Compétition la plus prestigieuse de l’esport, les Mondiaux de League of Legends approchent de leur conclusion. Organisés en Europe cette année, ces « Worlds » (par clubs et non par nations) étaient à l’Adidas Arena de Paris pour les quarts de finale la semaine dernière et occuperont à nouveau l’enceinte du nord de la capitale ce week-end, à l’occasion des demies. L’ampleur de l’événement, vaisseau amiral du sport électronique, suivi par des dizaines de millions de personnes à travers le monde, mérite qu’on lui accorde de l’intérêt…
Une idole, Faker
Au-delà de son palmarès, la raison pour laquelle T1, tenant du titre, est aussi apprécié en Corée du Sud et partout dans le monde a un nom : Sang-hyeok Lee – ou plutôt Faker, son pseudonyme. À 28 ans il est LA grande star de l’esport, au point d’avoir fracassé les barrières de sa discipline – encore globalement assez niche – dans son pays, où il est considéré comme un trésor national.
De tous les titres de son club, il n’a aussi jamais fait moins bien que demi-finaliste des Worlds en neuf participations. Alors qu’il achève sa douzième année de carrière (chose rare sur League of Legends), il sera encore là ce week-end pour envoyer son équipe défendre son bien à Londres, en finale. Une icône du sport, au sens large.
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