Où boire un verre avant de prendre le train ? Nos meilleures adresses autour des gares parisiennes

Que l’on s’apprête à fuir Paris avec une heure à tuer ou que l’on y revienne, épuisé par le voyage et la cacophonie d’un carré famille, voici les meilleurs bars à vins où se hisser au comptoir, à moins de 15 minutes à pied de la gare.

Gare de Lyon

Derrière cette petite échoppe de vins et fromages nichée dans une rue aussi calme que le dormeur du val, à quelques pas du parvis de la Gare de Lyon, une ancienne confiserie reprise par Camille Fourmont, fondatrice de la désormais célèbre Buvette, et de Baby Love Burger, deux adresses phares de la rue Saint-Maur, dans le XIème arrondissement. Avec un accent mis avant tout sur les fromages, à partir desquels elle confectionne de délicieux sandwichs copieusement lactés à dévorer une fois installé dans son wagon (chèvre et chutney d’oignons à l’orange, burrata et saucisse de jambon alsacienne aux pistaches, nougat de fromage format Apéricube), le lieu propose également une sélection de vins naturels à boire sur place ou à emporter, histoire de proprement compléter son pique-nique.

Adresse : 3 rue Michel Chasles, Paris XII
Temps de marche : 4 minutes

Olga, entre vins nature et fromages. SDP

Rien de moins que l’annexe de l’excellente table du chef Giovanni Passerini, reconnaissable à son monumental comptoir central en acajou et fine mosaïque, et à sa clientèle aussi survoltée qu’une trattoria romaine un dimanche midi. Si la carte propose quelques domaines classiques français estampillés nature, il serait dommage de ne pas se tourner vers sa sélection de vins italiens et siciliens, pensée pour accompagner une assiette de tripes à la romana, ou encore les désormais fameuses «Pâtes à la volée», lancées dès 19h30, en version végétarienne ou carnassière.

Adresse : 44, rue Traversière, Paris XII
Temps de marche : 7 minutes

Gare du Nord & Gare de l’Est

  • Café les Deux Gares

À mi-chemin entre deux quais et en face de l’hôtel éponyme, qui reste l’une des meilleures options en cas de manquement ou d’annulation, le Café des Deux-Gares est devenu en l’espace de quelques années la cantine favorite d’une foule d’habitués n’ayant pas le moindre traître train à prendre. En salle, sous un superbe plafond fauve pensé par le décorateur Luke Edward Hall, on s’attable à toute heure de la journée pour boire un verre, en bouteille ou à la tireuse, avec à la carte quelques pépites, à l’image des champagnes de Salima et Alain Cordeuil, mais aussi de jolies trouvailles à petits prix venues d’Ardèche, d’Alsace, du Gard ou de la Vallée de la Loire. Le tout à associer aux redoutables assiettes de Jonathan Schweizer, enveloppées d’un service doux comme un édredon.

Adresse : 1 rue des deux-gares, Paris X
Temps de marche : 7 minutes (Gare du Nord) / 4 minutes (Gare de l’Est)

Gare Montparnasse

  • Le Petit Sommelier – Cave & bar à vin

Fraîchement ouvert aux côtés du restaurant Le Petit Sommelier, dont la cave abrite parmi les plus belles références du vignoble français, toutes appellations confondues, le bar à vin et cave du même nom a pour noble ambition de proposer une offre plus accessible, avec des vins démarrant autour de 8 euros (+ 10 euros de droit de bouchon), «allant du classique au nature bien fait, à déguster dans la salle feutrée du haut ou dans une atmosphère plus speakeasy au sous-sol», selon Pierre Villa Palleja, le maître des lieux. Du côté des grands noms, rien de moins que le Clos Rougeard, les domaines Jamet, Ramonet, Grange des PèresSelossePacalet, Gramenon, Ganevat, et de celui des raretés plus confidentielles, les domaines Labet, Romain Hénin, Mark Angeli, Alexandre Bain, Belluard, François Rousset-Martin, les frères Danjou Banessy, Henri Chauvet, etc.

Adresse : 39 rue Daguerre, Paris XIV
Temps de marche : 13 minutes

Le Petit Sommelier, non loin de la gare Montparnasse. SDP

Gare Saint-Lazare

Sans doute l’une des ouvertures les plus enthousiasmantes de l’été 2024, et seule terrasse souvent bondée du IXe qui mérite réellement de jouer des coudes. Derrière un bar en marbre massif, Nicolas Phillips, passé chez Fulgurances, et Stefano De Carli, ancien de Passerini et Mokoloco, un duo portant l’ouverture d’esprit en bandoulière, avec une carte de vins vivants composée comme un bouquet, oscillant entre références attendues, petites raretés, et inconnues glanées à l’étranger. Et pour une fois, des assiettes à partager d’excellente tenue, et non de simples salmigondis assemblés minute…

Adresse : 15 rue Hippolyte Lebas, Paris IX
Temps de marche : 14 minutes

  • Lolo bar à vin

Une adresse qu’on ne présente plus, située à deux pas de l’église Notre-Dame de Lorette, dont la surface au sol n’excède pas celle d’une modeste garçonnière, terrasse comprise, avec aux murs de suggestifs néons rouges, et un alignement de bouteilles patiemment choisies par Loïc Minel, co-fondateur du lieu. Au programme, de belles références jurassiennes, d’incontournables champagnes de vignerons tels que Ruppert-Leroy, de beaux rouges du Sud-Ouest, de tranchants chenins ligériens, et quelques merveilles transalpines. Sans oublier des assiettes qui, au-delà d’être éminemment instagramables, se révèlent presque étoilables…

Adresse : 12 rue de Châteaudun, Paris IX
Temps de marche : 13 minutes

Gare d’Austerlitz

Si l’offre est plus replète du côté de la Gare de Lyon, toutes les fées n’ont pu se pencher sur le même berceau, et aux abords de celle d’Austerlitz, seule cette adresse mérite vraiment que l’on s’y attarde. Derrière une devanture anthracite, une salle au décor de vrai bistrot, un propriétaire ayant fait ses armes au Café de la Nouvelle Mairie, et par conséquent une carte des vins alignant plus de 150 références de vins vivants filant droit : domaines Lapierre, Gramenon, des Tournelles, Dominique Hauvette ou encore Château Sainte-Anne.

