Entre Cannes et l’Oréal : une love-business affair

Derrière le glamour des marques partenaires du Festival de Cannes se cache un business bien rodé qui peut rapporter gros en termes d’image et de ventes comme pour L’Oréal Paris, partenaire depuis 28 ans. L’Oréal Paris s’affiche partout sur la Croisette, à commencer au Martinez où la marque occupe un étage entier. Y sont installées des salles où une trentaine de maquilleurs et une quinzaine de coiffeurs auront en 15 jours réalisé 2 000 « mises en beauté » dont celles des ambassadrices de la marque telles Viola Davis, Jane Fonda ou encore Elle Fanning. Pour le joaillier Chopard, également partenaire du festival, « c’est le luxe, la palme d’or » mais « pour L’Oréal Paris qui est une marque de grand public, s’associer à Cannes, c’est lui donner cette image de luxe, alors qu’elle n’est pas une marque de luxe », explique à l’AFP Julie El Gouzzi, auteure de « Manuel du luxe ». Le Festival de Cannes, « est très riche en termes d’image », abonde Laurence Lim, dirigeante de l’agence Cherry Blossoms Intercultural Branding, « c’est le glamour associé à la culture que n’ont pas du tout le Met Gala, les Oscars, etc. ». « Une féministe peut aussi être belle ! », déclare Jane Fonda à l’AFP. « Je me sens très à l’aise à Cannes avec L’Oréal Paris. C’est une marque que je respecte vraiment. L’année prochaine cela fera 20 ans que je suis avec eux », a-t-elle dit. Mais surtout, le Festival de Cannes, « pour toutes les marques qui sont présentes, c’est un moment pour créer du contenu pour les réseaux sociaux », selon Julie El Ghouzzi. « Ces 15 dernières années ce qui a changé, c’est la digitalisation de notre métier », confirme à l’AFP Delphine Viguier-Hovasse, la patronne de L’Oréal Paris.

  

5 milliards de vues

  

« Cannes, c’est 5 milliards d’occasions de voir L’Oréal Paris sur les réseaux sociaux », dit-elle. Si une dizaine de personnes gèrent les réseaux sociaux pendant le festival, le travail a aussi été fait en amont.  « Au moment où Alia Bhatt (actrice indienne égérie de L’Oréal, NDLR) a posé le pied sur le tapis rouge, le look, le rouge à lèvres, le fond de teint, la laque » utilisés pour la maquiller, « étaient mis en ligne sur le site indien de vente Nykaa », explique la patronne de la marque. Une stratégie payante puisque « sur la journée d’Alia Bhatt, on a une progression de 80% des ventes de maquillage en Inde sur Nykaa », selon elle. L’actrice a plus de 86 millions d’abonnés sur Instagram. En termes de Media Impact Value (MIV), un indicateur de Launchmetrics, qui attribue une valeur monétaire réelle aux stratégies marketing, le joaillier Chopard arrivait en tête lors du festival de Cannes en 2024 avec 32,3 millions de dollars de MIV, suivi de L’Oréal Paris (28,7 millions de dollars) et de Dior (26,8 milions de dollars). « Le risque », pour les marques, dont L’Oréal Paris, « c’est l’importance de la croissance de la fierté nationale » notamment dans des pays comme la Chine et l’Inde, selon Laurence Kim, or « les célébrités sous les feux de la rampe au Festival de Cannes sont surtout américaines ». 

 « Ce qui est important ce n’est pas ce qui se passe à Cannes, c’est la résonance de l’événement », selon Alexis Perakis-Valat, directeur général de la division produits grand public. Le groupe L’Oréal, « a fait 50% de croissance l’année dernière sur les pays émergents (Amérique Latine, Moyen-Orient, Inde…) », rappelle-t-il. En 2024, L’Oréal Paris a réalisé un chiffre d’affaires de plus de 7 milliards d’euros, en hausse de 9,2%. Le groupe L’Oréal a réalisé plus de 43 milliards d’euros de ventes.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Jamrock, une cuisine jamaicaine bien épicée qui envoie du love dans le 11e


