’est l’une des séries les plus appréciées des jeunes abonnés Netflix, on veut bien sûr parler du phénomène Emily in Paris. Réalisée par Darren Star (Sex and the City, 90210…) et portée à l’écran par Lily Collins, cette fiction suit le destin flamboyant d’une jeune américaine qui part s’installer en France pour le travail.

Au casting, on retrouve Ashley Park, Camille Razat, Lucien Laviscount, Paul Forman, mais également Lucas Bravo, un acteur français, qui incarne le « love interest » d’Emily. Cette opportunité de jouer dans l’une des séries les plus populaires du moment, Lucas Bravo la doit à une famille bien connue du grand public.

>> Les fans d’Emily in Paris sont prêts à partir en guerre pour voir ce personnage dans la saison 5 <<

La famille Castaldi a casté Lucas Bravo

Non, vous ne rêvez pas, cette bel et bien la famille Castaldi qui a permis à ce jeune acteur français de rejoindre le casting d’Emily in Paris. Dans son émission Casta réveille la France sur Europe 2, Benjamin Castaldi a déclaré : « Je vais vous donner un scoop interplanétaire. Lucas Bravo a été trouvé par une certaine Aurore Aleman, plus connue sous le nom d’Aurore Castaldi« .

Chargée du recrutement des acteurs, la femme de Benjamin Castaldi a donc trouvé cette perle rare pour le rôle de Gabriel. Au micro de son émission, le présentateur radio a ajouté avec une certaine…

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Après avoir connu un immense succès grâce à cette série culte sur Netflix, cet acteur a tout plaqué : « C’est devenu comme un travail »
Il est aujourd’hui le roi de la science-fiction et des séries mais sa carrière a été sauvée grâce à un petit rôle qui a tout changé

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Bebe Vio, Eva Longoria, Kendall Jenner…le défilé L’Oréal Paris devant l’Opéra Garnier

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Bebe Vio, Eva Longoria, Kendall Jenner…le défilé L’Oréal Paris devant l’Opéra Garnier

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Le tournage du film « Love Me Tender » a débuté en Lot-et-Garonne

Une fois de plus, le Lot-et-Garonne est le théâtre d’un tournage de film. Il s’agit du deuxième long-métrage « Love Me Tender » de la réalisatrice néracaise Anna Cazenave-Cambet. Après un début de prises de vues à Paris, l’équipe a posé ses valises dans le Lot-et-Garonne le 23 septembre. Pendant trois semaines, des scènes seront tournées à Nérac, Agen et Casteljaloux. Sur 37 jours de tournage, 12 se dérouleront dans le département.

Le film, adapté du roman autobiographique de Constance Debré paru en 2020, évoque la dégradation d’une relation entre une mère et son fils. Au casting : Vicky Krieps (Phantom Thread) incarne le rôle principal et Antoine Reinartz (Anatomie d’une chute, 120 battements par minute) joue le rôle du mari. Produit par Novoprod Cinéma, le long-métrage a bénéficié du soutien du Département de Lot-et-Garonne et de la Région Nouvelle-Aquitaine.

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Bella Hadid exhibe à Paris ses jambes interminables dans une mini-jupe de motarde et des cuissardes noires

Ce lundi 23 septembre 2024, Paris va devenir à nouveau le centre du monde de la mode. En effet, la capitale française ouvre la Fashion Week à toutes les grandes maisons de la mode et leurs collections printemps-été 2025. Et dès le petit matin, les grandes célébrités étaient présentes. Il faut dire que cet événement est très attendu par les stars. Au total, 106 maisons sont inscrites, 66 défilés vont avoir lieu et 40 présentations vont être organisées jusqu’au 1er octobre. Bien évidemment, les plus grands noms de la mode seront présents comme Christian Dior, Louis Vuitton ou Yōji Yamamoto. Mais aussi de jeunes créateurs, pleins de surprises et surtout déterminés à se faire remarquer. Parmi eux ? « AlainPaul, Niccolo Pasqualettin, Abra, Julie Kegels, Magda Butrym, Vaillant et Vautrait », listent nos confrères de France Info.

Bella Hadid sexy dans les rues de Paris

Et en ce premier jour, The Place to Be se trouvait place de l’Opéra, pour le Défilé l’Oréal Paris. Présent depuis sept ans, la marque met en avant de nombreuses stars de la mode mais aussi du cinéma. Les personnalités se sont ainsi précipitées à cet événement. À commencer par la mannequin Bella Hadid. En effet, la petite sœur de Gigi Hadid est arrivée dans les rues parisiennes avec une tenue qui n’a laissé personne de marbre. Son ensemble veste jupe de motarde de couleur beige, mettait en avant sa silhouette longiligne. La top model a également choisi de porter des lunettes (…)

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« Je suis biochimiste et voici la tisane à consommer tous les jours après le repas pour effacer les rides »
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“Je veux connaître vos désirs” : Gillian Anderson a publié un livre sur les fantasmes des femmes et fait monter la température

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