Adresse : 12 rue de Mirbel, Paris V
Temps de marche : 15 minutes

Gare de Bercy

Dernière réminiscence d’un quartier de Bercy qui fut autrefois le point de ralliement des négociants de Paris – et à mille lieues des grandes avenues parfumées au Chanel n°5 –, une adresse avantageusement ouverte sur deux terrasses piétonnes, l’une donnant sur la rue, l’autre sur une atmosphère plus luxuriante. À la carte, plus de 300 références de vins à prix caviste, à boire sur place moyennant 10 euros de droit de bouchon, avec notamment de très belles allocations bourguignonnes, mais aussi une sélection de vins nature et en biodynamie.

Adresse : 33 Cour Saint-Emilion, Paris XII
Temps de marche : 13 minutes

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Marc Lavoine chante son amour pour Adriana Karembeu en plein Paris

KameraOne

Un suspect armé tente de fuir la police en sautant dans sa piscine

Un homme armé qui fuyait la police à Cerquilho, dans l’État brésilien de São Paulo, le 4 novembre, pensait avoir un plan d’évasion parfait. Cet homme de 46 ans, qui se cachait sur le toit de sa propre maison après avoir menacé des personnes sur la place de la ville, a tenté d’échapper à son arrestation en sautant dans sa piscine. Malheureusement, son plan n’était pas aussi ingénieux qu’il le pensait.

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Paris Photo 2024 : premières impressions positives

Pour sa 27e édition, la foire Paris Photo a retrouvé ce 6 novembre (et jusqu’au 10) les travées du Grand Palais, et une plus grande clarté. Malgré une ambiance rafraîchie par la réélection de Donald Trump à la présidence des États-Unis et des problèmes de chauffage, les visiteurs semblaient séduits par un grand nombre de belles pièces. Chez Lumière des roses (Montreuil), l’accrochage resserré offre son lot de pépites de la première moitié du XXe siècle, notamment une Baigneuse à Helgoland de Mary Willumsen. Howard Greenberg montre des séries de Mary Ellen Mark, tandis qu’une autre new-yorkaise, Higher Pictures, valorise le travail de Carla Williams avec une série d’autoportraits de 1995. À la galerie C (Paris, Neuchâtel), la série de portraits en noir et blanc de l’artiste ukrainienne Katherine Turczan attire particulièrement les regards. Dans le secteur Emergence, à l’étage, la galerie S (Paris) propose un intéressant solo show de la photographe suisse Ester Vonplon, qui a disposé du papier sensible dans un tunnel désaffecté où la rare lumière y a laissé ses traces. Plusieurs expositions partenaires sont de rang muséal, comme celle consacrée à la photographie lituanienne, avec des prêts de la BnF et du Centre Pompidou, le secteur Voice, confié à trois commissaires (Azu Nwagbogu, Sonia Voss et Elena Navarro) ou la présentation des livres de photographie nommés aux Aperture PhotoBook Awards. Dispersés sur les stands, les choix du cinéaste Jim Jarmusch ne permettent pas réellement de comprendre une sélection cohérente, alors que le focus Elles x Paris Photo, consacré aux femmes photographes, est suffisamment dense pour créer une heureuse mise en lumière. À noter, la présence de nombreux projets de lauréats de prix, comme celui d’Edouard Taufenbach et Bastien Pourtout pour Ruinart, avec une plongée (littérale) dans les crayères de Champagne, ou Frédérique Barraja pour le prix Estée Lauder Companies 2023 (pour la lutte contre le cancer du sein). Cette présence vivante de la photographie s’accompagne d’un programme dense de conversations (de « Reconstituer des histoires queer » aux « Séductions photographiques au XXIe siècle ») et rencontres avec des artistes.

La 27e édition de la foire Paris Photo au Grand Palais jusqu’au 10 novembre.
La 27e édition de la foire Paris Photo au Grand Palais jusqu’au 10 novembre.
© Grégoire Grange.

La Galerie Fraenkel lors de la 27e édition de la foire Paris Photo au Grand Palais jusqu’au 10 novembre.
La Galerie Fraenkel lors de la 27e édition de la foire Paris Photo au Grand Palais jusqu’au 10 novembre.
© Grégoire Grange.

L’exposition conacrée à la photographie lituanienne « The Forms of Things, The Formsof Skulls, Forms of Love » dans le Pavillon d’Honneur de Paris Photo.
L’exposition conacrée à la photographie lituanienne « The Forms of Things, The Formsof Skulls, Forms of Love » dans le Pavillon d’Honneur de Paris Photo.
© Florent Drillon.

L’exposition conacrée à la photographie lituanienne « The Forms of Things, The Formsof Skulls, Forms of Love » dans le Pavillon d’Honneur de Paris Photo.
L’exposition conacrée à la photographie lituanienne « The Forms of Things, The Formsof Skulls, Forms of Love » dans le Pavillon d’Honneur de Paris Photo.
© Florent Drillon.

L’exposition conacrée à la photographie lituanienne « The Forms of Things, The Formsof Skulls, Forms of Love » dans le Pavillon d’Honneur de Paris Photo.
L’exposition conacrée à la photographie lituanienne « The Forms of Things, The Formsof Skulls, Forms of Love » dans le Pavillon d’Honneur de Paris Photo.
© Florent Drillon.

Carla Williams, circa 1985, Higher Pictures, Paris Photo 2024.
Carla Williams, circa 1985, Higher Pictures, Paris Photo 2024.
Photo : Marine Vazzoler.

3. Katherine Turczan, Galerie C, Paris photo 2024.
3. Katherine Turczan, Galerie C, Paris photo 2024.
Photo : Marine Vazzoler.

Mary Ellen Mark, Kissing in a bar, 1977. Galerie Howard Greenberg, Paris Photo 2024.
Mary Ellen Mark, Kissing in a bar, 1977. Galerie Howard Greenberg, Paris Photo 2024.
Photo : Marine Vazzoler.