Photo Harry Boeki

Par Estérelle Payany

Publié le 24 mai 2025 à 12h00

Au croisement de la rue de la Forge-Royale et de la rue de Candie, une agréable placette dévoile la terrasse accueillante de ce resto tourné vers la cuisine des Caraïbes, et plus particulièrement de la Jamaïque. L’enseigne fait référence à l’un des nombreux surnoms de l’île, à la fois douce (jam, « confiture » en anglais) et dure (comme le « rocher », l’île étant constituée de plateaux calcaires). Trêve de géologie, place à l’assiette ! Épices and love au menu. Les beignets de poisson sont un peu secs malgré la sauce ananas, et les bananes plantains frites, correctes — mais pas pressées, c’est-à-dire écrasées en étoile, alors que la carte l’annonçait. Les plats, copieux, ont plus de répondant. Le jerk de poulet, mariné longuement dans les épices (ail, cannelle, piments, girofle, sucre roux, poivre de Jamaïque…), réunit fondant de la chair et peau croustillante au parfum de barbecue légèrement fumé, assorti d’une solide portion de rice and peas (mélange de riz et de haricots rouges d’origine créole). Côté végétal, le curry de légumes au lait de coco est conforme à l’esprit Ital, alimentation végane adoptée par les rastafaris dès 1930. Et l’abondante carte de cocktails mettra tout le monde d’accord !

Lun.-dim. 12h-15h et 19h-23h. Menus déj. 19-23 €, soir carte 30 € env., cocktails 8-12 €. 01 70 23 39 05. Options végétarienne. Terrasse. Accès PMR.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Des nouvelles de Just Love You

Plus revue depuis sa deuxième place dans le dernier Prix d’Amérique Legend Race 2025, la championne de l’écurie Abrivard, Just Love You, est toujours en convalescence. Alexandre Abrivard, qui tente la passe de huit ce vendredi avec Inexess Bleu dans le Prix Jean Riaud, nous a donné de ses nouvelles : “Elle a été opérée d’un bout d’os dans un genou et a repris le footing depuis un mois et demi. Elle va reprendre le travail sérieux en juin, dans l’optique d’un retour en piste cet été. Sa rentrée pourrait avoir lieu dans le Prix Jean-Luc Lagardère, à Enghien. L’idéal serait qu’elle ait deux ou trois parcours de préparation dans les jambes avant d’aller sur le Grand Prix du Sud-Ouest, qu’elle avait disputé l’an passé fin octobre, puis sur le meeting d’hiver.”

À lire également :

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

BENJAMIN, Lessons in Love and Violence – Paris (Philharmonie)

Lorsque George Benjamin entre sur la scène de la Philharmonie de Paris pour se diriger vers son pupitre, on se prend à penser que cet homme-là possède un je-ne-sais quoi d’irrésistiblement tendre et de sympathique. Comment imaginer alors que sous une apparence aussi amène, une âme soit capable d’enfanter une musique d’une telle noirceur ? Quelques années après sa création au Royal Opera House en mai 2018 à laquelle nous avions assisté, Lessons in Love and Violence nous étouffe encore. Lentement, progressivement, sûrement.

Paris, le 12 octobre 2023. GEORGE BENJAMIN / LESSONS IN LOVE AND VIOLENCE
Orchestre de Paris ©Denis ALLARD / Philharmonie de Paris

Elles nous étouffent d’abord par leur dramaturgie. Inspirée du très shakespearien Édouard II de Christopher Marlowe, l’histoire raconte le crépuscule d’un roi sans nom qui a décidé de tout sacrifier par amour, à la recherche du divertissement, quand il faudrait s’attacher à ses obligations politiques. Malgré le complot ourdi contre lui par son épouse Isabel et son conseiller militaire Gaveston devenus amants, la force et la finesse du livret de Martin Crimp est de nous montrer que cette fin de règne est avant tout une entreprise autodestructrice de la part de ce roi, dont le désir sans doute inconscient est d’entraîner le monde dans sa chute. La dimension a posteriori psychanalytique du livret – dont le titre est annonciateur – réside dans un érotisme classiquement associé à la pulsion de mort : « How would you kill me? » demande le Roi à son amant dans un long baiser ardent… Bienvenue chez les fous. Et cette folie se manifeste d’ailleurs dès les premières lignes du livret par une violence disproportionnée, en particulier dans ce « Don’t bore me with the price of bread! » asséné dans une longue note tenue, glaçante, ou encore lorsque le Roi répète tel une machine détraquée : « King! I am king! I am I am king! ». Cette obsession de la répétition trahit la tentative de combler un vide, de donner corps à une réalité qui n’existe pas dans un but d’appropriation. Les prémices de la fin sont donc là, dès le départ, et l’on comprend que ce n’est plus qu’une question de temps. Peu à peu, l’étau se resserre autour de ce Roi qui se retrouve bientôt dans l’impuissance d’agir. C’est peut-être lui l’« homme creux » dont parlait T.S. Eliot.