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Paris Photo illumine de nouveau le Grand Palais, témoin d’une photographie toujours plus vivante


Paris Photo réinvestit cette année le Grand Palais. Photos : G. Vidamment

Paris Photo réinvestit cette année le Grand Palais. Photos : G. Vidamment

Après trois opus organisés au Grand Palais Ephémère, Paris Photo retourne enfin au Grand Palais historique, entièrement rénové, pour sa vingt-septième édition. Cette année, pas moins de 34 pays sont présents, soit 240 exposants ; de quoi confirmer une stature internationale pour ce rendez-vous incontournable de la photographie. Alors que nous fêtons cette année le centenaire du Manifeste du surréalisme, la direction de Paris Photo a choisi le réalisateur et scénariste américain Jim Jarmusch pour mettre en scène un parcours autour de ce mouvement artistique, qui a impacté tant le cinéma que la photographie, la musique, le dessin et la peinture. Précurseur dans le soutien au digital en lui consacrant un secteur entier depuis l’année dernière, la foire fait une nouvelle fois la part belle aux artistes intégrant les réalités numériques dans leur travail. Au total, le Secteur Digital compte pas moins de seize galeries d’art contemporain et de plateformes curatoriales. Par ailleurs, comme le souligne Anna Planas, directrice artistique de Paris Photo, « le retour au Grand Palais est aussi l’occasion de présenter la collection de photographies lituaniennes issues des collections de la Bibliothèque nationale de France, du Centre Pompidou et de l’Union des Photographes de Lituanie. Cette scène, peu connue du grand public, sera à découvrir dans le salon d’honneur. »

Pour cette nouvelle édition, Paris Photo annonce un programme rassemblant 38% de femmes artistes cette année, contre 20% seulement en 2018. Si ce quasi doublement doit être souligné et encouragé, on peut s’étonner que la parité ne soit pas (encore) atteinte, voire dépassée. À noter que le parcours Elles x Paris Photo est cette année curaté par Raphaëlle Stopin, directrice du Centre photographique Rouen Normandie. Autre réjouissance de taille : si le livre photo a toujours eu une place de choix, avec le prix Aperture et le secteur dédié aux éditeurs, 2024 marque surtout le soutien au livre photo jeunesse avec un espace pédagogique interactif baptisé L is for Look. Coproduit par l’Institut pour la photographie et Photo Élysée, ce projet d’exposition présente l’histoire du livre photo jeunesse, de son essor à partir des années 30 jusqu’à aujourd’hui. Une excellente initiative de la part d’une foire internationale.
Se tenant du 7 au 10 novembre, Paris Photo propose enfin une programmation particulièrement dense avec pas moins de quatre cents signatures d’ouvrages, de nombreuses conversations et un prix du livre.

PARIS PHOTO
Grand Palais • Avenue Winston Churchill, 75008, Paris
7 au 10 novembre 2024

10h30 à 20h (sauf dimanche, 19h)
www.parisphoto.com


August Sander • People of the 20th Century // Galerie Julian Sander

August Sander • People of the 20th Century // Galerie Julian Sander


Nicolas Daubanes • Cîmes // Galerie Maubert

Nicolas Daubanes • Cîmes // Galerie Maubert


J. D. 'Okhai Ojeikere • Hairstyles // Magnin-A

J. D. ‘Okhai Ojeikere • Hairstyles // Magnin-A


J. D. 'Okhai Ojeikere • Hairstyles // Magnin-A

J. D. ‘Okhai Ojeikere • Hairstyles // Magnin-A


J. D. 'Okhai Ojeikere • Hairstyles // Magnin-A

J. D. ‘Okhai Ojeikere • Hairstyles // Magnin-A


Thomas Jorion • Monolithe // Galerie Esther Woerdehoff

Thomas Jorion • Monolithe // Galerie Esther Woerdehoff


Jiang Zhi • Love letters // Paris-B

Jiang Zhi • Love letters // Paris-B


Franco Guerzoni • Sovrapposizioni culturali // Galerie Studio G7

Franco Guerzoni • Sovrapposizioni culturali // Galerie Studio G7


Martin Bogren • A Summer of a Thousand Years // Galerie VU'

Martin Bogren • A Summer of a Thousand Years // Galerie VU’


Israel Ariño • Res no passa dues véganes // Galerie VU'

Israel Ariño • Res no passa dues véganes // Galerie VU’


Jonny Briggs // Ncontemporary

Jonny Briggs // Ncontemporary


Christa David // 193 Gallery

Christa David // 193 Gallery


Paris Photo illumine de nouveau le Grand Palais, témoin d'une photographie toujours plus vivante


FLORE // Galerie Clémentine de la Féronnière

FLORE // Galerie Clémentine de la Féronnière


Une affaire de regards // Collection de la Fnac

Une affaire de regards // Collection de la Fnac


Une affaire de regards // Collection de la Fnac

Une affaire de regards // Collection de la Fnac


Heritage in Focus // World Monuments Fund

Heritage in Focus // World Monuments Fund


Real life is not in black and white // Polaroid x Magnum

Real life is not in black and white // Polaroid x Magnum


Takeshi Shikama // Boogie Woogie Photography HK - Lunn Paris/Brooklyn

Takeshi Shikama // Boogie Woogie Photography HK – Lunn Paris/Brooklyn


Paris Photo illumine de nouveau le Grand Palais, témoin d'une photographie toujours plus vivante

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Bambou : « Pour tous, j’étais la junkie, la “jaune” qui était avec Serge pour le pognon

Ponctuelle, Bambou entre d’un pas assuré dans une brasserie où elle semble avoir ses habitudes, située à quelques mètres de la maison que Serge Gainsbourg a achetée pour leur fils Lulu et qu’elle occupe encore. À l’aune de son livre « Pas à pas dans la nuit », où elle raconte l’enfer qu’elle a vécu dans sa jeunesse et ses treize ans passés avec la star, elle parle sans tabous, mais reste sibylline dès qu’on aborde le présent en général, et son fils en particulier, comme si d’autres blessures s’étaient ajoutées à celles cicatrisées. Son sourire est bienveillant, mais on décèle dans son regard une mélancolie qui ne la rend que plus bouleversante.

Paris Match. Votre autobiographie se termine à la mort de Serge Gainsbourg. Est-ce à dire que votre vie s’arrête en 1991 ?
Bambou.
Non, mais après 1991 il y a beaucoup moins de choses à raconter. Par exemple, j’essaie d’avoir d’autres relations ­sentimentales, mais ça ne marche pas. Impossible, après Serge. Professionnellement, je suis toujours dans l’agence de mannequins IMG et mon quotidien fut longtemps accaparé par mon rôle de mère, à emmener Lulu au conservatoire, assister à ses cours de solfège, lui faire travailler le piano, ses devoirs, faire la cuisine… Aujourd’hui, je fais du yoga, je lis beaucoup et je ne sais pas de quoi sera fait demain.

 Quand on est maltraitée et affamée, on devient un animal 

Bambou

Parlons donc de votre passé, et de votre jeunesse, qui n’est ni plus ni moins celle de Cosette des “Misérables”, un de vos livres de ­chevet. Vous surnommez d’ailleurs la famille d’accueil dans laquelle ­l’Assistance publique vous a placée “les Thénardier” : ils vous avaient réduite en esclavage et vous maltraitaient. Entre autres exemples, ils vous forçaient à manger du poisson, alors que vous le détestiez, et, quand vous le vomissiez, ils vous obligeaient à manger votre vomi !
Et plusieurs fois, puisque je revomissais ! Je volais la bouffe du chien tellement j’avais faim. J’ai même mordu la main d’une de leurs filles alors qu’elle portait une tartine de confiture à sa bouche. Quand on est maltraitée et affamée, on devient un animal.

Gainsbourg lui a donné son surnom en la voyant fumer de l’opium avec des pipes en bambou. Sur la Côte d’Azur, 1990.

Gainsbourg lui a donné son surnom en la voyant fumer de l’opium avec des pipes en bambou. Sur la Côte d’Azur, 1990. © DR

Lorsque vous avez 13 ans, votre mère, qui a laissé ses enfants à la Ddass, vous reprend avec vos sœurs afin d’obtenir un appartement des services sociaux. Elle vous fait dormir par terre, quand elle ne vous court pas après avec un couteau à la moindre bêtise… Vous n’avez jamais fugué ?
Si, bien sûr. Mais je revenais toujours, ne serait-ce que par rapport à l’école. J’ai tout fait pour que ma mère m’aime un petit peu. Je me débrouillais pour payer une partie du loyer grâce à des magouilles, ­j’allais l’aider à son restaurant – sauf un jour où j’étais trop malade et, quand elle est rentrée, elle m’a mis deux baffes… Puis, alors que j’étais passée à l’héroïne pour en finir [Bambou a fait deux tentatives de suicide quand elle était chez les Thénardier], elle m’a surprise dans ma chambre en train de me piquer. Elle m’a simplement dit : “C’est bien, mais n’en prends pas l’habitude.” C’est là que j’ai décidé de partir définitivement : elle n’en avait absolument rien à faire de moi et se moquait bien que je puisse crever.

Vous dites dans votre livre que vous pardonnez, mais ne confondez-vous pas résilience et pardon ?
Non. Quand Lulu est arrivé, je ne voulais pas qu’il hérite de mes casseroles. Dès sa naissance, toute ma rancœur s’est envolée. Même vis-à-vis des Thénardier.

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Sea, sex and sun au Gabon, pendant le tournage du film «Équateur », réalisé par Serge. Janvier 1983.

Sea, sex and sun au Gabon, pendant le tournage du film «Équateur », réalisé par Serge. Janvier 1983. Paris Match / © Richard JEANNELLE

Au point d’aller les revoir avec votre fils ! Mais pourquoi ?
Je voulais leur montrer que, malgré tout ce qu’ils m’ont fait subir, ça ne m’avait pas empêché de faire ma vie. En guise de pardon, je leur présentais mon fils. Le père Thénardier, lui, m’a présenté l’addition : maintenant que j’étais avec quelqu’un de connu et que je passais à la télé, je pouvais leur rembourser ce qu’ils avaient dépensé, alors qu’ils m’avaient ­toujours exploitée en bénéficiant d’une subvention mensuelle ! Je me suis rendu compte que c’était sans espoir et je suis aussitôt remontée dans le taxi qui m’attendait. Tant pis pour eux s’ils n’ont rien compris.

 Mon père, je l’ai retrouvé grâce à ma tante. Je suis tombée sur un pauvre diable qui, au cœur des Landes, se croyait encore au Vietnam

Bambou

Avez-vous fait la même démarche avec votre mère ?
J’ai emmené Serge dans le restaurant qu’elle tenait dans le XIIIe arrondissement de Paris. C’était très bon, mais l’addition était cinq fois plus chère que les prix affichés. J’ai dit à Serge que je ne voulais plus la revoir. Je l’ai quand même recroisée en sortant de chez moi, bien après la mort de Serge. Il y avait un truc qui n’allait pas dans son regard, elle paraissait affaiblie. Son compagnon m’a annoncé qu’elle avait Alzheimer et que, malgré le passé, la famille était ce qu’il y avait de plus important. Je l’ai prise dans mes bras et lui ai mumuré : “Dans cette vie, c’est sans moi. Ce n’est ni de ta faute, ni de la mienne. C’est comme ça.” Et c’est tout. C’est la dernière fois que je l’ai vue.

Promenade en famille avec Lulu, le deuxième fils du chanteur.

Promenade en famille avec Lulu, le deuxième fils du chanteur. © DR

On apprend que votre père était un légionnaire, que votre mère l’a épousé pour s’enfuir du Vietnam. Mais, à cause de la guerre, il est devenu à moitié fou, au point de poignarder sa femme et d’être interné.
Ah ! Mon père… Je l’ai retrouvé grâce à ma tante. Je suis tombée sur un pauvre diable qui, au cœur des Landes, se croyait encore au Vietnam. Quand il allait se promener dans la forêt, il prenait son coupe-coupe pour “tailler un chemin”, me disait-il. Il piquait des colères homériques et, une fois calmé, ne se souvenait plus de rien. Il n’y avait qu’avec Lulu qu’il rigolait. Il lui racontait ses souvenirs de jeunesse, de batailles aussi… Quand je les voyais ensemble, ils semblaient avoir le même âge mental. Deux gamins. J’avais quand même prévenu Lulu que si, dans la nuit, il y avait un pépin, je le ferais fuir par la fenêtre et je le suivrais. Je craignais que, dans un accès de folie, mon père débarque dans la chambre avec son coupe-coupe !

 Pour ma mère, mon père était un salaud et les mecs étaient tous dégueulasses 

Bambou

Dans votre biographie, vous restez très pudique sur votre sexualité, vos premiers hommes…
Parce que je n’ai pas eu beaucoup d’aventures. Il y a eu un peintre notamment qui m’hébergeait et avec qui je couchais une fois tous les trois mois – et ça me convenait parfaitement. Je n’avais pas une libido très développée. Sans doute parce que ma mère, le peu de temps qu’elle nous a gardées avec mes sœurs, nous a élevées dans le dégoût des hommes. Pour elle, mon père était un salaud et les mecs étaient tous dégueulasses.