Paris, le 12 octobre 2023. GEORGE BENJAMIN / LESSONS IN LOVE AND VIOLENCE
Orchestre de Paris ©Denis ALLARD / Philharmonie de Paris

Ces « leçons » nous étouffent aussi par la musique. D’une extrême intensité, celle-ci avance lentement, comme un élastique que l’on étire sans qu’il cède jamais. Les rares envolées lyriques et les notes tenues côtoient un quasi parlando, haché, heurté, parfois même aboyé. On a parfois même l’impression d’entendre le langage dépouillé d’un chant grégorien. Pas de bavardages, juste l’essentiel. Pourtant, les contrastes sont rares, et la tonalité, la texture harmonique quasi identiques de bout en bout ne sont pas loin de provoquer en nous une certaine lassitude. Les scènes de chiromancie apparaissent alors comme de purs moments de respiration et de sensualité salutaires où chante l’Orient, avec cet emploi inaccoutumé du zarb, d’origine perse, du tumba et du cymbalum, lui-même de sonorité très proche avec le santour perse.

Paris, le 12 octobre 2023. GEORGE BENJAMIN / LESSONS IN LOVE AND VIOLENCE
Orchestre de Paris ©Denis ALLARD / Philharmonie de Paris

La clarté du chant de James Way et son physique juvénile donnent un crédit certain au personnage du Garçon et futur Jeune Roi, le jeune ténor maîtrisant parfaitement le passage en voix mixte exigé par endroits. Sa mère, Isabel, est remarquablement interprétée par l’élégante Georgia Jarman dont il faut saluer les talents d’actrice, l’agilité vocale et l’aisance déconcertante dans les aigus et les suraigus sans sacrifier à la projection. Mortimer, son amant, conseiller du Roi, est honorablement interprété par un Toby Spence au timbre de voix métallique, qui revêt l’autorité et la duplicité que l’on attend du rôle. Son rival, Gaveston, trouve en Gyula Orendt beaucoup de caractère, d’expressivité et de charisme. Créateur du rôle, le baryton a gagné en subtilité dans un jeu où la manipulation affleure avec beaucoup de vraisemblance. Quant à Stéphane Degout, il campe un Roi toujours aussi impressionnant, qui laisse entrevoir sous son apparente assurance la faille profonde qui causera son renoncement et sa mort enfin. Les trois seconds rôles, qui n’en demeurent pas moins exigeants vocalement, demeurent très convaincants : saluons l’engagement d’Andri Björn Róbertsson dans le rôle difficile du Fou, la richesse du timbre d’ Emilie Renard ainsi que l’agilité vocale d’une voix bien placée chez Hannah Sawle.

Paris, le 12 octobre 2023. GEORGE BENJAMIN / LESSONS IN LOVE AND VIOLENCE
Orchestre de Paris ©Denis ALLARD / Philharmonie de Paris

L’Orchestre de Paris interprète magistralement la partition de George Benjamin qui continue de diriger son propre opéra, maintenant l’auditoire dans cet état de suffocante tension dans le déploiement des sons et les étincelles dramatiques. On pourrait cependant regretter qu’un(e) autre chef(fe) ne dirige cette œuvre pour nous donner à l’entendre sous un jour nouveau. Quant à la mise en espace de Dan Ayling, elle a plus que largement emprunté au travail de Katie Mitchell et de Joseph Alford sur la création en 2018, en particulier la direction d’acteurs, ce qui rend difficile un quelconque jugement sur la singularité ou l’inventivité du travail de ce jeune metteur en scène. Les accessoires demeurent par ailleurs assez frustes, et il est dommage qu’aucun soin n’ait été apporté sur le choix des costumes des chanteurs qui apparaissent dépareillés, ce qui peut surprendre pour un opéra mis en espace. Mais ces quelques fausses notes ne nous feront pas perdre de vue l’essentiel, à savoir la nécessité d’une œuvre telle que Lessons in Love and Violence, dont la force universelle continue d’éclairer notre monde, sa beauté, ses ténèbres.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Cannes 2025 : “Die, My Love” avec Jennifer Lawrence, une folie post-partum vraiment pas dingue


COMPÉTITION — Un couple s’aime d’amour fou. Que se passe-t-il quand l’un des deux, en plein post-partum, pète les plombs ? Finalement pas grand-chose, tant le scénario du film de Lynne Ramsay plonge dans le déjà-vu. Et pourtant, Jennifer Lawrence fait tout ce qu’elle peut.

Jennifer Lawrence dans « Die, My Love », de Lynne Ramsay. Jennifer Lawrence dans « Die, My Love », de Lynne Ramsay.

Jennifer Lawrence dans « Die, My Love », de Lynne Ramsay. Black Label Media/Excellent Cada

Par Jacques Morice

Publié le 18 mai 2025 à 11h37

Mis à jour le 18 mai 2025 à 14h27

Crève, mon amour, c’est le titre en français (traduit de l’espagnol), du roman de l’autrice argentine Ariana Harwicz, vendu comme un monologue « plein de rage et de rire noir ». On concède ne pas l’avoir lu. Mais on imagine un truc brûlant, en tout cas bien plus halluciné et sauvage que cette adaptation très « light ». Il s’agit d’un amour fou entre Jackson (Robert Pattinson), jeune homme travailleur, séduisant et bon, et Grace, une écrivaine (Jennifer Lawrence). Le couple de tourtereaux emménage dans une vieille maison de l’Amérique rurale conservée dans son jus, où habitait auparavant un oncle de Jackson. Les deux s’aiment à la folie, baisent comme des lapins un peu partout dans la maison et la nature environnante, chantent à l’unisson des morceaux de country folk et de rock. Grace tombe vite enceinte, le bébé arrive et, avec lui, le blues. La jeune mère n’arrive plus à écrire une ligne, se morfond, ne pense qu’au sexe, et commence à donner quelques signes sérieux de dinguerie.

Grace serait-elle une nymphomane insoumise, une amazone prophétique, une sorcière (thème cannois récurrent cette année) ? On aurait préféré. Las, sa folie est ici plus banale et confuse — entre frustration et dépression post-partum — et reste au ras des pâquerettes. Die, My Love se contente juste de montrer un couple qui se déchire parce que l’un des deux pète les plombs. Soit un sujet déjà traité mille fois, auquel la réalisatrice n’apporte rien de nouveau. Le film s’enferre dans le déjà-vu et le convenu — Grace fantasme à mort sur un motard qui passe souvent devant la maison, en filant à toute allure. Un grand Noir mystérieux. Non ? Si, si.

Tout cela flaire à des kilomètres le calcul : offrir à Jennifer Lawrence un écrin idéal pour une performance digne d’être récompensée. La pauvre grimace, se masturbe plus d’une fois, fout un coup de boule dans un miroir, traverse une porte vitrée, se désape en plein anniversaire d’enfants. L’actrice fait ce qu’elle peut, mais le scénario est si pauvre que le rôle n’est guère payant pour elle. On retient une jolie séquence : Pattinson et elle dans les herbes hautes, qui s’approchent l’un de l’autre à quatre pattes, se reniflent, se frôlent. Le hic : pas besoin d’aller voir le film, on voit déjà la scène dans la bande-annonce. Le bilan est donc maigre. Il n’y a plus qu’à tirer les rideaux, c’est d’ailleurs l’avant-dernier plan du film. Circulez, y a plus rien à voir. Comme aveu d’échec, difficile d’être plus parlant.

pDie, My Love, de Lynne Ramsay (USA, 1h58). Scénario : L. Ramsay, d’après Ariana Harwicz. Avec Jennifer Lawrence, Robert Pattinson, Lakeith Stanfield, Nick Nolte, Sissy Spacek. Compétition. En attente d’une date de sortie.

Festival de Cannes

Critiques des films en compétition, rencontres avec les cinéastes et comédiens, petites et grandes infos de la Croisette… Télérama vous fait vivre la 78e édition du festival, du 13 au 24 mai.