Un an après leur rencontre, elle devient son modèle pour le livre «Bambou et les poupées ». 14 octobre 1981.REDACTION

Un an après leur rencontre, elle devient son modèle pour le livre «Bambou et les poupées ». 14 octobre 1981.REDACTION Paris Match / © Jean-Claude Deutsch

Il a fallu cette rencontre avec Gainsbourg à l’Élysée Matignon, lors d’une soirée organisée par votre agence, pour que vous changiez d’avis ?
Sur ce plan, ça a été long avec Serge. Il a été patient. Et il m’a tout appris. Plus tard, j’étais furieuse quand je me suis entendue sur “Love on the Beat”, il avait enregistré mes cris de plaisir à mon insu ! Il s’est défendu en disant que c’était “Je t’aime moi non plus” puissance 1 000. Le producteur était d’accord, le label aussi… Je n’allais pas me battre contre toute une armée. Les paroles de la chanson sont jolies, cela dit.

 Serge était contre le fait de vivre ensemble dans la même ­maison. Il pensait que ça tuait le couple 

Bambou

Vous n’avez de cesse de répéter que vous êtes en quête de “normalité”, jusqu’à en créer une avec Gainsbourg, “pas la plus facile, mais c’est la nôtre”, écrivez-vous. Vous savez bien que la normalité n’est qu’une chimère ?
La normalité dépend du point de vue de chacun. Par exemple, Serge était contre le fait de vivre ensemble dans la même ­maison. Il pensait que ça tuait le couple. Il fallait avoir les moyens d’avoir deux endroits. Même si on se voyait tous les jours, on était en ­transit et c’était plus drôle. Je sais bien qu’il n’existe pas de modèle de “famille normale”, mais allez me dire ça à moi qui ai connu des parents adoptifs qui me traitaient comme une esclave et une mère qui me faisait dormir par terre !

Un air d’accordéon en guise de berceuse. Rue de Verneuil, en janvier 1986, quelques jours après la naissance de Lucien, vite surnommé Lulu.

Un air d’accordéon en guise de berceuse. Rue de Verneuil, en janvier 1986, quelques jours après la naissance de Lucien, vite surnommé Lulu. Paris Match / © Pascal ROSTAIN

Vous étiez tous deux dans l’autodestruction : vous avec l’héroïne, lui avec l’alcool…
C’est bien pour cela qu’on s’est trouvés ! Avec une grande différence tout de même : chaque piqûre d’héroïne peut vous envoyer de l’autre côté, alors qu’un verre d’alcool non. Et moi, je voulais vraiment en finir. À tel point que j’étais sûre que je ne dépasserais pas les 20 ans. J’ai fait beaucoup d’overdoses, de comas, mais je revenais toujours. La mort ne voulait pas plus de moi que la vie. Paradoxalement, Serge était un bon vivant. Moi, beaucoup moins. Je n’ai jamais aimé ce monde du showbiz où je retrouvais, certes sous une forme différente, la même méchanceté que chez les Thénardier. Un univers petit, mesquin, raciste. Pour tous, j’étais la junkie (alors que quasiment tous se droguaient !), j’étais la “jaune” qui était avec Serge pour le pognon. Ils attendaient que Serge soit bourré et qu’il ne puisse plus me défendre pour me balancer des saloperies du genre : “Les jaunes ne sont bonnes qu’au lit”… Je prenais mon sac et j’allais pleurer aux toilettes. J’attendais là que Serge soit prêt à partir. Catherine Deneuve est la seule personne qui soit venue me consoler lors d’un de ces dîners.

Les femmes de la famille Gainsbourg. De gauche à droite : Kate Barry, Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg, Lou Doillon et Bambou.

Les femmes de la famille Gainsbourg. De gauche à droite : Kate Barry, Jane Birkin, Charlotte Gainsbourg, Lou Doillon et Bambou. © COLLECTION PERSONNELLE

Tout ce beau monde devait être présent aux obsèques de Serge Gainsbourg. Vous n’avez pas eu envie de leur ­cracher à la figure ?
Je n’allais pas leur faire ce plaisir. Ç’aurait été de l’énergie perdue. J’ai préféré les ignorer. Comme je le fais encore aujourd’hui. Les seules dont je suis restée très proches sont Jane et Charlotte. Mais là, c’est différent : c’est le clan Gainsbourg. J’ai connu Charlotte quand elle avait 8 ans et demi. Je lui ai appris à tricoter, à broder, à ­cuisiner… C’était une enfant qui voulait faire quelque chose de différent toutes les dix minutes. Ça demandait beaucoup d’imagination. Je l’emmenais à la fête foraine, au jardin du Luxembourg… J’ai refait mon enfance avec elle. Elle était et reste comme ma petite sœur.

​On apprend dans votre livre qu’avant d’avoir Lulu vous avez perdu un enfant de Serge…
Un jour, Serge me dit : “Tu te souviens quand tu as perdu…” et il s’arrête net, s’apercevant que Lulu, 3 ans, écoutait. Lulu abandonne son jeu et nous répond : “Oui, c’était un garçon, c’était moi et je suis revenu.” Serge a blêmi et s’est tourné vers moi, effrayé. Lulu n’était au courant de rien et que pouvait-il savoir, à son âge, de la réincarnation ? Cela frisait le paranormal.

Sur son épaule, un Phénix, l’oiseau qui renaît de ses cendres. À l’hôtel Raphaël.

Sur son épaule, un Phénix, l’oiseau qui renaît de ses cendres. À l’hôtel Raphaël. © Ralph Wenig

​Peut-on dire que Serge Gainsbourg vous a sauvé la vie ?
En quelque sorte, même si, bien qu’il ait eu trente et un ans de plus que moi, je prenais soin de lui. Je lui ai même sauvé la vie trois ou quatre fois. Quand il buvait trop, seul, il ­partait à la renverse. Sans nouvelles, j’appelais le Samu avant même d’arriver chez lui et on le retrouvait dans une mare de sang, s’étant fracassé la tête contre son bar ou une table.

 Dans mon livre, j’ai fait en sorte de ne pas évoquer le Serge qu’on connaît. Je voulais décrire l’être humain, très timide en vrai 

Bambou

Vous ne lui avez jamais demandé de renoncer à boire ?
C’était trop exiger de lui. Et lui m’a présenté ses excuses sur son lit de mort pour ne pas m’avoir aidée à cesser de me droguer – car j’ai arrêté toute seule quand on a décidé de faire Lulu. Serge travaillait alors avec Alain Bashung sur un album et ils étaient tous deux dans un tel excès que je suis partie dans le Lot-et-Garonne, dans une maison avec un ami qui se sevrait lui aussi. Ça a été horrible, douloureux, dangereux aussi (car on peut faire un arrêt cardiaque). Mais, dans mon livre, j’ai fait en sorte de ne pas évoquer le Serge qu’on connaît. Je voulais décrire l’être humain, très timide en vrai. Il ne pouvait pas aller à jeun sur un ­plateau télé. Il fallait qu’il boive plusieurs verres avant, sinon il était incapable de parler.

Comme pour les fans, la maison de la rue de Verneuil reste pour celle qui y a vécu un lieu de recueillement. Le 24 octobre.

Comme pour les fans, la maison de la rue de Verneuil reste pour celle qui y a vécu un lieu de recueillement. Le 24 octobre. © Ralph Wenig

Qu’avez-vous lu de plus faux sur Serge Gainsbourg ?
Qu’il se piquait. Les flics eux-mêmes étaient persuadés que c’était un junkie. Tout ça parce qu’il avait fait une crise cardiaque et, à l’hôpital, on lui avait fait une transfusion. Peu de temps après, la police a débarqué chez nous car un dealer avait prétendu qu’il nous avait vendu de la came. Ils lui ont remonté la manche et vu la marque laissée sur le bras par la transfusion. Leur opinion était tranchée.

Ça vous a fait du bien d’écrire ce livre ?
Oui, ça m’a enlevé un poids de plusieurs tonnes, comme une excellente thérapie. Je n’ai jamais vu de psy. Enfin si, j’ai essayé une fois, mais ça n’a pas duré longtemps. Ça ne marchait pas. Je ne parlais pas. Je n’avais rien à lui dire. Je pense être meilleure à l’écrit qu’à l’oral. Et là, dans le livre, j’ai tout dit. Ou presque. Je me suis débarrassée de ce dont je devais me débarrasser. Je suis sereine.

«Pas à pas dans la nuit», de Bambou, éd. XO 297 pages, 20,90 euros

«Pas à pas dans la nuit», de Bambou, éd. XO 297 pages, 20,90 euros © DR ​

Cet article a été prélevé d’internet par la rédaction de parisclc.com pour la bonne raison que ce dernier figurait dans les colonnes d’un blog dédié au thème « Paris City of Light Cluster ». Cette chronique a été générée de la manière la plus complète que possible. Pour émettre des observations sur ce dossier autour du sujet « Paris City of Light Cluster », merci de contacter les contacts indiqués sur notre site web. parisclc.com est une plateforme numérique qui compile de nombreux posts publiés sur le web dont la thématique principale est « Paris City of Light Cluster ». En visitant de manière régulière nos pages de blog vous serez informé des futures annonces.

Détesté lors de l’UFC Paris, Bryan Battle balance sur les fans : « Les gens pensent que tous les Français…

Par Guillaume K. | Journaliste sportif

Vainqueur face à Kevin Jousset lors du dernier UFC Paris, Bryan Battle s’était imposé comme le grand méchant de la soirée. Plus d’un mois après cette soirée mémorable pour lui, il est revenu sur sa relation avec le public tricolore.

Comme chaque année, l’UFC Paris a été un évènement suivi par les fans du monde entier. Pas forcément parce que la carte était exceptionnelle, même si Benoît Saint-Denis et Nassourdine Imavov ont une excellente cote, mais surtout parce que le public tricolore est réputé pour être parmi les plus électriques de la planète MMA.

C’est une tradition depuis la première édition en 2022, les combattants français ont tous été soutenus avec passion par les spectateurs, alors que leurs adversaires étaient sifflés dans une tentative de déstabilisation psychologique. L’Américain Bryan Battle, vainqueur face à Kevin Jousset, avait d’ailleurs joué de la situation dans une séquence déjà légendaire :

Bryan Battle se lâche sur le public français

Après avoir infligé une cinglante défaite à Kevin Jousset, Bryan Battle s’était amusé avec le public de l’Accor Arena. Son discours d’après-combat restera comme un moment marquant dans sa carrière, et il vient de s’exprimer à ce sujet dans le podcast de la légende Rampage Jackson. Il a visiblement conscience que cette animosité n’était qu’une façade pour renforcer le divertissement.

Pour la pesée cérémonielle, quand j’ai entendu la manière dont les spectateurs traitaient les Français et les étrangers, pour la première fois de ma carrière je me suis dit : « Mince, qu’est-ce que je vais faire ?! ». Je me suis dit qu’il fallait me détendre et simplement jouer le jeu. Comme je regardais le catch étant jeune, je sais comment jouer le vilain. J’ai voulu donner une raison aux Français de me siffler.

Le public demandait du spectacle pour l’interview d’après-combat. Tout le monde pense que les Français me détestent aujourd’hui, mais je pense sincèrement qu’ils ont aimé ce moment. Ils ont eu l’occasion de s’impliquer encore plus dans la soirée. En quittant la cage ils m’ont jeté des trucs, m’ont insulté, m’ont fait des doigts.

Bryan Battle n’est pas dégouté par la France après ses accrochages avec le public parisien, et il ne se pense pas détesté dans l’Hexagone. Pour lui, les insultes et les provocations faisaient simplement partie du show.

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Le brunch végétarien chez Ora, à La Caserne, un voyage culinaire, arty et surprenant ! – FERMÉ

Ora, le restaurant végétarien d’un nouveau genre lové dans La Caserne, propose un brunch dominical 100% green dans une ambiance conviviale, à la « branchitude » décontractée. Une cantine éthico-artistique où les aliments, sous toutes leurs formes, composent des œuvres culinaires colorées et gourmandes, directement sur les tables chinées.

Préparez-vous à voir la vie en vert et à aimer ça ! Rendez-vous chez Ora, la cantine végétarienne éthique et festive de La Caserne, pour savourer un brunch dominical abordable et hors du commun ! Le restaurant green de la plus ancienne caserne de Paris, transformée en incubateur de mode éco-responsable, vous offre un aller simple vers une expérience culinaire healthy, pétillante d’enthousiasme et de modernité. 