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Critique de Cannes : « Die, My Love », post-partum, animal triste

Yannick Vely 18/05/2025 à 01:50, Mis à jour le 20/05/2025 à 07:05

Le synopsis

Publicité

Amour
Folie
Folie
Amour

La suite après cette publicité

La critique de Paris Match (1/5)

Dès la séquence d’ouverture, entre de guitares saturées, rats qui grignotent le parquet et vision d’une forêt en flammes, le ton est donné. Adaptation du roman « Crève, mon amour » de l’autrice argentine Ariana Harwicz.« Die, My Love » ne fera pas dans la dentelle. Bien au contraire, il l’appuiera là où ça fait mal, les poings contre les murs, la tête dans les miroirs. La réalisatrice écossaise Lynne Ramsay ne ménage pas ses effets pour nous faire éprouver la dépression post-partum de son héroïne, interprétée par la sublime Jennifer Lawrence.

La suite après cette publicité

Cette odyssée dans la psyché d’une femme au bord (enfin même plus qu’au bord) de la crise de nerf, seule avec son bébé dans la grande maison familiale perdue au fond des bois, manque cruellement de nuances alors que certaines pistes de la première partie sont totalement escamotées – à quoi sert le fantasme du motard si c’est pour le retrouver ensuite sur le parking d’un supermarché ? Quid de l’histoire de l’oncle Frank ? Bref, une vraie déception même si Jennifer Lawrence, de tous les plans ou presque, pourrait bien rafler son premier prix d’interprétation cannois. 

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Le Grand Steeple-Chase de Paris, Quinté+ du dimanche 18 mai, vu par les statistiques


401 – In Love 

Présenté par Hugo Merienne, In Love a pris deux places dans les Groupes 1. ll avait notamment pris la troisième place du Prix La Haye Jousselin en novembre 2024.

Ses statistiques dans les Groupes 1 : 4 courses – 2 places – 100% dans les 5

403 – Jazz Manouche

Associés depuis le début d’année, Jazz Manouche et Gabin Meunier ont pris deux places sur la distance de 4.400m. Ils tenteront de tirer leur épingle du jeu, ce dimanche sur la butte Mortemart.

Ses statistiques avec Gabin Meunier : 2 courses – 2 places              

406 – Gran Diose

Gran Diose et Thomas Beaurain, le 26 avril à Auteuil.

Le champion de Louisa Carberry est le tenant du titre de cette épreuve convoitée. Thomas Beaurain et Gran Diose ont remporté le Prix La Haye Jousselin en novembre 2024 et le Grand Steeple-Chase Masters – Prix Ingré en avril.

Ses statistiques avec Thomas Beaurain : 3 courses – 2 victoires – 1 place

409 – Incollable

Le pensionnaire de Hugo Mérienne s’entend bien avec Félix de Giles. Le 6 mai 2023, ce tandem a remporté le Prix de Penthièvre, steeple-chase disputé sur la distance de 3.500m. Le duo a fait preuve de régularité, en terminant toujours dans les cinq premiers.

Ses statistiques avec Félix de Giles : 5 courses – 1 victoire – 3 places – 100% dans les 5

410 – Goliath du Rheu

En steeple, le premier représentant de l’écurie de François Nicolle a toujours terminé dans les deux premiers. Sa dernière sortie s’est soldée par une victoire dans le Grand Steeple-Chase Masters – Prix Murat. 

Ses statistiques en steeple : 6 courses – 2 victoires – 4 places

412 – Diamond Carl

Le second atout de François Nicolle est redoutable en steeple. Lors de sa dernière sortie, il s’est classé troisième du Grand Steeple-Chase Masters – Prix Ingré derrière Gran Diose et Toscana du Berlais.

Ses statistiques en steeple : 11 courses – 7 victoires – 3 places

413 – Sel Jem

Sel Jem lauréat du Grand Steeple-Chase de Paris en 2022.

Guillaume Macaire détient le record de victoires dans l’épreuve (7 succès) : Arénice (1996), Bel la Vie (2013), Storm of Saintly (2014), So French (2016, 2017), On The Go (2018) et Sel Jem (en 2022 avec Hector de Lageneste).

Guillaume Macaire dans le Grand Steeple-Chase de Paris : 7 victoires (record de l’épreuve)

414 – Kolokico

L’atout d’Emmanuel Clayeux a brillé à trois reprises sur le steeple d’Auteuil. Ce concurrent avait triomphé dans le Prix Ferdinand Dufaure en 2024. Il avait également décroché une victoire sur les « gros obstacles » de Pau.