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Imaginée par Entourage Paris, à l’origine de plusieurs hot spots de la ville, Ora est l’adresse branchée qui redore l’image de la cuisine végétarienne dans la capitale ! Du déjeuner au dîner, en passant par le brunch du dimanche, Ora saura convertir même les plus retissants d’entre vous ! 

Brunch Ora Farmhouse - CroissantBrunch Ora Farmhouse - CroissantBrunch Ora Farmhouse - CroissantBrunch Ora Farmhouse - Croissant Ora Farmhouse au Pavillon du Lac, show culinaire végétarien et tableaux comestibles à même la table
Installé dans le Pavillon du Lac au cœur des Buttes-Chaumont, Ora Farmhouse propose une véritable expérience gourmande à travers un show culinaire du chef Saayaan qui magnifie les légumes dans des tableaux comestibles dessinés à même la table. [Lire la suite]

Une signature surprenante

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Véritable concept arty, unique en son genre, les aliments sont dressés sur du papier sulfurisé, posé à même la table. Les fameux 5 fruits et légumes sont magnifiés dans des tableaux colorés et gourmands, sous toutes leurs coutures et à toutes les sauces. La cuisine veggie devient tendance et ultra-désirable, idéale à partager entre amis ou en famille.

Au menu du brunch, le dimanche de notre venue, une composition multicolore de mets sucrés-salés se dessinait telle une œuvre culinaire pop sur la toile craft, bannissant les assiettes. Un paysage abstrait d’oeufs brouillés, de smashed patate douce fondante, d’un naked burger ou encore d’un karaage de champignon croustillant et fondant (friture japonaise), de viennoiseries dorées, d’une copieuse salade de fruits au topping chocolaté et d’un nougat crémeux parsemé de pépites de pistaches.

Derrière ce coup de pinceau gastronomique, le chef SaaYaan transmet ses inspirations de retours de voyages, comme de nouveaux terrains d’expression où l’art fait corps avec l’or vert.

Une étique redoutable

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Ora trouve ses couleurs gustatives dans les légumes et fruits frais de saison, pratiquement tous certifiés BIO, et sourcés au plus près des producteurs. Dans un cadre lumineux et propice à l’évasion, la table Ora est responsable et la décoration, entièrement chinée ou recyclée, évoque les bords de Méditerranée. Un appel au soleil et à la chaleur des teintes du Sud, incarné dans le mobilier tout comme dans les saveurs dressées sur le papier. 

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« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme ». L’adresse, plus que green, vise un objectif zéro déchet ! Ici, chaque aliment est cuisiné dans sa totalité : les peaux de légumes sont transformées en chips, et ainsi de suite.

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Si vous cherchiez une adresse pour épater vos proches, vous l’avez trouvée ! Ora regroupe tous les critères, de l’esprit festif à l’effet de surprise. La nouvelle garde de restaurants végétariens est lancée !

Les cafés, coffee shops et salons de thé en Ile-de-France Les coffee shops Les cafés Les salons de thé
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“Thisispain” au Théâtre du Rond-Point : quand Hillel Kogan déconstruit en duo le flamenco

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Tech Show Paris 2024 : un événement technologique à ne pas manquer

Les 27 et 28 novembre 2024, le Tech Show Paris se déroulera à la Porte de Versailles, offrant un programme de conférences qui s’annonce passionnant. Cet événement est l’occasion idéale pour les professionnels de découvrir les dernières tendances dans des domaines essentiels tels que le cloud computing, la cybersécurité, l’intelligence artificielle (IA), le DevOps et la gestion des centres de données.

Tech Show Paris 2024 : un événement technologique à ne pas manquer !

Un événement, cinq rendez-vous majeurs

Avec un seul billet gratuit, les participants auront accès à cinq événements co-localisés : Cloud Expo Europe, DevOps Live, Cloud & Cyber Security Expo, Data & AI Leaders Summit, et Data Centre World. Ne manquez pas cette opportunité unique d’explorer toutes les facettes de la technologie en un seul lieu.

Inscrivez-vous gratuitement ici

Thématiques au cœur de l’événement

L’édition 2024 abordera des sujets cruciaux façonnant l’avenir de la technologie, tels que :

  • Investissement technologique : Focus sur les stratégies de financement et les opportunités de croissance.
  • Innovation en IA : Un théâtre dédié à l’IA, mettant en lumière les dernières innovations.
  • Diversité & Inclusion : L’importance de la représentation pour un environnement plus inclusif.
  • Green IT & Durabilité : Une exploration des pratiques écologiques adoptées par l’industrie.
  • Start-ups : Les jeunes entreprises seront au cœur des discussions sur les technologies disruptives.

Conférences et experts à ne pas manquer

Le 27 novembre, Stéphanie Delestre, PDG de Volubile AI et membre du jury de Qui veut être mon associé ?, ouvrira le salon avec une session Q&A sur l’IA et la croissance des entreprises. Le 28 novembre, Gilles Babinet, co-président du Conseil National du Numérique, interviendra sur le thème « L’IA : clé de la compétitivité de l’Europe ».

Intervenants et experts de renom

L’événement réunira des leaders de premier plan, tels que :

  • Jean-Michel Garcia, Group CTO chez BNP Paribas, au Cloud Expo Europe Paris.
  • Laurent Amsel, RSSI Group de Carrefour, au Cloud & Cyber Security Expo Paris.
  • Aldrick Zappellini, Group CDO de Crédit Agricole, au Data & AI Leaders Summit.

Vous pourrez également écouter des experts comme Juleah Love de YSL Beauté, Régis Castagné d’Equinix, et Hugo Hamad de Decathlon, qui partageront leurs expériences et leurs visions de l’avenir de la technologie.

Exposants à la pointe de l’innovation

Des entreprises leaders telles que Huawei, ENGIE, GitHub, GitLab, ManageEngine, IONOS, et bien d’autres, présenteront leurs dernières solutions en matière de cloud, cybersécurité, et infrastructures de centres de données. Les innovations dans l’IA seront également à l’honneur avec des exposants comme BA.lab et NuMind, qui exposeront des solutions révolutionnant l’intelligence d’affaires.

Une expérience immersive

Le Data Centre Nouvelle Génération, un prototype grandeur nature, sera une des attractions phares du salon. En partenariat avec Artelia, ce centre de données opérationnel exposera des solutions innovantes proposées par des entreprises comme Brother, Schneider Electric, et Sunbird.