Ses statistiques en steeple : 8 courses – 4 victoires – 2 places – 88% dans les 5

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Beignet «Love Paris» et café à l’azote : Dunkin’ pose ses donuts dans la capitale

«J’ai la commande de Léa, crie le serveur derrière le comptoir. Une limonade et un donut au Nutella  Il est 8 heures, le rideau s’ouvre à peine, et déjà, les premiers clients s’agglutinent chez Dunkin’ Donuts. Depuis l’ouverture officielle mercredi 14 mai au 19, boulevard Montmartre dans le IIe arrondissement de Paris, la nouvelle enseigne attire curieux et fidèles de la marque venus retrouver le goût sucré de ces emblématiques donuts. «Je suis beaucoup sur le TikTok américain et comme je les voyais sur les vidéos, je me suis dit que ça pouvait être intéressant de tester», explique Léa, commerciale de 23 ans.

Derrière la vitrine, l’appel des donuts aux couleurs criardes retentit : spéculoos, Nutella, cookie, pistache, confiture… Devant la borne, on hésite, on tergiverse. Finalement, on les prend tous, les 18 sortes, de quoi donner une overdose de sucre à tous les collègues. «J’attendais que ça ouvre avec impatience !» se réjouit Marie, trentenaire, un sac rempli de donuts en main à la sortie du magasin. «J’ai connu la marque

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Beignet «Love in Paris» et café à l’azote : Dunkin’ pose ses donuts dans la capitale

«J’ai la commande de Léa, crie le serveur derrière le comptoir. Une limonade et un donut au Nutella  Il est 8 heures, le rideau s’ouvre à peine, et déjà, les premiers clients s’agglutinent chez Dunkin’ Donuts. Depuis l’ouverture officielle mercredi 14 mai au 19, boulevard Montmartre dans le IIe arrondissement de Paris, la nouvelle enseigne attire curieux et fidèles de la marque venus retrouver le goût sucré de ces emblématiques donuts. «Je suis beaucoup sur le TikTok américain et comme je les voyais sur les vidéos, je me suis dit que ça pouvait être intéressant de tester», explique Léa, commerciale de 23 ans.

Derrière la vitrine, l’appel des donuts aux couleurs criardes retentit : spéculoos, Nutella, cookie, pistache, confiture… Devant la borne, on hésite, on tergiverse. Finalement, on les prend tous, les 18 sortes, de quoi donner une overdose de sucre à tous les collègues. «J’attendais que ça ouvre avec impatience !» se réjouit Marie, trentenaire, un sac rempli de donuts en main à la sortie du magasin. «J’ai connu la marque

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Lucky Love : «Dans “Titanic”, à partir de la scène d’amour je pleure sans m’arrêter»

Acteur, chanteur, danseur, mannequin et artiste de cabaret, notamment sous le nom de la Vénus de mille hommes (il est né avec un seul bras), Lucky Love a fait sensation en chantant à la cérémonie d’ouverture des Jeux paralympiques son titre Masculinity (revu en My Ability). A Cannes, il est cette année l’invité-ambassadeur de la plage Magnum.

La première image ?

La première image marquante de mon enfance est tirée de Roméo + Juliette, le film de Baz Luhrmann avec Leonardo DiCaprio et Claire Danes, lors de la mort de Mercutio (Harold Perrineau), et qu’il dit : «La peste soit de vos deux maisons !»

Le chef-d’œuvre dont tout le monde vous parle et que vous n’avez jamais vu ?

La Piel que habito de Pedro Almodóvar.

Un film secret qui en sait long sur vous ?

Il y en a beaucoup (rires) mais comme ça, à brûle-pourpoint, je dirais Requiem for a Dream de Darren Aronofsky.

La bande originale qui vous trotte dans la tête ?

Le score de Requiem for a Dream.

Un film où il ferait bon vivre ? Ou un film qui fait aimer les gens ?

Si je devais vivre dans un film, ça serait l’Auberge espagnole de Cédric Klapisch. Et un film qui fait aimer les gens, Laurence Anyways de Xavier Dolan.

Votre palme d’or favorite (ou un film qui ne l’a pas eue et c’est un scandale !)

Anatomie d’une chute de Justine Triet – c’était tout simplement magnifique.

Votre vie devient un biopic. Qui dans votre rôle ? E

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.