Cet événement s’annonce comme le rendez-vous incontournable pour tous les professionnels de la tech.

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Travail à distance – Guide complet pour les Directions IT et Métiers

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Le travail à distance met à l’épreuve la maturité numérique des entreprises en termes de Cybersécurité, d’espace de travail, de bien-être des collaborateurs, de communication et gestion de projet à distance. Découvrez, dans ce nouveau Guide Kyocera, quels leviers activer prioritairement pour mettre en place des solutions de travail à domicile efficaces, pérennes et sécurisées.

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Pour son retour, Linkin Park avec Emily Armstrong fait vibrer le public en concert à Paris

MUSIQUE – « From Zero », comprenez « On repart de zéro ». Ce dimanche 3 novembre, Linkin Park était en concert à Paris La Défense Arena, dans le cadre de sa tournée mondiale. L’occasion pour les quelque 45 000 spectateurs de découvrir en live Emily Armstrong, la nouvelle voix du groupe de metal qui a fait son come-back en septembre en annonçant tout de go ses nouveaux membres, un nouvel album, et une tournée.

Pour venir voir Mike Shinoda, Brad Delson, Joe Hahn, Dave Farrell, ainsi qu’Emily Armstrong et Colin Brittain le nouveau batteur, il y avait du monde. Paris La Défense Arena a fait salle comble. Les 45 000 places pour le concert se sont vendues en quelques minutes. Mélanie n’a pas eu d’autre choix que de s’offrir un pack VIP à 309 euros. « On avait tenté Londres et Hambourg, mais sans succès. Moi j’ai toujours été fan depuis mes 12 ans. C’est la première fois de ma vie que j’ai eu autant d’émotions avec un groupe. Donc je n’ai plus d’argent, mais je suis là ce soir », explique la jeune femme. « Je veux me replonger dans les chansons qui me bercent depuis tant d’années. »

Dans les gradins et la fosse de la Paris La Défense Arena, il y avait beaucoup d’étrangers : des Allemandes, des Anglais, des Espagnols, des Russes, mais aussi des Français de tous les coins de l’Hexagone, qui ont saisi l’opportunité de venir voir l’une des rares dates de la tournée From Zero données en Europe. Aurélien, un fan de la première heure, a fait le trajet depuis Nantes. « C’est une madeleine de Proust, Linkin Park. Depuis que je sais que je viens ce soir, j’écoute les chansons en boucle partout, sous la douche, sur mon vélo. 20 ans après, ça n’a pas bougé », explique le trentenaire.

L’héritage de Chester Bennington

De fait, l’héritage est lourd à porter pour la chanteuse du groupe Dead Sara qui succède à l’une des voix les plus mythiques du metal. Une voix irremplaçable pour beaucoup de fans qui n’avaient pas hésité à manifester leur tristesse de voir une nouvelle tête occuper le trône de Chester Bennington. Le fils de ce dernier, Jaime Bennington, avait lui-même exprimé son mécontentement en avançant qu’on était en train d’effacer « la vie et l’héritage » de son père.

Pour beaucoup de spectateurs, les attentes étaient élevées. Le groupe de metal américain ne s’était pas produit sur une scène française depuis 2017. C’était le 18 juin au Hellfest, quelques semaines à peine avant le suicide du chanteur Chester Bennington. Nawel est présente ce soir avec son petit ami, ils sont tous les deux des fans de la première heure. Elle avait vu Linkin Park en 2017 sur scène en Belgique moins de deux semaines avant la disparition du chanteur. Pour elle, le choix d’Emily Arsmtrong est presque une évidence « Je trouve ça génial qu’ils aient pris une femme, au contraire. Il n’y a pas de comparaison évidente possible pour moi, c’est la continuité logique, et puis sincèrement, elle a un charisme fou et une voix incroyable », explique la jeune femme. « Ce soir j’ai pleuré, c’était incroyable », confie quelques minutes plus tard Nawel.

« Heavy is the crown » – « Lourde est la tête qui porte la couronne ». C’est l’un des titres du nouvel album du groupe From Zero, qui sortira le 15 novembre. Une chanson qu’Emily Armstrong avait déjà interprétée, avec ses tripes, sur scène lors du concert en live diffusé sur YouTube pour annoncer le retour de Linkin Park début septembre. Et qu’elle a chanté à tue-tête ce dimanche soir, à l’unisson avec les fans rassemblés dans la fosse et les gradins. Des fans qui ont scandé son nom à plusieurs reprises, lui arrachant de nombreux « Merci » et « Oui, oui » dans la langue de Molière.

Un public unanime

Le groupe a enchaîné pendant 2h30, sans interruption, les tubes qui ont fait son succès : Somewhere I Belong pour commencer, Crawling, Burn It Down, Breaking The Habbit, My December, Numb, In The End, Papercut, ou encore Bleed it Out pour clore le show en beauté. Emily Armstrong a tout donné, parcourant en long, en large et en travers la scène pour être au plus près du public. « Il y avait une générosité de folie, et un plaisir de malade pour eux d’être sur scène à nouveau, ça se voyait sur le visage de Shinoda, c’était contagieux », précise Tom.

Mike Shinoda, leader de Linkin Park ici à Hambourg le 22 septembre 2024Mike Shinoda, leader de Linkin Park ici à Hambourg le 22 septembre 2024

Joern Pollex / Redferns Mike Shinoda, leader de Linkin Park ici à Hambourg le 22 septembre 2024

Linkin Park a également fait découvrir au public trois de ses nouveaux titres : The Emptyness Machine, Over Each Other et Heavy is the Crown. Des chansons que les spectateurs connaissaient déjà par cœur, pour le plus grand bonheur de Mike Shinoda, le leader du groupe qui a pris le micro. « Merci pour tout ça, je vois vos pancartes, je vous entends chanter ces titres de notre nouvelle ère. On les compose avec le cœur et vous les avez acceptés avec tant de générosité partout dans le monde, c’est incroyable. »

Ce dimanche à Paris, les fans de la première heure étaient tout aussi conquis que les plus jeunes générations. « Je m’attendais presque à être déçu, parce que sans Chester, je ne savais pas ce que j’allais voir. Mais c’est Linkin Park en fait, toujours, les mêmes frissons, comme quand j’étais ado. Franchement, il n’y a rien à dire », affirme Paul. Retour gagnant.

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